ARTICLE : de Madame Catherine Distinguin, publié dans le n° 55 de la Nouvelle Revue Universelle (NRU)
« L’urgence francophone. Un arbre qui cache soigneusement la forêt. »
ARTICLE : de Madame Catherine Distinguin, publié dans le n° 55 de la Nouvelle Revue Universelle (NRU)
« L’urgence francophone. Un arbre qui cache soigneusement la forêt. »
Recomposition politique 2022
TRIBUNE : d’Arnaud Upinsky, faite à Versailles le 13 mai 2019
« Le secret de la réponse de Macron au Grand débat national : poudre aux yeux, victoire des Gilets jaunes ou arme de guerre ? »
Décryptage du discours introductif à la conférence de presse du 25 avril 2019.
Vidéo : Tribune d’Arnaud Upinsky à Versailles le 4 février 2019
Dites désormais « Madame LE juge : c’est la Loi ! «
Voilà la Réponse intangible, « À l’Immortalité », de l’Académie française, de Richelieu et de Vaugelas, à la saisine du 20 avril 2017 de la Cour de cassation !
Lire à l’adresse ci-dessous la lettre « Réponse de l’Académie française à la Cour de cassation »
http://upinsky.work/LETTRE-DE-LUNIEF-A-LA-COUR-DE-CASSATIONlUNIEF-du-13-janvier-2019-FFFZ-1.pdf
Prenant les devants sur l’annonce du 7 février prochain, par l’Académie française, de ses conclusions sur » la féminisation des titres et fonctions », l’UNIEF rend publique aujourd’hui sa lettre, « Réponse de l’Académie française à la saisine de la Cour de cassation » du 13 janvier 2019, adressée à son premier président, Bertrand Louvel, en lieu et place de l’Institution du quai Conti ,et sur mandat de « la plus saine partie » de l’illustre Compagnie des Immortels fidèles aux statuts de l’Académie de Richelieu et de la « Référence suprême » de Vaugelas : pour assurer la continuité de sa mission, mesure d’exception s’imposant d’urgence, dans l’attente d’une restauration ou d’une renaissance de l’Institution de Richelieu, si la nécessité d’une troisième Académie s’imposait à raison même de son sceau frappé « À L’IMMORTALITÉ » !
Car ils ne sauraient se résigner au spectacle de l’abdication actuelle de l’Académie française :
1) Au viol de ses statuts par sa déclaration du 10 octobre 2014 ;
2) A l’adoption du faux « principe de la liberté de l’usage » de sa lettre du 6 novembre 2017 ;
3) A l’abdication de l’Académie devant le bureau de l’Assemblée nationale, alors que jamais la question de devoir suppléer à l’abdication de l’Institution de Richelieu, vouée à la défense de la langue française, ne se soit posée dans le passé.
Car ils se prévalent de leur mission historique, de l’article XXIV de leurs statuts disposant que : « [S]a principale mission sera de travailler avec tout le soin et toute la diligence possibles à donner des règles certaines à notre langue et à la rendre pure, éloquente et capable de traiter les arts et les sciences[1]. » Et c’est pourquoi la proclamation solennelle, aujourd’hui plus que jamais, de « l’intangibilité de la règle d’application du genre masculin générique aux titres et aux fonctions publiques » constitue l’événement linguistique le plus important qui soit,depuis qu’en 1635 Richelieu donna précisément pour mission à l’Académie française de fixer et de sauvegarder la langue française « À L’IMMORTALITÉ » !
Car cette saisine historique de la Cour de cassation met en pleine lumière, en effet, la grille de lecture salutaire de ce qui devait rester caché : la violation systématique de la règle du genre masculin générique – comme du droit constitutionnel de la langue – par le Pouvoir exécutif et par le Pouvoir législatif, dans la poursuite d’une politique de « féminisme d’Etat » illégale et destructrice de la langue française.
Car la « Réponse de l’Académie » est un « acte de justice », en bonne et due forme, de réhabilitation de l’excellence de la langue française, la plus féminine de toute, qui a été diffamée par un « féminisme d’Etat », anti-féminin par nature et violant « le statut juridique de la langue, expression de la souveraineté nationale », en y semant le chaos à des fins politiques menées dans le plus grand secret et au grand profit de la langue anglaise. Parler d’une prétendue oppression du féminin par le masculin dans la langue française, qui, au nom d’une égalité alibi, exigerait une prétendue « féminisation », en vérité une masculinisation, est un pur mensonge d’Etat. Car c’est au XVIIe siècle que la féminisation de notre langue fut idéalement accomplie, par l’heureux mariage, de la Préciosité et du Classicisme qui engendra la suprématie sans rivale de cette langue française de l’élégance dans la conversation, de l’amour, de la haute intelligence littéraire, de la danse et de la diplomatie, qui conquerra l’Europe des Lumières. Conclusion : le « féminisme d’Etat », qui n’est qu’une négation de la féminité et une ségrégation introduite au sein de la langue, voilà l’ennemi ! « Hors du « féminisme » à la française, pas de salut ! »
Car, inhérent au « féminisme d’Etat », la décapitation du paradigme du « Genre et de l’espèce », qui est celui du « Syllogisme judiciaire » et par là du « Jugement », par la mise à mort du « genre masculin générique », c’est la décapitation du « Juge » lui-même et donc du « jugement », c’est-à-dire du propre de l’Esprit humain.
Le seul choix restant est donc dans « Le retour à l’Etat de droit ou le Chaos ! »
C’est pourquoi, la « Réponse de l’Académie à la saisine de la Cour de cassation », est le plus strict « rappel à la loi de la langue » sans laquelle tout n’est que chaos. Elle est une proclamation solennelle que seule est conforme aux statuts de l’Académie, en toute fidélité au magistère de Vaugelas, la « référence suprême » du « bon et bel usage » de la langue française, sa déclaration du 21 mars 2002, à savoir : « Seul le genre masculin, qui est le genre non marqué (il a en effet la capacité de représenter les éléments relevant de l’un et l’autre genre), peut traduire la nature indifférenciée des titres, grades, dignités et fonctions. Les termes officière (de tel ordre), députée, sénatrice, etc., ne doivent pas être employés. »
Cette saisine historique met en pleine lumière, en effet, la grille de lecture salutaire de ce qui devait rester caché : la violation systématique de la règle du genre masculin générique – comme du droit constitutionnel de la langue – par le Pouvoir exécutif et par le Pouvoir législatif ; la violation suicidaire de ses statuts par l’Académie française ; l’extension du chaos grammatical en résultant, au sein de la fonction publique, du corps judiciaire et du public. Ce « coup de majesté » de la plus haute instance judiciaire fait apparaître la Cour de cassation comme le dernier rempart de « l’usage correct de la langue »française, déclarée « désormais en péril mortel[2] ». Cette volonté de sauvegarder la clef de voûte de la grammaire et de son processus cognitif, inhérente à l’acte même de « juger » ; d’« héroïsme juridique », cette reconnaissance de la langue française comme « objet de droit » à part entière, justiciable du pouvoir souverain de l’Académie, car « Juge du langage, telle est l’Académie par essence et en droit » (Maurice Druon)
Le 20 avril 2017, la saisine de l’Académie française, la juridiction suprême chargée de la sauvegarde du « bon et bel usage » de la langue française, par « la juridiction suprême chargée d’unifier le droit », fit apparaître la Cour de cassation comme le dernier rempart de « l’usage correct de la langue »française. Et aujourd’hui, dans cette saisine de l’Académie française adressée en retour à la Cour de cassation, pour qu’elle garde sa ligne de défense de l’intangibilité du paradigme du « genre masculin générique » – comme fer de lance de la « Défense de la langue française » –, et qu’elle obtienne ainsi le retour à l’Etat de Droit s’imposant pour triompher de l’actuelle « fracture grammaticale et linguistique » – valant « fracture constitutionnelle et démocratique » du Pacte Républicain –, l’avenir de la langue française apparaît désormais indissociable de la gloire de la Cour de cassation, frappée à l’aune de l’héroïsme de son « Coup de majesté » voué à maintenir l’unité de la langue française dont dépend celle du droit.
Et donc dîtes désormais » Madame LE juge » : c’est la Loi ! »
Voilà la Réponse intangible, « À l’Immortalité », de l’Académie française, de Richelieu et de Vaugelas, à la saisine du 20 avril 2017 de la Cour de cassation !
[1] « Statuts et règlements », site de l’Académie française.
[2] Cf. Déclaration de l’Académie française sur l’écriture dite « inclusive », du 26 octobre 2017.
Arnaud-Aaron Upinsky
Depuis la publication de son premier livre en 1977, comme professeur de mathématiques – » 2 + 2 = 5, De nouvelles mathématiques pour une nouvelle société »-, son livre de combat contre la destruction du raisonnement mathématique « more geometrico » par les « maths modernes », toute son oeuvre n’est que la déclinaison sur toutes ses formes de sa défense de l’Intelligence contre sa destruction par le Pouvoir dont elle est l’ennemi n° 1.
Ses recherches, ses livres et ses conférences, portent sur la destruction de l’intelligence et sur l’étude du pouvoir du langage, dans les différents domaines d’asservissement du Pouvoir ( enseignement, sciences, art, littérature, épistémologie, censure, langage politique, langue française), des thèmes politiques (construction européenne, théorie des ensembles politiques, opposition au traité de Maastricht1), du champ culturel ( au titre du code de la propriété intellectuelle (CPU), de la défense du droit moral des œuvres devant les tribunaux administratifs et jusqu’au Conseil d’Etat, des Grands appartements du Roi-Soleil contre le parasitisme de Jeff Koons, en 2008, puis de Takashi Murakami au château de Versailles2 en 2010), et de l’épistémologie ( dans le cadre des deux Symposiums Scientifiques Internationaux de Paris (1989) et de Rome (1993), sur la démonstration l’authenticité du linceul de Turin 3,4,5).
Dans l’ordre de ses différents combats, Arnaud-Aaron Upinsky, s’est successivement fait connaître comme mathématicien6,5, épistémologue7,5 et linguiste6, un de ses éditeurs a fait allusion à une activité dans l’industrie informatique6.
En 2007, Il obtient un doctorat de philosophie politique en soutenant un thèse ayant pour titre : Principes mathématiques de philosophie politique8.
2.1Défense de l’enseignement des mathématiques
Dès 1973, en relation avec les autorités scientifiques les plus autorisées d’alors, Arnaud-Aaron Upinsky, comme professeur de mathématiques, mettra en cause la réforme des » mathématiques modernes » expression refusée par les mathématiciens éminents annonçant une future crise de l’enseignement des mathématiques dans trente ans. Il dénoncera la sélection par les mathématiques et le Ministre de l’éducation nationale, Jean-Pierre Chevènement, s’inspirera de ses travaux pour ju’stifier sa réforme des lycées de 1985 de rééquilibrage des lettres et des mathématiques. Il écrira trois livres sur l’enseignement des mathématiques, sur leur sélection et sur leur instrumentalisation politique.
2.2 Linceul de Turin
Une datation au carbone 14 du linceul de Turin a été effectuée en 1988, alors que le Saint Siège en était propriétaire depuis 1983. Le 13 octobre 1988, le cardinal Balestrero annonce le résultat lui donnant une origine médiévale (xiiie – xive siècle).
Arnaud-Aaron Upinsky, a été invité au Symposium Scientifique International de Paris sur le Linceul de Turin du 8 septembre 1989, par son organisateur, André van Cauwenberghe, pour y faire la synthèse épistémologique de l’ensemble des travaux effectués depuis un siècle. Le 8 septembre, il y conclut : 1) Que le Linceul est scientifiquement authentique au troisième degré par défaut et donc que le Linceul est bien celui de Jésus de Nazareth ; 2) Que la datation au C14 est scientifiquement fausse ; 3) Que l’hypothèse du faux médiéval ne peut être constituée. A la suite de sa démonstration à laquelle assista le propre Directeur de recherche au British Muséum, coordonnateur des trois datations au C14, Mike Tite, celui-ci déclarera qu’il n »avait jamais dit que le Linceul était un faux. Ce qui conduira Arnaud-Aaron Upinsky, en 1990; a publier sa démonstration, sous le titre » La Science à l’épreuve du Linceul « , avec l’affirmation suivante :
« Ce n’est pas le Linceul qui est à l’épreuve de la Science, mais la Science à l’épreuve du Linceul. […] La part du suaire non réductible à notre science strictement rationnelle laisse entrevoir une chance inespérée de libérer la science officielle du ghetto dans lequel elle s’est laissée enfermer […] et de résoudre ainsi la contradiction épistémologique qui divise les sciences de la vie et celle de l’inerte9. »
A la suite de cette démonstration qui fit sensation, André van Cauwenberghe, Président fondateur du CIELT, lui demanda de prendre la vice-présidence du Centre international d’études sur le linceul de Turin10.
Au deuxième Symposium Scientifique International de Rome sur le Linceul de Turin, de juin 1993, réunissant l’ensemble de la communauté scientifique internationale engagée dans les recherches et auquel ne participèrent pas moins de dix huit nations ainsi que de nombreuses personnalités y compris du Saint Siège, la conclusion unanime suivante fut formalisée dans le communiqué de clôture du 18 juin 1993 : » L’assemblée scientifique du Symposium de Rome a pris acte du fait que si la Science soumet l’évaluation du Linceul au même niveau d’exigence scientifique que celui qui est régulièrement utilisé en science pour évaluer les phénomènes physique, au vu des résultats déjà acquis, elle ne peut que conclure à l’authenticité scientifique, c’est à dire affirmer que l;homme du Linceul est bien Jésus de Nazareth « .
La démonstration épistémologique et la reconnaissance scientifique de l’authenticité du Linceul de Turin, acquise à Rome, par l’ensemble de la communauté scientifique engagée dans les recherches, ne furent jamais remise en cause, par quelque autorité scientifique constituée que ce soit, le British Muséum s’étant même déclaré forfait.
En revanche, du côté religieux, l’Eglise à l’origine de la datation au C14, s’est obstinément refusée faire la nouvelle datation que lui demandait la communauté scientifique, pour s’en tenir contre toute évidence à la datation de 1988 dont le niveau de signification avoué n’était que de 5 % et à laquelle plus aucun scientifique n’attache désormais de véritable crédit, contrairement aux religieux qui en font un acte de foi, tel le dominicain Jean-Michel Maldamé11.
2.3 Construction européenne
Dès 1992, Arnaud-Aaron Upinsky prend position contre le traité de Maastricht dans sa » Lettre ouverte à ceux qui croient (encore) que l’Europe c’est la paix » ( Albin Michel ». En 1997, prenant acte de la réalisation de ses prévisions de 1992, il publie « Le Syndrome de l’ortolan » ( Ed. F.-X. de Guibert).
2.4 Lutte contre la contrefaçon et contre la censure
Arnaud-Aaron Upinsky est au cœur du combat pour la liberté d’expression. A l’origine du premier appel à une mobilisation générale des Lettres contre la censure – lancé le 4 juillet 2001 à la Maison des écrivains -, à la suite de son procès gagné contre Albin Michel, pour deux livres contrefaisants de Philippe Guilhaume – « Un président à abattre » et » Lettre ouverte à tous les Français qui ne veulent plus être pris QUE pour des cons » -n il publie » Enquête au cœur de la censure » dans lequel il adresse à l’opinion et aux pouvoirs publics une solution pour éradiquer ce fléau.
2.5 Expositions au château de Versailles
En 2008, en s’opposant à l’exposition de Jeff Koons dans les grands appartements royaux du château de Versailles, il lance l’association Coordination Défense de Versailles, déclarant que cette exposition en ce lieu est une « souillure de ce que notre patrimoine et identité ont de plus sacré1 ». Son association se mobilise ensuite contre une exposition des œuvres de Takashi Murakami fin 2010, au même endroit, et il déclare à ce sujet :
« On met notre patrimoine culturel au service d’intérêts étrangers. Jean-Jacques Aillagon joue les châtelains, toujours dans les jupes de la noblesse. En même temps, il promeut un art officiel new-yorkais alors que nous avons 40 000 artistes français marginalisés2. »
Il est président de l’Union nationale des écrivains de France (UNIEF), association créée en 2007, et notamment à l’origine de la Coordination Défense de Versailles1.
2.6 Combat pour un protectionnisme compétitif
A la suite de la publication de ses deux livres sur la construction européenne et, dans la logique de la publication du livre du prix Nobel Maurice Allais, « Mondialisation, la destruction de la croissance et de l’emploi. L’évidence empirique », en 2012, il sera appelé à prendre la présidence de l’AIRAMA, l’Alliance Internationale pour la Reconnaissance des Apports de Maurice Allais, en science et en physique. En 2019, au vu du retournement géopolitique mondial, il sera clair que ce combat pour un protectionnisme compétitif était d’avant-garde.
Candidatures à l’Académie française
En 2014, à la demande de l’académicien Phillippe Beaussant, Président de la Défense de la Langue française ( DLF), Arnaud-Aaron Upinsky se porte candidat au fauteuil 38 de l’Académie française, laissé vacant par le décès de François Jacob, et qui sera finalement attribué à Marc Lambron. Il obtient une voix au premier tour de scrutin12.
En 2016, il se porte de nouveau candidat, cette fois au fauteuil 5, laissé vacant par le décès d’Assia Djebar13. Battu par Andreï Makine, il obtient deux voix14. En dépit de la mort de Philippe Beaussant et de la disparition de génération des académiciens fidèles aux statuts de l’Académie, il se porte ensuite candidat au fauteuil 37, laissé vacant par le décès de René Girard en octobre 201615 ; puis en mars 201716 et en novembre 201717. Le 13 février 2019, à la suite d’une demande interne, il adressera au premier président de la Cour de cassation, Bertrand Louvel, la « Réponse de l’Académie française à la saisine du 20 avril 2017 de la Cour de cassation. .
Ouvrages
Sous couvert, d’Egalité Femmes-Hommes, de féminisme, d’ « écriture inclusive « , censée rendre justice à une prétendue oppression ancestrale de la Femme par l’Homme, dont la langue française rendrait compte ; alors que c’est l’inverse, la langue française étant même la langue de l’amour ; c’est à une véritable « Guerre inclusive contre le Genre humain » que les « magiciens » de la langue nous livrent pour essayer de nous imposer une écriture castratrice, ennemie de l’Homme comme de la Femme, et donc de l’Humanité elle-même dans ce qu’elle a de substantiel : la dualité intrinsèque du genre !
"J'ACCUSE" de Haute trahison de la langue française au plus haut niveau de l'Etat !
"J'ACCUSE" le plafond de verre interdisant l'accès de l'Académie française à tout défenseur de la langue française !
"J'APPELLE" les FRANÇAIS – tous les authentiques amoureux de la langue française et de la France – à rompre ce « plafond de verre » d’aveuglement et d’exclusion permettant de poursuivre, en secret et sans relâche, l’œuvre de mise à mort de l’Académie et de la langue française, en interdisant aux Français la juste Reconquête de la langue française qui est la condition sine qua non, de survie, de tout véritable redressement de la Jeunesse, de l’Ecole et de la France !
A titre de dossier d’enquête
3) Lire aussi en pièces jointes, les lettres de soutien à sa candidature: