Lettre de candidature d’A.-A. Upinsky à l’Académie française et écriture in.clusive

Candidature d’Arnaud-Aaron Upinsky au fauteuil de Simone Veil (F 13) – et  » écriture in.clusive « 

Lire la lettre de candidature du 4 novembre 2019

Voir la vidéo :  » Écriture inclusive : Déclaration de guerre au genre humain avec Arnaud Aaron Upinsky « 

Versailles : Arnaud Upinsky candidat à l’Académie française – Le Parisien

Versailles : Arnaud Upinsky candidat à l’Académie française – Le Parisien 

« Il vise pour la troisième fois le fauteuil laissé vacant par le philosophe René Girard et pour la cinquième fois un siège tout court. L’essayiste et polémiste versaillais Arnaud-Aaron Upinsky se présente, ce jeudi, à l’élection à l’Académie française. Cet infatigable défenseur de la langue française développe ses arguments sur son blog « Réarmer l’intelligence » et se donne pour objectif de faire de la langue de Molière, celle de toute l’Europe. En 2008 et 2010, Arnaud Upinsky avait mené le combat contre les expositions d’art contemporain de Jeff Koons et Takashi Murakami au château de Versailles. »

 

Lire l’article du Parisien du 12 décembre 2017 ICI

« 2016, l’an 1 de la Reconquête de la langue française ! »

Voir la lettre de candidature du 19 octobre-2016 d’Arnaud-Aaron Upinsky à l’Académie française.

L’EXPOSITION ELIASSON-PEGARD 2016 ? LE GLAS D’UNE VISION FASCISTE DE L’ART NEGATIONNISTE A VERSAILLES !

Communiqué  

Coordination Défense de Versailles

  29 juin 2016

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Versailles, acteur clef de l’Art et de la Politique

L’exposition Eliasson-Pégard 2016 ? Le glas d’une vision fasciste de l’art négationniste à Versailles! 

            «  Je vous le dis, s’ils se taisent, les pierres crieront » (Lc 19, 40)

« Consensuelle » ! Acculée à déclarer « consensuelle », la 9ème exposition d’art new-yorkais à Versailles, du Danois Eliasson, Catherine Pégard vient d’acter sa défaite, libératrice de Versailles, en sonnant le glas de cet art officiel « négationniste »  imposant une « vision fasciste de la culture » à Versailles, selon les propres termes du Ministre de la Culture Fleur Pellerin[1] assimilant « violence » plus « art officiel » au fascisme. Cette  vision « fasciste » d’un art d’Etat, qui est de règle à Versailles depuis J.-J. Aillagon, avait été dénoncée, dès l’origine[2] par le Canard enchaîné, dans son fameux article « Arrête de faire le Koons ! », en ces termes sans appel : « Et ceux qui persistent à se gausser du nouvel art officiel, au goulag ! »  Cette défaite libératrice est la victoire de la Coordination Défense de Versailles. Décryptage.

I) Dans l’exposition Eliasson-Kapoor, il n’y a rien à voir mais tout à comprendre !

EliassonTelle est la grille de lecture permettant de comprendre le stratagème de Catherine Pégard
feignant le « consensus » tout en maintenant le cap génocidaire. D’un côté, les touristes peuvent passer à coté des gadgets d’Eliasson – trois dans les jardins, cinq à l’intérieur du château- sans même les apercevoir, tant ils sont insignifiants. On a même vu une japonaise peindre la sublime perspective royale du Grand canal en ignorant la monstrueuse grue déversoir d’eau, à la verticalité new-yorkaise, barrant sa vue, et mise en eau seulement 5 heures par semaine ! De l’autre, et l’essentiel est là, il faut comprendre, à la lecture des articles et des « images »  inondant les média, que l’exposition Eliasson-Pégard poursuit, point par point, le plan de génocide culturel révélé avec Kapoor par :

1) L’exclusion des artistes français, Eliasson étant le 7ème artiste étranger privilégié sur 9, ostracisme que Rémy Aron, Président de la Maison des Artistes ne cesse de dénoncer avec « le fait que 98 % des artistes qui travaillent sur le territoire français sont totalement exclus du système[3].»

2) L’exclusion de la langue française, les titres étant exclusivement anglais pour souligner la langue du maître colon : « Waterfall« ,« Deep Mirrors », « Solar Compression », »Curious Museum »,

3) L’affirmation de la suprématie new-yorkaise sur le Symbole de Versailles par la « reprise » du viol des Grands appartement royaux « respectés » depuis l’exposition Vasconcelos de 2012 .

4) L’apologie de la stratégie du « chaos » sur l’ harmonie des sphères de Versailles, par les stéréotypes verbaux déjantés de C. Pégard présentant l’exposition  Eliasson comme un « lieu « où « les astres peuvent se rencontrer, l’horizon se dérober, et toutes nos perceptions se brouiller ( sic)»

5) L’ambition d’inverser la vision de Versailles, par une « coproduction » – c’est-à-dire une défiguration-contrefaçon du chef d’œuvre – prétendant à la supériorité du contemporain new-yorkais sur le classicisme français, à travers les stéréotypes éculés d’Eliason se targuant en toute vanité du « défi exaltant »  « d’avoir à travers l’art l’opportunité de coproduire la perception actuelle de Versailles », de « Créer une intervention artistique qui modifie le sentiment des visiteurs et offre un point de vue contemporain sur cet héritage fort».

Voici les preuves démontrant que l’exposition d’Eliasson poursuit le même but génocidaire que Kapoor.

II) Si, contre toute évidence, la très politique Catherine  Pégard, fermée à tout dialogue, en est aujourd’hui réduite à jouer la « fraternisation », c’est qu’elle vit dans la peur de voir éclater la « bombe » à retardement  des conclusions d’enquête criminelle publiées dans la « Lettre ouverte à la reine Elisabeth II » du 18 décembre 2015. Lettre à laquelle la reine Elisabeth II a pleinement répondu, à sa manière, et conclusions auxquelles nul démenti – ni de source policière, ni du Ministère de la culture, ni de la Présidence de la République, ni des  média – n’a pu être apporté. Ceci, alors que la CDV est la source officielle de la Résistance culturelle à Versailles : du Parisien local et des média nationaux, jusqu’à Washington et au Wall Street Journal ! Silence médiatique et « non réponse » du château ayant donc valeur de preuve et d’acquiescement tacite !

III) De quel scandale Catherine Pégard a-elle tant peur dans cette lettre à la reine ? Peur de voir étalée au grand jour la censure quasi-militaire des média sur la vérité de l’exposition Kapoor à Versailles : sur son infâme mise en scène inversée de l’Apocalypse, sur sa haine de la France, sur le piteux abandon de son projet de faire de sa « Gueule de Léviathan » tagué un « Mémorial à la honte de la France », avec la complicité de toute la chaine d’oppression culturelle et politique. Peur de voir tournée en ridicule sa participation au bidonnage d’un prétendu attentat de fantomatiques « royalistes ultra conservateurs » évaporés en 1815. Peur de  se voir demander des comptes sur la porosité de la sécurité à Versailles et sur la recherche des « vrais » coupables des tags. Peur de voir faire son bilan sur l’échec de sa grande ambition, confiée au Monde du 27 janvier 2012  « Versailles est le lieu emblématique du pouvoir » dans lequel elle annonçait : « on me jugera sur ce que j’ai fait » en ponctuant l’avertissement qu’elle avait reçu à son arrivée : «  On vous pardonnera toujours de voir trop grand, on ne vous pardonnera jamais d’avoir vu trop petit ». Après la déroute de Kapoor, que reste-t-il de sa grande ambition sur le Centre de recherche sur le XVII; sur son « idée d’exposition sur la constitution de l’Etat et du pouvoir » et sur « l’approfondissement » ( sic : l’attentat de Kapoor) de la « relation de l’art contemporain avec le patrimoine historique » ; sur son « idée » nauséeuse :  « En 2015 pour les 300 ans de la mort de Louis XIV, on peut imaginer montrer les crânes de Damien Hirst et ses vanités, cela a un sens. » ; et enfin sur son « idée » d’utiliser son « expérience » pour lui « donner  un bon  fil conducteur pour un livre sur les ressorts du pouvoir sous tous les angles » ? Que reste-il de toutes ces ambitions sinon le naufrage chimérique d’une femme froide, sombre et solitaire, dénuée de sensibilité et d’amour pour ce « lieu [4]» d’enchantement, au profil inverse de celui de la charismatique Catharine Hamilton des American friends of Versailles tombée amoureuse de Versailles à 17 ans ! Catherine Pégard se  targue d’établir un dialogue avec cette merveille de Beauté, d’Intelligence et d’Amour, qui en son fort intérieur , comment en douter représente tout ce qu’elle déteste, en fait de Valeurs, contrairement même à J.-J. Aillagon. A l’heure du rejet de la Politique dont elle est une figure emblématique, comment Catherine Pégard, nommée à Versailles par raison d’Etat « négationniste », pourrait-elle comprendre l’essence de Versailles, représentant le modèle d’un Pouvoir légitime se déclinant avec Amour, Intelligence et Beauté, pour rendre visible au monde entier la « République idéale du Roi-Soleil[5] »  ?  Peur surtout de voir révélé le véritable but de guerre – et non d’Art ! de l’attentat terroriste du « chaos » de Sir Kapoor contre le Symbole de Versailles : le plan du génocide culturel planétaire, sans exemple dans l’histoire, visant à établir l’hégémonie absolue du  « softpower » anglo-saxon sur les esprits, en toute filiation historique avec le vandalisme terroriste mis en accusation par Gilbert Romme à la tribune de la Convention, le 26 octobre 1793  :

 « C’est ainsi que les lâches oppresseurs du peuple anglais veulent anéantir les monuments qui attestent la supériorité de nos arts et de nos génies, afin de nous replonger dans la barbarie, dans l’ignorance, et de nous vaincre en nous opprimant plus facilement ! » .

IV ) Le plus grand échec de Catherine Pégard, est, par maladresse, d’avoir rendu visible les « ressors du pouvoir » d’imposture, de tyrannie et d’aveuglement, dévoilés par Gilbert Romme et d’apporter avec l’attentat de Kapoor – dont elle voulait faire la démonstration qu’elle  savait « voir trop grand » – la preuve que le plan de génocide culturel universel, le « mainstream » anglo-saxon, de toutes les Valeurs fondatrices de la Civilisation universelle héritée des Grecs, n’est QUE la poursuite à l’échelle planétaire du Vandalisme de la première république terroriste de l’histoire du monde  dont les principes[6] ont été édictés sans appel dans le décret génocidaire du 14 août 1792, en ces termes :

« considérant que les principes sacrés de la Liberté et de l’Égalité ne permettent point de laisser plus longtemps sous les yeux du peuple français les monuments élevés à l’orgueil, aux préjugés et à la tyrannie ».

Vandalisme d’Etat qui conduisit à la destruction d’un tiers du patrimoine des chefs d’œuvre de la France s’ajoutant au premier tiers des guerres de religion du protestantisme. Sa faute inexpiable c’est, avec le symbole d’inversion du C-Curve de Kapoor[7], d’avoir désocculté la technique d’aveuglement du Regard du métissage colonial new-yorkais et du SID’ART[8], révélant ainsi que : l’« art contemporain » est à la destruction « morale » du patrimoine artistique de l’Humanité, ce que le vandalisme de 1792 était à la destruction « physique et morale » du patrimoine artistique français. Son crime inexpiable, au regard de ses commettants, c’est d’avoir fait exactement l’inverse de ce que lui enjoignait sa mission : au lieu d’inverser le regard sur Versailles, pour le reléguer aux accessoires de l’antiquité au profit du « mainstream » anglo-saxon, c’est Versailles qui a inversé la Vision des peuples sur la tyrannie génocidaire de l’anglo-saxon pour en faire un objet d’abjection et de barbarie, l’art universel de Versailles apparaissant dès lors comme porteur d’un idéal emblématique du futur.  Laurent Fabius n’a-t-il pas dit en 2010, lors de l’exposition Murakami  : « Versailles a survécu à la Révolution, il survivra à [ces expositions dégradantes ] !»

V) « Versailles outragé », c’est « le Mémorial à la honte » de la barbarie de l’  art génocidaire anglo-saxon, soit l’inverse du projet avorté de Kapoor de faire de son « Durty corner » du Léviathan le « Mémorial à la honte de la France » à exhiber dans tous les musées du Monde. En faisant de l’action judiciaire de la Coordination Défense de Versailles, contre les expositions dégradantes dans les Grands appartements royaux, une des 50 dates de Versailles[9], J.-J. Aillagon ne croyait pas si bien dire. Aujourd’hui, Versailles a gagné la guerre que New-York y avait déclarée en 2008, à l’Art, à l’Intelligence et à la Civilisation, sous le nom usurpé d’« art contemporain ». Versailles ayant gagné la guerre de l’Art contre son contraire new-yorkais, c’est une nouveau chapitre de l’histoire de l’art qui s’ouvre. Le « chaos » étant l’inverse de l’« harmonie » comme la « Laideur » l’est de la « Beauté », l’« art du chaos » anglo-saxon ne peut plus ni se réclamer d’une continuité historique avec l’Art européen hérité des Grecs, ni a fortiori  prétendre à sa succession et à une quelconque supériorité dans un art usurpé dont il en la négation. Identifié au pire des vandalismes – le génocide culturel négationniste de toute valeur – , convaincu du crime des crimes, à Versailles,  contre l’Art, l’Intelligence et la Civilisation, l’art anglo-saxon se trouve désormais mis au banc d’infamie de l’Humanité civilisée toute entière !

En conséquence de quoi, la CDV : 

Rappelant que la liberté c’est d’avoir le courage de dire que « deux et deux font quatre » , et d’ « appeler un chat un chat et Rollet un Fripon » et que l’abbé Grégoire, créateur du mot « vandalisme » avait dit « je créai le mot pour tuer la chose » :

  • En appelle tous les vrais amis des Arts, des Lettres et de la Civilisation dont Versailles est la figure emblématique à ne plus utiliser l’art anglo-saxon du « chaos » visant à annihiler toutes les Valeurs fondatrices de la Civilisation et tous les monuments du génie humain QUE sous son nom d’infamie d’art « négationniste »,dicté par une vision fasciste de la culture ;
  • Déclare Versailles humilié « Mémorial de la honte » par l’art officiel « contemporain » à Versailles et par ses complices ;
  • Signale que ce Mémorial d’infamie stigmatise désormais la ligne de « partage des arts » permettant de distinguer la « fracture culturelle » devant désormais être établie entre l’Art créateur et son inverse prédateur, entre l’Art universel hérité des Grecs ( du Beau, du Vrai et des Valeurs créatrices ) et l’art anglo-saxon se disant « contemporain » ( du Laid, du Faux et du génocide culturel), pour marquer la frontière salvatrice entre les deux camps irréductibles de la Civilisation et de la Barbarie, entre l’art des esclaves et l’art des hommes libres, entre les hommes libres et les esclaves, en suivant l’exhortation du rapport de  l’abbé Grégoire du 31 août 1794 :

 « Puisque les tyrans [ de l’art contemporain] craignent les lumières », que « la liberté est fille de la raison cultivée », alors « Inscrivons donc, s’il est possible, sur tous les monuments, et gravons dans tous les cœurs cette sentence : « Les barbares et les esclaves détestent les sciences, et détruisent les monuments des arts ; les hommes libres les aiment et les conservent ». [10]

Enfin délivré de l’art « négationniste » nous pourrons dire : « Versailles ! Versailles outragé ! Versailles brisé ! Versailles martyrisé ! Mais Versailles libéré par lui-même, et par les hommes libres !

Charger le fichier pdf du Communiqué CDV du 29 juin 2016. L’exposition Eliasson-Pégard 2016 , le glas d’une vision fasciste de l’art négationniste à Versailles

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Arnaud-Aaron Upinsky, Président de la UNIEF/Coordination Défense de Versailles

Contact presse : courrierposte@orange.fr et tel : 06 01 76 20 79

Site : coordination-defense-de-versailles.info.

[1] 6 septembre 2015

[2] 24 septembre 2008

[3] Cf. Lettre de Rémy Aron à Arnaud Upinsky du 21 octobre 2010

[4] Il faut l’entendre dire avec une commisération confondante « Ce qui me frappe, c’est la passion des gens pour le lieu ».

[5] CF. Communiqué CDV du 8 janvier 2014

[6] La raison d’Etat politique du vandalisme terroriste de 1792 est claire. Puisque, comme l’atteste l’académicien La Harpe à la chute de Robespierre, les révolutionnaires de la première république terroriste de l’histoire ne comptaient que 300 000 hommes, sur une population de 26 millions d’habitants ; puisque les « valeurs » sur lesquelles ils entendaient fonder leur légitimité étaient rigoureusement inverses des Valeurs des Français, figurées sur tous les monuments hérités de leurs ancêtres fondateurs de la France ; puisque selon leurs propres termes « la République [ terroriste de 1792] est la destruction totale de ce qui lui est opposé » ; pour toutes ces raisons, il est aisé de comprendre que ces monstres ne pouvaient prétendre régner que par les serments de haine et de proscription de ces valeurs, la terreur, la guillotine, la destruction du calendrier,  des noms de lieux et des patois, comme de la mémoire des peuples. Dès leur prise du pouvoir par le viol de la Constitution de 1791, ils devaient aussitôt entreprendre la destruction du patrimoine monumental, artistique et littéraire, par une politique de « vandalisme », selon le mot que lui donnera l’abbé Grégoire, lancée et « justifiée » par le décret du 14 août 1792.

[7] Depuis Jeff Koons (2008), le procédé « mécanique » d’anéantissement de l’Art du Beau consistait à « taguer » les lieux symboliques de Versailles en leur opposant un objet de dérision « niant » le sens des valeurs pour en « inverser » le regard.

[8] Cf. 1) « Manifeste culturel colonial international de Versailles contre l’aliénation mondiale du métissage colonial new-yorkais », du 14 septembre 2010 ; 2) Lettre ouverte à la reine Elizabeth II du 18 décembre 2015.

[9] « Versailles en 50 dates », Ed. Albin Michel, 2012.

[10] L’abbé Grégoire : Rapport sur les destructions opérées par le Vandalisme et les moyens de le réprimer (31 août 1794)

 

The Wall Street Jounal : Versailles Castle Readies Regal Rest and Recuperation With New Hotel, Restaurant

The Wall Street Journal : Versailles Castle Readies Regal Rest and Recuperation With New Hotel, Restaurant

Private consortium committed to $28.5 million investment

Versailles Castle: The three buildings on the center-left of the picture with a view to the Orange Grove will be transformed into a high-end luxury boutique hotel. ENLARGE
Versailles Castle: The three buildings on the center-left of the picture with a view to the Orange Grove will be transformed into a high-end luxury boutique hotel. PHOTO: TOUCAN WINGS

By

INTI LANDAURO

April 1, 2016 10:15 a.m. ET

PARIS—By 2018, a trip to France could allow you to sleep at Versailles Castle and wake up watching the sun rise over the 17th-century gardens.

Channeling Marie-Antoinette won’t come cheap, though.

The board of directors of the Versailles Château voted Friday to approve a plan to rent out buildings in the grounds of the castle to French hotel group Lov Hotel Collection and celebrity chef Alain Ducasse. They will open a luxury boutique hotel and a haute-cuisine restaurant in a move seen by some as a privatization of a national treasure.

After a year-and-a-half bidding process, the consortium committed to invest €25 million ($28.5 million) in revamping the buildings known as Grand Contrôle, Petit Contrôle and Pavillon des Premières Cent Marches. They will transform them into a luxury 20-room hotel with a spa, an underground swimming pool and a terrace with a view of the Versailles orange grove and the Bosquet de la Reine gardens.

The group will pay rent of €1 million a year.

“To be profitable, a hotel of that size needs to be high-end luxury,” said Catherine Pégard, president of the body that runs the castle.

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The project shows how France’sgrand cultural institutions are scouting out alternatives to raise funds as the French state cuts back on financing.

In recent years, Versailles, which attracts around 14 million visitors a year, has lifted revenues via ticket sales, events, shop and restaurant rents so they now represent 53% of the overall budget in 2015 up from 48% the year before. The rest comes from the state and private donations.

Other French prestigious institutions-—including the Louvre—have started financing some activities through crowdfunding, or holding more private events.

However, the idea to rent part of the estate to a private company is anathema for some.

“Giving a Versailles space to a group of very wealthy people isn’t part of the French spirit,” said Arnaud Upinsky, who heads an association called Coordination Défense Versailles that has lobbied against a series of recent initiatives at the castle.

The Grand Contrôle compound, located on the left of the main palace building, housed the finance ministry during the reign of Louis XVI. It was transferred to the Defense Ministry after the revolution, which most recently used it as an officer’s mess. It has been unoccupied since 2006 and was handed back to the castle’s estate in 2008.

The building is in a poor condition and requires at least €5 million worth of urgent repairs, said Ms. Pégard.

Given the cost to restore the Grand Contrôle and the fact that little inside of it remains from its glorious past, management decided a hotel would be the best option.

“It could generate funds to do other things for the general public,” said Ms. Pégard.

Ms. Pégard insists not everything is for rent at Versailles.

She has recently rejected requests from horse-drawn carriage operators and from photographers wanting to offer 17th-Century costumes to visitors for snapshots.

“I don’t want to turn Versailles into Disneyland,” she said.

Write to Inti Landauro at inti.landauro@wsj.com

Bruxelles. L’énigme des « débordements » du 27 mars. Haute politique ou basse police ? « Et si, à Bruxelles comme à Versailles, l’ « Extrême droite » ce n’était QUE la Police de Tartuffe ? »

Bruxelles. L’énigme des « débordements » du 27 mars. Haute politique ou basse police ? « Et si, à Bruxelles comme à Versailles, l’« Extrême droite » ce n’était QUE la Police de Tartuffe ? »

Dans une Belgique en alerte anti-terroriste maximum, depuis les attentats du 22 mars, personne n’a semblé comprendre les « débordements » provoqués par 500 « Hooligans lors de l’hommage à Bruxelles : Le chef de la police va devoir s’expliquer[1] » ! Décryptage. 

Ce ne sont jamais les faits d’actualité qui comptent en eux-mêmes, c’est la grille de lecture permettant d’en tirer la morale politique. Un avocat de la banque de France me disait un jour que, pour gagner, il faut « à tout prix » que la partie adverse ne dispose jamais de la véritable « grille de lecture » ! Tel est le cruel mais nécessaire axiome du vainqueur de l’Etat de Droit, tiré de la science d’aveuglement du Tartuffe de Molière, l’homme de pouvoir dominant aujourd’hui : « Et je l’ai mis au point de tout voir sans rien croire » !

Pour sortir de l’état hébétement collectif dont l’énigme des « débordements » de Bruxelles est le modèle type, commençons donc par en donner la grille de lecture. La clef de l’énigme, c’est qu’il faut décrypter cet événement comme le scénario d’un film de propagande gouvernemental : d’une mise en scène de figurants[2] tournée non pas en studio mais en plein air pour faire plus vrai. En premier lieu, il faut situer ce film dans son contexte global : celui d’une guerre d’oppression médiatique. Comme lors du référendum constitutionnel de 2005, en plein chaos migratoire, la bataille des « valeurs » fait rage pour la conquête de l’Opinion, divisée en deux camps : avec d’un côté, celui des gouvernants, des « loups déguisés en agneaux » voulant à tout prix poursuivre leur politique d’immigration suicidaire ayant conduit au terrorisme et, de l’autre, celui des peuples à subjuguer pour leur faire accepter l’inacceptable course à l’abîme. Deuxièmement, il faut préciser le genre « moralisateur » de ce film qui est une mise en scène « pédagogique » inversée du combat du Bien ( le Pouvoir ) et du Mal ( Le Peuple récalcitrant ), dans laquelle la noble cause des peuples à subjuguer est représentée par la caricature d’ « ignobles » méchants – les épouvantables Hooligans d’extrême droite – tandis que l’ignoble cause de la Tyrannie est représentée par la caricature de « nobles » figurants civilisés. La conclusion s’imposera alors d’elle-même. Troisièmement, il faut être bien conscient que, pour faire vrai et être crédible, un tel scénario caricatural devait être filmé in vivo avec un mélange bien dosé d’images d’Epinal et de dialogues stéréotypés, « pris sur le vif » à la manière des « bidonnages » ridicules de PPDA[3] comme des trucages criminels des charniers de Timisoara, en décembre 1989. Concernant  les « débordements » de Bruxelles du 27 mars, la lecture  du journal Le Monde permet à chacun de juger du « bidonnage médiatique » en découvrant – au fil du déroulé du film des événements – la police de Bruxelles jouant le rôle de chargé du « casting » et de « metteur en scène » des vitupérations des Méchants Hooligans, en appelant à la haine de l’autre, comme du triomphe  final de l’hymne à l’amour du multiculturalisme.

Action ! La grille de lecture une fois donnée, il suffit maintenant de découper en Actes de théâtre l’article du Monde.fr[4] , pour  dérouler pas à pas le scénario moralisateur, pour le décrypter  et pour aboutir ainsi au fin mot de l’énigme : à la morale de la fable gouvernementale devant justifier sa politique. Napoléon ne disait-il pas déjà : « L’histoire est une fable convenue ? »

LA PIÈCE DE THÉÂTRE

ACTE I. Un recueillement multiculturel modèle. Ce 27 mars «  Place de la Bourse devenue un lieu de recueillement et un mausolée en hommage aux 35 victimes et 350 blessés des attentats du 22 mars », « L’ambiance était multiculturelle, bon enfant, presque familiale ».

ACTE II. Une grossière provocation à la haine sous escorte policière. Quand soudain « Tout a dérapé à 14 h 45 » « on les a entendus [les Hooligans] arriver précédés d’une voiture de police, gyrophare allumé. En rangs serrés, tout de noir vêtus, parfois encagoulés, bouteilles de bière à la main : des centaines de supporteurs de clubs de football belges. Aux cris de « Fuck IS (Islamic State) », ils ont avancé vers la place sans être contenus par la police. Plusieurs font alors le salut fasciste et hurlent : « On est chez nous, on est chez nous ! »  A ces cris, quelques-uns quittent leurs rangs  » … « Mais moi, je suis de gauche, je me sens trahi… »

ACTE III. Un appel à l’amour : tous des immigrés !  « A l’arrivée des hooligans qui allument des fumigènes, la foule réunie pour se recueillir commence à huer. Puis des « No Pasaran » ou « Nous sommes tous des enfants d’immigrés ; première, deuxième, troisième génération » commencent à se faire entendre. Les forces de police observent, mais n’interviennent pas. » 

ACTE IV. L’inversion des rôles : tous des terroristes ! « Pour moi, ce sont aussi des terroristes », s’exclame une vieille dame venue avec une amie pour prier. Un homme d’une quarantaine d’années éclate en sanglots : « Non, ce n’est pas possible, dites-moi que ce n’est pas vrai qu’ils sont là… » Au bout d’un quart d’heure, les ultras, dont beaucoup ont le crâne rasé, prennent possession des marches de la Bourse. La police laisse faire. »

ACTE V La médiatisation mondiale : l’image de la honte (des fachos) pour tous ! « A leurs pieds, les fleurs, les bougies, les mots déposés appelant à la paix et à la fraternité. Ils pavoisent devant les caméras. Certains font des doigts d’honneur. D’autres balancent leurs canettes vides. « Ce sont des images de honte pour nous, les Bruxellois. Et quand je pense qu’elles vont faire le tour du monde », dit un jeune étudiant, les larmes aux yeux. « Ils la voulaient cette photo, les fachos, eh bien, ils ont réussi », lance sa petite amie. »

ACTE VI. La police siffle la fin du tournage de la victoire du Bien sur le Mal. « Deux camions munis de canons à eau avancent doucement vers les fauteurs de trouble. A 15 h 5, des policiers anti-émeute se positionnent autour de la place. Une vingtaine monte sur les marches pour y déloger les hooligans « A la douche », « à la douche », crie la foule qui reprend espoir. « Barrez-vous », « Barrez-vous », hurle-t-elle en chœur. A 15 h 20, les forces de police, boucliers en avant et matraques levées donnent la charge. Devant un fast-food, les ultras se rassemblent pour un dernier baroud d’honneur, hurlant leur haine en direction des associations antiracistes qui ont repris possession des marches de la Bourse. A 15 h 40, les hooligans sont refoulés par les policiers vers la place de Brouckère, là d’où ils étaient venus [sous escorte policière]. »

ACTE VII. Hymne triomphal à la « Bruxelles multiculturelle » qui a triomphé de l’axe du Mal. « Petit à petit, la place redevient silencieuse. Puis un cri s’élève « Bruxelles multiculturelle », scandé en chœur par des gens de plus en plus nombreux, qui affluent vers le lieu de recueillement. »

ACTE VIII. Entrée en scène de « la Raison » qui ne comprend rien. « Mais très vite, c’est l’indignation qui gagne. « C’est un scandale. Nous avons été interdits de manifestation et ces salauds sont arrivés sans encombre depuis la gare du Nord, avec une voiture de police qui leur ouvrait la voie… », lance une jeune femme qui en tremble encore. « Mais quelles ont été les consignes données ?, s’insurge un vieux monsieur qui discute avec un cameraman. Le chef de la police de Bruxelles va devoir s’expliquer car on ne comprend plus rien… »

ACTE IX.  Tombée de rideau sur l’irruption du chœur des Tartuffes politiques  feignant l’indignation en oubliant les « consignes ». « Après cet incident, le maire de Bruxelles, Yvan Mayeur, a appelé à une « réaction du gouvernement fédéral » : « Je suis scandalisé de constater que de telles crapules aux visées de nazis viennent provoquer les habitants sur les lieux de leur hommage. C’est une honte pour le pays. Nous avons été prévenus hier par la sûreté de leur venue possible [place de la Bourse] et je constate que rien n’a été fait pour les empêcher de s’y rendre (sic !). » Le premier ministre, Charles Michel, a condamné ces débordements : « Nous faisons ce qui est nécessaire avec la police pour renvoyer ces manifestants chez eux. Dans le même temps, nous demandons à chacun de garder son sang-froid et de rester calme afin que la police puisse poursuivre son travail (sic ). »

CONCLUSION

La conclusion de cette tragi-comédie – non plus « Société du spectacle » mais « Imposture théâtralisée » est désormais facile à tirer ;

  1. La grille de lecture du scénario d’inversion des valeurs (du loup déguisé en agneau de La Fontaine) est validée sur : la preuve que les débordements de Bruxelles étaient dirigés par la police et non spontanés ; sa mise à égalité d’un prétendu terrorisme du peuple agressé et du terrorisme de l’IS ; sa présentation de la cause du mal (la poursuite suicidaire de la politique d’agression « multiculturalisme » ) comme la solution de paix ; son inversion de la défense de la Civilisation en apologie de la Barbarie, par la supercherie des Hooligans téléguidés par la Police de Tartuffe.
  2. Signature du bidonnage de l’information. Au lieu de conclure par la question « Mais quelles ont été les consignes données ? », l’envoyée spéciale du Monde, Marie-Béatrice Baudet, devait donner la « réponse » ! En professionnelle avisée, sachant que la police ne fait qu’exécuter les ordres, elle devait faire son métier de journaliste. Elle devait conclure qu’à l’évidence, la police n’avait fait qu’exécuter la consigne de conduire les Hooligans   ( « vraisemblablement proche de l’extrême droite » sous-titre la photo pour les nuls… ) sur la scène des « marches de la Bourse » pour y jouer le rôle qui leur avait été assigné : faire leur numéro de cirque destiné à la prise de photos de propagande devant faire le tour du monde, avant la remise en cage des fauves de spectacle place de Brouckère. M.-B. Baudet devait mettre en cause la véritable finalité politique du film de propagande destinée à culpabiliser l’Opinion générale.  Ce qu’elle n’a pas fait et ce qui signe le bidonnage !
  3. Escamotage du personnage principal du scénario culpabilisateur : le Tartuffe dont il est le prescripteur et le bénéficiaire. C’est l’entrée en scène de Tartuffe qui conduit à la parfaite grille de lecture du scénario policier en livrant l’intention criminelle du Pouvoir que nous laissons au lecteur le soin de méditer avec pour le moins : son bidonnage médiatique ; sa censure du débat, par la voie d’un épouvantable terrorisme sémantique ; son instrumentalisation idéologique du terrorisme de l’IS à des fins de politique intérieure ( et par voie de conséquence révélant sa ténébreuse complicité avec le crime, ainsi encouragé et surmédiatisé !) ; la stigmatisation de sa propre population, conduite à l’abîme par une politique « suicidaire »,Crime de haute trahison parfaitement prémédité, car commis en déni de toute liberté d’expression, de toute vérité, de toute morale et de toute Démocratie !

Pour que la leçon d’un tel crime ne soit pas perdue pour l’Intelligence, l’histoire de la pensée et le salut des valeurs suprêmes sur lesquelles repose notre Civilisation, il faut faire un cas d’école du but terroriste de ces « débordements  » de Bruxelles qui sous couvert de la mise en scène téléguidée d’une « Extrême droite » Hooligan d’épouvante se révèle n’être QUE la Police de Tartuffe. Ce but – faire taire l’expression de la Volonté générale des Peuples par la  terreur sémantique – est criminel ! Il est l’aliénation mentale même de l’Esprit, l’inverse de la Démocratie. En substituant une Représentation inversée de l’Opinion à la véritable expression de la Volonté générale (interdite de Représentation), le scénario de Bruxelles a pour but de formater les esprits pour faire adopter à chacun le comportement du figurant qu’il doit imiter : pour satisfaire au terrorisme sémantique gouvernemental d’une tyrannie sans nom qui veut lui dicter ce qu’il doit dire, penser et être !   

Derrière l’énigme de Bruxelles ainsi décryptée, ce qui se joue ce n’est ni un ridicule numéro de cirque, ni une simple opération de basse police, ni même une vulgaire visée politicienne. Ce qui se joue, c’est la haute trahison du gouvernement des Tartuffes « ces faux-monnayeurs en dévotion qui, nous dit Molière, veulent attraper les hommes avec un zèle contrefait et une charité sophistique ». Ce qui est en cause désormais, c’est l’enjeu de Haute politique dont dépend l’avenir d’une Civilisation : la nôtre. Ce qui se joue aujourd’hui c’est notre survie morale sinon physique  ! Pour s’en convaincre, il suffit d’avoir lu la sinistre prophétie de Malraux[5], il y a cinquante ans, sur l’irrésistible « poussée islamique » ;  d’avoir entendu la déclaration du général Antoine Martinez du 26 mars 2016, en appelant  à décréter l’ «  état de siège » ( art. 36 de la Constitution) ; d’avoir entendu enfin, à la Maison du barreau de Paris, le 24 mars dernier, l’ancien haut fonctionnaire algérien Boualem Sansal,  lauréat de l’Académie française, décrire l’irrésistible montée de la Haine dans les milieux issus de l’immigration, dire que « Toute action visant à remédier au mal aggrave le mal », que le fonds islamique est de 100 milliards d’euros de capital en Europe, désormais prise par les plus déterminés comme futur centre de l’Islam dans une montée pouvant apparaître comme invincible. Islam de conquête auquel l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, a d’ailleurs, précise-t-il malicieusement, « donné des chefs »….

Cacher la véritable Représentation de cette tragique réalité, montrant que ce qui est en cause ce n’est pas simplement le fait d’un quarteron de Hooligans aux ordres d’une police – d’ailleurs démoralisée et conduite au suicide comme les agriculteurs – mais le fruit d’une politique criminelle de destruction de l’Europe, conduite sous le masque de Tartuffe au nom d’un prétendu multiculturalisme et qui apparaît désormais comme le crime des crimes contre la Démocratie, commis par des gouvernements se disant représentatifs.  Et ce crime est pratiqué par le terrorisme le pire car il se fait message de paix du bon apôtre : le terrorisme sémantique masqué du Tartuffe de Molière, donneur de leçon pour mieux déboussoler sa victime et lui faire perdre la raison, pire que celui de l’islamisme, pire que le « terrorisme » d’opérette des Hooligans lui servant d’épouvantail.  Le 27 mars 2016 à Bruxelles, le mode opératoire terroriste de Tartuffe était le même qu’à Versailles lors des « débordements » de  « l’attentat des tags de  Kapoor » de l’été 2015. Le même,  à ceci près qu’à Versailles le metteur en scène n’a pu trouver de figurants,  que le bidonnage policier a été dûment démonté et publié dans une lettre ouverte à la reine Elisabeth II du 18 décembre 2015, incontestée et qui fait désormais référence en matière de génocide et de terrorisme culturels[6].

A la lecture du décryptage de la mise en scène tragi-comique des vrais-faux « débordements » de Bruxelles du 27 mars 2016, du providentiellement « rendue visible pour tous » par la maladresse de la Police, des Médias et du chœur des Tartuffes politiques, comment ne pas évoquer l’atroce anticipation de Saint Just : « Le peuple n’a pas de pire ennemi que son gouvernement » ; qui pourrait douter que le premier verrou criminel à faire sauter au plus vite soit celui de la Trahison des Tartuffes triomphants au sommet de la pyramide du Pouvoir ?  Qui peut encore douter qu’il est grand temps que la volonté générale s’organise ?

Mais pour cela, encore faudrait-il commencer par y voir clair et décider de réarmer  au plus vite l’Intelligence des Peuples d’Europe, ce que veulent à tout prix empêcher les Gouvernements d’imposture comme vient de l’illustrer à merveille l’énigme policière des Hooligans fantoches de Bruxelles enfin résolue !

Arnaud-Aaron Upinsky                                                                                                             Président de l’UNIEF/CDV                                                                                                           Blogue : Réarmer l’Intelligence ! http://upinsky.work/

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[1] Titre de l’article Le Monde.fr du 27 mars 2016

[2] A la manière du célèbre scandale des «  Figurants d’Olivier Stirn » ministre du tourisme qui  avait fait recruter, «  payés 345 F pour trois heures quelques 200 comédiens, chômeurs, lycéens et étudiants pour applaudir ministres et personnalités venus applaudir à ses « Etats généraux du progrès » ! (Cf. Scandale politique, l’Humanité.fr du 5 juillet 1990)

[3] Cf. Le JDD, 10 juillet 2008 « Les casseroles de PPDA » et l’Express , 5 janvier 2011 « Bidonnage de Castro »,

[4] http://www.lemonde.fr/europe/article/2016/03/27/des-hooligans-perturbent-un-rassemblement-pacifique-place-de-la-bourse-a-bruxelles_4890834_3214.html

[5] Cf. Au nom d’un « 11 septembre français », http://upinsky.work/tag/poussee-islamique/

[6] http://upinsky.work/wp-content/uploads/2015/12/Lettre-ouverte-%C3%A0-la-reine-Elizabeth-II-18-d%C3%A9cembre-2015..pdf

VIDÉO : A.A. Upinsky sur TVFIL78

TVFIL78

Culture : l’opposant aux artistes contemporains au château de Versailles candidat à l’Académie Française

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Arnaud Aaron-Upinsky a envoyé sa lettre de candidature à l’Académie Française. Ce Versaillais, qui se qualifie tout à la fois de mathématicien, d’épistémologue et de linguiste, est candidat au fauteuil laissé vacant par Assia Djebar.

 

Source : TVFIL78
 

Versailles : enquête criminelle sur les « tags Kapoor  » enfin résolue (vidéo)

 

Arnaud-Aaron Upinsky nous parle, en direct des jardins du Château de Versailles, des résultats de son enquête criminelle sur les fameux tags qui ont affreusement souillé cet été les œuvres de Anish Kapoor exposées dans les jardins du Château de Versailles et indigné la classe politique et médiatique tout entière.

Lettre ouverte à Sa Majesté la Reine Elizabeth II

         L’ÉNIGME DE L’ENQUÊTE CRIMINELLE           KAPOOR-VERSAILLES ENFIN RÉSOLUE ! 

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La piste criminelle britannique, une scène de crime « apocalyptique », un crime symbolique faisant remonter le mobile jusqu’à Sa Majesté Elisabeth II : « Tel est révélé dans son exécution le secret de perfidie du dessein de « génocide culturel britannique » faisant perdre jusqu’à la notion de ce que l’on est, ultime dépossession de soi-même par la destruction des symboles fondant toute identité. Comment Votre Majesté pourrait-elle ne pas convenir que cette destruction des Codes du Symbole de Versailles, emblème des Valeurs représentatives de la France et du modèle européen, est la signature absolue d’une visée de génocide culturel de notre Civilisation au « profil de perfidie criminelle » dépassant l’imagination ! »  

Lettre ouverte à la reine Elizabeth II (18 décembre 2015) (fichier pdf).