Candidature d’Arnaud-Aaron Upinsky au fauteuil de Simone Veil (F 13) – et » écriture in.clusive «
Lire la lettre de candidature du 4 novembre 2019
Lire la lettre de candidature du 4 novembre 2019
J’ACCUSE le « Plafond de verre » interdisant l'accès de l'Académie française à tout authentique défenseur de l'Académie française !
Voir ICI la vidéo : J'ACCUSE - Tribune d'Arnaud Upinsky à Versailles le 25 juin 2018
Le problème n° 1 des Français et la solution de tous leurs maux c’est leur rapport avec la langue française !
C’est par la tête que pourrit le poisson, et c’est par la langue que pourrit la tête ! L’Académie colonisée par un nombre croissant d’ennemis de la langue française. * Le « Plafond de verre » d’exclusion de l’Académie démasqué. * La « Ligne rouge » à l’élection du 3 mai 2018, entre le choix de la « Reconquête de la langue française » et celui de la « Collaboration avec les ennemis de la langue française ».
Par cette élection du 3 mars 2018, on ne peut plus provocatrice d’une ennemie jurée de la langue française au fauteuil de Philippe Beaussant, les membres d’aventure de l’Académie française ont fait le « choix de la Collaboration » avec les ennemis jurés de la langue française !
Dès lors, les français n’ont plus le choix : « Hors de la Reconquête de l’Académie française et de l’Hégémonie sémantique – première marche de la Reconquête du Pouvoir politique par celle de l’Intelligence et de la Langue – pas de Salut ! »
1) LINGUISTIQUE – Philippe Léglise-Costa ne supporte plus de voir des réunions européennes d’importance se passer sans interprète…
L’ambassadeur de France auprès de l’Union européenne (UE) a claqué la porte d’une réunion à Bruxelles ce mercredi.
2) ÉLECTION DU 3 MAI –Tribune d’Arnaud Upinsky enregistrée à Versailles le 16 avril 2018. Il y commente sa candidature à l’élection du 3 mai 2018 au fauteuil de Philippe Beaussant, le Président de la Défense de la langue française (DLF) ayant parrainé sa candidature à l’Académie française, et lui ayant demandé d’écrire un livre pour donner les raisons de défendre la langue de Molière.
Election à l’Académie française du 3 mai 2018. Après le discours du 20 mars 2018 du Président Macron aux Immortels, sur sa stratégie « en faveur du français et [en même temps ] du plurilinguisme », c’est le « péril mortel » sur l’Institution de Richelieu qui s’invite à l’élection du 3 mai 2018. Arnaud-Aaron Upinsky invite les autres candidats à publier leurs lettres de candidature et à rompre l’omerta des média – et même de l’AFP – frappant d’interdit tout débat sur l’avenir de la langue française et de l’Académie française, depuis la mort de l’académicien Philippe Beaussant, à toutes les élections depuis 2016.
II) Lettre de candidature d’AA. Upinsky, du 30 mars 2018, au fauteuil de Philippe Beaussant ( F36)
Rend publique la lettre ouverte du 20 novembre 2017 qu’elle adresse au Président de la République, Protecteur de l’Académie française, pour qu’il engage la «Reconnaissance du français comme langue commune de l’Europe ».
« La Renaissance ou la Mort », il n’y a pas de troisième voie. C’est donc au nom de cette adresse de l’Académie française à son Protecteur, valant déclaration d’Etat d’urgence ; au nom de l’espoir que tous les amoureux de la langue française ont placé en vous pour retrouver leur fierté ; au nom même de votre projet d’une Europe « souveraine, unie et démocratique », que nous vous adressons cet appel solennel pour inverser la spirale de mise à mort du français en en faisant la langue commune de l’Europe, comme condition sine qua non de sa réussite !
ARNAUD UPINSKY CANDIDAT À L’ACADÉMIE FRANÇAISE
NDLR : Le Québec aurait besoin d’un tel esprit-choc pour préparer l’indépendance nationale
L‘article de QuébecPresse par Michel Cloutier du 21 novembre 2017
Elections à l’Académie française du 14 décembre 2017: le « Péril de mort » sur la langue française s’invite à l’élection du 14 décembre 2017 !
II) Lettre de candidature d’AA. Upinsky, du 8 novembre 2017, au fauteuil de René Girard ( F 37)
Union Nationale des Écrivains de France
Le Président
Madame le Secrétaire perpétuel, Mesdames et Messieurs de l’Académie,
[..] alors que l’avenir de la langue française, comme langue internationale apte à parler au monde entier par excellence, est suspendu à un procès incertain dans lequel son caractère d’universalité lui est dénié au nom du nouveau « dogme » hégémonique du « tout-anglais », proclamé au nom du comité de candidature aux JO 2024.
Le comble de la provocation et de la trahison de la langue de Molière a, en effet, été proféré par un Français, Tony Estanguet, co-président du comité de candidature aux JO 2024, lorsqu’il osa dire sans vergogne :
« Les patrons de la candidature ont choisi un slogan anglais afin de donner un caractère universel (sic) au projet français.» Comme si, depuis le triomphe du « Discours sur l’universalité de la langue française » de Rivarol à Berlin en 1784, depuis trois siècles, l’ « universalité » n’était pas reconnue comme le caractère propre indéfectible de la langue française !
Dans ce combat de la dernière chance, car le perdre signifierait notre renoncement définitif à la vocation à « caractère universel » de la langue française à « parler au monde », l’Académie française a fait un premier pas en « exprim[ant] à l’unanimité sa réprobation ». Mais les Français, en plein désarroi, espèrent plus de son Magistère souverain. Ils attendent son réveil et sa totale mobilisation dans le sillage de l’an 1 de la Reconquête de la langue française, ouvert par Philippe Beaussant que je m’attache à suivre à la mesure de mes moyens.
Lire la lettre du 8 mars 2017 à Mesdames et Messieurs de l’Académie
Le slogan anglais des JO s’invite à l’Académie française :
lettre d’A.-A. Upinsky engageant les autres candidats à se déclarer contre !
1) Le slogan anglais s’invite aux élections de l’Académie française du 23 mars 2017