Le secret du reniement du Pape qui désarme la Chrétienté !

Et en Manchette sur Québec-Presse

Réponse historique du Pape lors de son face-à-face avec le Linceul !

Dans son premier entretien « Et vous, qui dites-vous que je suis ? » Arnaud-Aaron Upinsky, mathématicien, épistémologue et linguiste, avait exposé les impérieuses raisons qui l’avaient incité, le 29 mars 2015, à adresser au Pape François, au nom de la Science, une lettre ouverte lui demandant de procéder à la reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul de Turin – recélant la preuve scientifique du fait fondateur de notre ère – pour en revenir au statut de véritable Relique de la Passion et de la Résurrection qui n’avait cessé d’être celui reconnu par l’Eglise, de 1473 à 1988, et pour mettre un terme définitif à l’intolérable ambiguïté attribuée au Linceul, authentique pour les uns, faux pour certains, objet criminel pour les autres. Le doute sur le Linceul de Turin doit cesser, l’Eglise doit trancher, allez-vous le vénérer ou l’Adorer ? lui avait-t-il écrit. En dépit de la censure, cette Lettre ouverte au Pape, diffusée dans le monde entier, traduite en italien, espagnol, allemand, anglais, russe… et âprement discutée au Vatican, a créé un véritable électrochoc à bas bruit. Mais lors de son face-à-face avec le Linceul, dans l’obscurité de la cathédrale de Turin, le 21 juin 2015, pour sa visite exceptionnelle clôturant l’ostension de 2015, quelle réponse le Pape François a-t-il donnée, aux yeux du Monde entier, à cette Question de la Reconnaissance – « Qui dites-vous que je suis » – posée au nom de la Communauté scientifique internationale, réunie à Rome en 2013, ayant procédé à la reconnaissance officielle de l’authenticité scientifique. La Réponse éblouissante du Pape, la presse l’a cachée et le public, même averti, a cru qu’il ne s’était « rien passé », tant le « secret » fut bien gardé. Pourtant cette réponse historique fut telle que plus rien ne sera comme avant. Réponse à vivre comme un fait biblique se dévoilant selon la grille de lecture religieuse du Temps et de « l’économie de la Révélation » : comme la figure du reniement de Pierre, mise en ombres et lumières dans toute l’histoire de l’art chrétien. Aujourd’hui, dans ce deuxième entretien, Arnaud-Aaron Upinsky, Directeur du Symposium de Rome et auteur de cinq livres sur le Linceul, nous révèle l’énigme de la venue exceptionnelle du Pape à Turin, le 21 juin 2015, le décryptage bien gardé de la réponse du Saint Siège à sa lettre ouverte du 29 mars 2015, la clef initiatique de la pièce géopolitique scientifico-religieuse dont dépend l’avenir de la Chrétienté, de l’Europe et de l’Humanité :  » Le secret du reniement du Pape qui désarme la Chrétienté ! « 

L’heure de Vérité du Pape François et du Linceul de Turin !

Conférence de presse de Turin du 19 juin 2015

L’heure de Vérité du Pape François et du Linceul de Turin !

François Linceul

Lors de son face-à-face du 21 juin va-t-il le vénérer ou l’adorer ?

LINCEUL

 

Au nom de la Science ! l’appel au Pape François à la Reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul de Turin pour le 21 juin 2015 : « Et vous, qui dites-vous que je suis ? » (Marc 8 : 29) Le suprême défi de l’Intelligence Scientifique à l’Église, à l’instinct de survie de la Chrétienté, à tous ceux qui ont foi dans les forces de l’Esprit et du Verbe.

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HÔTEL DOGANA VECCHIA

via Corte d’Appelo, 4

10 h 30, ( rendez-vous au bar )

En présence de personnalités des sciences et lettres invitées, Arnaud-Aaron Upinsky, Directeur du Symposium de Rome, ayant accompli la reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul de Turin, et auteur de L’Église à l’épreuve du Linceul (Ed. F.-X. de Guibert), fera le point d’actualité sur la Lettre ouverte qu’il a adressée à S.S. le Pape François le 29 mars 2015 (en PDF ici), sur sa diffusion internationale et à Rome, sur les positions déjà prises dans l’Église de France, et il répondra aux questions.

Arnaud-Aaron Upinsky, Directeur du Symposium de Rome Contact presse : courrierposte@orange.fr et tel : 06 01 76 20 79 Site : http://linceuldeturin.info/

Открытое письмо Папе Римскому ФРАНСУА

Nous avons le plaisir de mettre à la connaissance de nos amis Russes la « Lettre ouverte au pape François » d’Arnaud Upinsky :

Открытое письмо Папе Римскому ФРАНСУА

 

Pour Arnaud Upinsky, l’énigme du Saint Suaire est indiscutablement résolu

En 2010, 2 millions de personnes se sont rendues à Turin en Italie pour découvrir une relique, une icône extraordinaire : « le Saint Suaire ». Arnaud Upinsky, fer de lance de la reconnaissance de l’authenticité scientifique du linceul du Christ, milite aujourd’hui pour que l’Église reconnaisse son authenticité religieuse. Il était l’invité du jour du Journal TVLibertés du mercredi 27 mai 2015 :

Arnaud Upinsky et l’authenticité scientifique du linceul du Christ

Lettre ouverte à S.S. le Pape François I

AU NOM DE LA SCIENCE ! Appel au Pape François, pour la Reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul de Turin lors de son ostension 2015 : « Et vous, qui dites-vous que je suis ? » Le suprême défi de l’Intelligence Scientifique à l’Eglise, à l’instinct de survie de la Chrétienté, à tous ceux qui ont foi dans les forces de l’Esprit et du Verbe !   

Recension de la Lettre ouverte sur Québec Presse

En Italie : Lettera aperta a S. S. Papa Francesco sulla Sindone di Torino

Lettre ouverte

Cité du Vatican, V00120

Paris, ce 29 mars 2015, dimanche des Rameaux

                                                       Votre Sainteté,

A l’heure du Massacre des Chrétiens d’Orient, de la revendication du « droit au blasphème », de la croisade pour la défense de la « Liberté d’expression » et de la nouvelle ostension du Linceul de Turin du 18 avril au 24 juin 2015, le moment n’est-il pas venu d’en finir avec cette Censure sans fin qui prive cette pièce archéologique la mieux mesurée au monde de la Reconnaissance officielle de son authenticité « religieuse » par l’Eglise, alors même que la Reconnaissance de son authenticité « scientifique » est déjà acquise, depuis sa proclamation officielle par le Symposium Scientifique International de Rome en 1993 ?

Vrai ou faux, relique ou icône, objet de science, de foi ou de spéculations hasardeuses ? L’intolérable ambiguïté demeure, perfidement distillée au goutte-à-goutte dans les média depuis 1988. Elle doit cesser ! Lors de votre prochain face-à-face avec le Saint Suaire, le 21 juin prochain à Turin, que répondrez-vous, vous-même « en Vérité » à l’ultime question qu’il vous posera : « Et vous, qui dites-vous que je suis ? » A  la réponse courageuse à cette question, se trouve suspendu le défi à la « Liberté d’expression » le plus décisif pour l’avenir scientifique, politique et religieux, de l’Humanité : son rapport nécessaire à cette Vérité  dont l’« Homme du Linceul » s’est justement fait le Verbe incarné ! Mais le Linceul étant d’abord un objet scientifique (sans laquelle nul ne saurait conclure sur ce qu’il est, ce qu’il signifie, ce à quoi doit servir),  encore faut-il pour que vous puissiez trancher le nœud d’infamie de cette ambiguïté, que vous disposiez des raisons scientifiques comminatoires qui obligent votre Sainteté, qui font que vous ne puissiez plus jamais dire : « Je ne savais pas » ! »

C’est donc en qualité de Directeur du Symposium de Rome, qu’au nom de la Science ayant permis d’établir l’authenticité certaine du Linceul, je dois aujourd’hui m’adresser à Votre Sainteté pour lui demander de bien vouloir engager, pour le 21 juin, le processus de Reconnaissance officielle par l’Eglise de l’authenticité du Linceul de Turin, attendu du monde entier. Lors de son homélie du 24 mai 1998, déclarant que :

« Le Suaire est provocation à l’intelligence », le pape Jean-Paul II avait « confi[é]  aux hommes de science  la tâche de continuer à trouver des réponses appropriées aux problèmes [Datation au C14] liés à ce Linceul qui, selon la tradition, aurait enveloppé le corps de notre Rédempteur lorsqu’il fut déposé de la croix ».

Or, après la confirmation intrinsèque de l’erreur de datation au C14 du Linceul, de 1988, déjà acquise au Symposium de Rome et médiatisée lors de l’ostension de 2010, il ne reste plus la moindre raison de différer la Reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul par l’Eglise, qui consiste tout simplement à revenir au statu quo ante de véritable Relique de la Passion et de la Résurrection d’avant 1988, puisque l’authenticité du Linceul fut officiellement reconnue par l’Eglise, d’une manière ininterrompue de 1473 à 1988,  date de son interruption  depuis 27 ans  !

En Vérité, l’Eglise n’a donc plus le choix ! Sauf à vouloir persister dans l’erreur, pour respecter le verdict de la Science ainsi que l’engagement de Jean-Paul II, elle se trouve déjà dans l’impérieuse obligation d’acter, à son tour, la Reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul. Mais il y a plus grave concernant Votre Sainteté : l’ouverture de l’ostension et votre prochain face-à-face du 21 juin, avec le Saint Suaire, font de cette obligation d’authentification une urgence absolue, pour d’impérieuses raisons s’imposant plus que tout à la chaire de Vérité de Pierre : la plus intéressée à faire sortir le Linceul de l’intolérable situation d’ambiguïté dans laquelle l’a plongé  la brutale dégradation du Linceul, du statut de « Relique » véritable au rang d’« icône » factice, par le custode pontifical du Linceul, Anastasio Ballestrero, le 13 octobre 1988, à la suite de la datation au C14. Sauf à vous exposer à paraître le complice de cette tromperie, comment pourriez-vous affronter sereinement votre face-à-face du 21 juin, avec le visage du « Divin Rédempteur (1) » en tolérant qu’il puisse être indifféremment vu, « au choix » : par les uns, comme celui du Christ de la Passion et de la Résurrection ; par certains, comme celui du plus grand faux de tous les temps ; par d’autres enfin, comme celui d’un homme assassiné par des chrétiens ayant cherché à forger le simulacre d’une fausse pièce à conviction de la Résurrection (2) !  Sauf à accepter de passer pour indifférent à la Vérité elle-même, enfin, comment pourriez-vous tolérer plus longtemps la persistance du statut officiel de faux caractérisé ( sans le mot ! ) attaché au Linceul par l’Eglise depuis 1988 et que son Custode, le cardinal  Giovanni Saldarini, à l’ouverture de l’ostension du centenaire scientifique, le 18 avril 1998, a tenu à proclamer avec force devant la presse internationale en ces termes excluant tout doute : « C’est une icône, ce n’est pas une relique ! »

En conséquence, dans votre face-à-face du 21 juin, comment allez-vous nommer le vrai-faux Linceul ? Relique ou icône, image, miroir… Allez-vous le vénérer ou l’adorer ? Comment Votre Sainteté pourrait-elle ne pas être saisie d’effroi par les trois raisons comminatoires lui imposant de mettre un terme à cette insupportable ambiguïté pour l’Intelligence : 1) Concernant l’ostension, si le statut officiel de faux n’est pas rectifié et inversé, inviter à y participer revient à dire  aux fidèles : « Venez voir mon faux Suaire ! » ; 2) Concernant votre homélie du 21 juin, pouvez-vous véritablement cacher aux fidèles le « statut liturgique » d’authenticité du Linceul actuellement en vigueur (3) ? Pouvez-vous raisonnablement leur laisser ignorer l’authentification de 1473 par le pape Sixte IV déclarant que « sur le linceul » se voient «  Le vrai sang et l’image de Jésus-Christ Lui-même » ? Pouvez-vous décemment ne pas nourrir leur enthousiasme de certitude en leur rappelant la magnificence des termes sans équivoque de la bulle du pape Jules II, du 26 avril 1506, d’instauration de la fête du Saint Suaire fondée sur son authenticité certaine, conjuguant science et théologie, avec sa formule solennelle :

« en considération du divin Sang dont il est teint »…..« nous force obligatoire à vénérer et adorer (4) le Saint Suaire sur lequel…sont  bien visibles les traces de l’humanité du Christ avec la divinité qui se sont unis avec lui » ;

3) Concernant votre face-à-face du 21 juin, enfin, la formule d’instauration de la messe du Saint Suaire vous fait obligation d’adorer le Saint Suaire, en raison de la présence du « divin sang »  (et donc non pas seulement de le vénérer comme vous l’avez annoncé par voie de presse). Faute d’authentification, vous êtes donc devant un double « empêchement » : si le Linceul est un faux (situation officielle depuis 1988), vous ne pouvez le vénérer ; s’il est authentique, vous devez l’adorer ! Telles sont les raisons comminatoires vous imposant de trancher le nœud d’infamie persistant du Linceul (interdisant tout face-à-face décent du « Vicaire » de l’« Homme du Linceul » avec son « Saint Suaire », tant que la duplicité de son statut trompeur ne sera pas abolie) en l’authentifiant pour le 21 juin 2015 .

Devant de telles monstruosités contradictoires – scientifiques, sémantiques et religieuses -, comment mieux vous convaincre que l’actuel statut de duplicité appliqué au Linceul ne saurait s’accorder avec la Vérité incarnée de l’Homme du Linceul ? a fortiori de la part de son Vicaire qu’elles condamnent au négatif de l’impasse et du déshonneur.  A l’inverse, en positif, comment concevoir que son Vicaire puisse ne pas brûler d’enthousiasme de faire au plus vite toute la Vérité : 1) Sur l’objet de Science qu’est son Linceul ; sur le fait qu’il constitue le film témoin du moment singulier à l’origine de notre ère, recélant la Preuve des Preuves scientifique (5) du fait fondateur du christianisme : la « dématérialisation » d’un  cadavre (cf. « résurrection » des Evangiles) datant le Linceul par l’évènement unique dans l’histoire à l’origine de notre calendrier ; 2) Sur l’objet de foi qui en résulte en raison de la nature « prophétique » du Message encrypté, d’une actualité brûlante, qu’il recèle, scellé dans la trame de son lin depuis 2000 ans : le « Signe de Jonas » ?  A cet égard, est-il possible d’ignorer que ce Linceul de Turin est précisément celui du premier acte de foi des chrétiens, celui devant lequel en effet l’apôtre Jean « Vit et il crut ! », les linges affaissés lui révélant la signification prophétique du « Signe de Jonas » évoqué par Jésus de Nazareth pour annoncer sa future résurrection à ses disciples : « Vous n’aurez qu’un seul signe, le signe de Jonas ! » Signe comminatoire auquel répondra l’apostrophe de l’apôtre Paul : « Si le Christ n’est ressuscité, votre foi est vaine ! » Ce qui fait du Linceul de Turin, du Message de son empreinte-image, une partie intégrante de la Révélation lui conférant son statut indéniable d’ « objet de foi » pour notre temps ; 3) Sur le rôle historique que lui assigne sa vocation manifeste dans le cadre de  l’ « économie de la Révélation » ; sur sa destination à porter remède à l’« apostasie générale », à réveiller l’instinct de survie de la Chrétienté ; sur sa prédestination symbolique à représenter le retour figuré de « l’Homme du Linceul », préfigurant son deuxième avènement glorieux de la Parousie, frappée aux portails royaux des cathédrales. Comment ne pas voir dans la structure d’inversion logique de positif-négatif du Linceul, la figure emblématique d’un monde déboussolé  où, pour retrouver la Vérité, il faut inverser les choses ! Comment ne pas voir enfin que cet objet le plus chargé de sens de tout les temps – dans ses trois dimensions scientifiques, sémantiques et religieuses – représente la « figure géopolitique » clef – victorieuse d’Intelligence – de la problématique d’un XXIème siècle, en pleine « guerre de Civilisation », qui selon la célèbre formule attribuée à André Malraux « sera religieux ou ne sera pas » !

En conclusion, d’un côté, la Science et les « hommes de science » ont relevé le suprême défi à l’Intelligence  auquel le pape Jean-Paul II en a appelé, en proclamant la Reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul à Rome, en 1993, saluée par la presse unanime à la Une «  La science s’était trompé, l’Eglise s’était trompé,  le Linceul est authentique » ! Plus aucun des arguments que m’avaient fait valoir tant le pape Jean-Paul II , à Rome, que le Nonce apostolique du Saint Siège à Paris, ne persistent, et la fausseté de la datation au C14 de 1988 est désormais incontestablement établie depuis 2010.  Mais en revanche, de son côté, l’Eglise n’a toujours pas rempli ses obligations de répondre positivement au défi à l’Intelligence qu’elle a lancé, en respectant le verdict d’authenticité établi par la Science, pour en revenir ainsi à la Reconnaissance de l’authenticité qu’elle avait établi en 1473 (Sixte IV) et scellée dans son Instauration de la Messe du Saint Suaire, et sa liturgie en 1506 (Jules II). Et, concernant les temps modernes, qu’on ne nous dise plus que l’Eglise ne saurait, de principe, mettre en œuvre ses moyens propres dans la quête scientifique ! C’est le Président Nicola Cabibbo, lui-même, en tant que Président de l’Académie Pontificale des Sciences, qui a tenu à m’écrire personnellement l’engagement que celle-ci avait pris lors de la datation C14, sans oublier l’implication scientifique et technique permanente qu’elle doit bien prendre en ce qui concerne la conservation du Linceul. C’est d’ailleurs bien le Saint Siège qui a engagé la funeste datation au C14 et le Cardinal Ballestrero qui a annoncé son résultat erroné. C’est donc bien à lui qu’il incombe en retour de réparer sa faute. Tout scientifique comprend immédiatement que tout frein à l’urgente nécessité de Reconnaissance de l’authenticité du Linceul, par l’Eglise, ne saurait désormais s’expliquer – en l’absence de toute trace d’imperfection capable de le « confondre» comme l’a reconnu, lui-même, le British Museum dans sa définition 117 – que par une raison « religieuse ». Que par le  manque de courage d’affronter l’exigence de Vérité inhérente à son Message « acheiropoïètos » : la Preuve des Preuves « non faite de main d’homme » de l’authenticité du fait fondateur « unique » de notre ère, valant authenticité exclusive de la religion chrétienne, elle-même, la  plaçant de facto, de par la « Révélation » de Saint Suaire témoin scientifique « sans pareil » au dessus de toute religion, en position de suprématie absolue rappelant le « Je suis la voie, la vérité et la vie », le  « est est, non non », le « Hors de l’Eglise pas de salut », plaçant le suprême défi de l’ « Intelligence religieuse » sur le même plan que celui de l’ « Intelligence scientifique »,  de par l’exigence même de Vérité du « tiers exclus » de la logique du Verbe !  Mais un tel manque de courage est-il compatible avec la chaire de Vérité de Pierre ? Comment sans se renier, dans ce qui est l’essence même de sa mission, le Saint Siège pourrait il censurer la suprême Vérité, là où les premiers papes et les chrétiens ont toujours su pousser leur « liberté d’expression » de la Vérité jusqu’au martyre ?

Pour Votre Sainteté, c’est désormais l’heure de Vérité du 21 juin 2015 ! Vous êtes devant la nécessité de trancher le nœud d’infamie de l’équivoque à rompre pour réhabiliter le Linceul de Celui qui a dit « Je ne serai pas confondu (6) ! » ; de faire perdurer la tromperie ou de proclamer le triomphe de Pâques en inversant la fausse définition du «  C’est une icône, ce n’est pas une relique » en « Ce n’est pas une icône, c’est l’authentique Relique la plus insigne de la Chrétienté, de la Passion et de la Résurrection ! »  En cela faut-il tant de courage puisqu’il ne s’agit que d’en revenir à la situation qui a toujours prévalu, accordant science et tradition apostolique, comme en témoignent notamment les déclarations suivantes :

  • scientifique de Pie XI, du 5 septembre 1936, après cinq ans d’études du Linceul  :

«  Ce sont des images de son Divin Fils. Elles viennent précisément de cet objet encore mystérieux (mais certainement non fait de main d’homme, ceci on peut le dire déjà démontré), qu’est le Saint Linceul de Turin. Nous avons dit mystérieux, parce que beaucoup de mystère entoure encore cette chose sacrée ; mais certainement c’est une chose sacrée comme peut-être nulle autre ; et assurément on peut désormais dire la chose avérée de la façon la plus positive, même en faisant abstraction de toute idée de foi et de piété chrétienne) ce n’est certainement  pas une œuvre humaine (7) » ;

  • religieuse de Jean-Paul II en 1980 :

c’est « La Relique la plus splendide de la Passion et de la Résurrection »

Si, dans la perspective de votre futur « face à face » du 21 juin avec le Saint Suaire des chrétiens, le Linceul des scientifiques, j’ai tenu à vous rappeler toutes ces raisons comminatoires de satisfaire à l’exigence de Vérité, pleine et entière, qui vous incombe en tant que Vicaire de l’« Homme du Linceul », c’est pour ne plus laisser la moindre chance au maintien de la duplicité actuelle bloquant la Reconnaissance de l’Authenticité du Linceul ; c’est pour que vous ne puissiez plus jamais dire « Je ne savais pas ! » ; pour vous éviter, à 2000 ans d’écart, de renouveler le reniement de Pierre contraint par manque de courage, en face à face , de dire :« Je ne connais pas cet homme » !

Que vous procédiez à l’annonce de l’authentification du Linceul, comme exigence de Vérité par l’Eglise, pour le 21 juin 2015,  telle est aujourd’hui la demande de la communauté scientifique internationale engagée dans les recherches, en reconnaissance de ses travaux sans pareil, et du monde entier.

Dans cette entreprise consistant à répondre au suprême « défi à l’Intelligence » lancé par le pape Jean Paul II, auquel vous ne pouvez pas ne pas répondre,  la Communauté Scientifique ne peut que vous rappeler sa célèbre apostrophe  : « N’ayez-pas peur ! »

Recevez, Votre Sainteté, l’assurance de mes sentiments les plus respectueux.                   Arnaud-Aaron Upinsky, Directeur du Symposium Scientifique International de Rome

Conférence à l’Eglise St Sulpice (Paris)

Site : La vérité sur le Linceul de Turin

Pétition pour la Reconnaissance de l’authenticité du Linceul

 


[1] Cf. Observatore Romano de mai 1898

[2] cf. Mgr . V. Saxer, recteur de l’Institut pontifical d’Archéologie

[3] Résultant de  la reconnaissance de son authenticité par Sixte IV en 1473 : « Sur le Linceul … se voient: « Le vrai Sang et l’image de Jésus-Christ Lui-même ». Benoît XVI  ayant d’ailleurs donné en 2006 sa bénédiction au Pénitents rouges de Nice pour le Vème centenaire de l’Institution de la Fête liturgique du Saint Suaire )

[4] Faut-il rappeler ici la place occupée par le sang du Linceul dans la fameuse « Querelle du sang » du XVème siècle ?

[5] Cf. l’IRSC, l’impression-retrait-sans-contact rendant compte de l’absence d’arrachement des fibrilles de lin et des fibrines de sang

[6] Cf. Evangile du dimanche des Rameaux

[7] La Passion de Jésus-Christ selon le chirurgien, Docteur P. Barbet, Editions Dillen et Cie, 1950, p. 31.