L’UNION NATIONALE DES ÉCRIVAINS DE FRANCE COMMUNIQUE :
En réponse à l’appel du 6 avril 2017 de l’Académie française,qui » déplore que la langue soit absente des débats auxquels donne lieu actuellement la campagne pour l’élection présidentielle et s’étonne du silence observé par les différents candidats sur cette question, alors même que l’attachement à la langue est regardée par les Français comme l’expression première du sentiments d’appartenance à la nation » (cf. communiqué du 6 avril 2017 de l’Académie française);
L’UNIEF rend publique la lettre ouverte motivée qu‘elle adresse, ce 16 avril 2017, aux onze candidats aux Présidentielles, pour qu’ils déclarent 2017 an 1 de la reconquête de la langue française.
31 MARS 2017 — C’est au cri d’enthousiasme de « Je soutiens votre action, je ne la désavouerai pas ! » que, ce 31 mars 2017, l’académicien Jean-Marie Rouart, vient de nous faire savoir qu’il adhérait à notre combat contre le slogan anglais aux JO-Paris 2024 affiché sur la tour Eiffel. Il marque ainsi sa fidélité à l’acte de foi contre le tout-anglais qu’il avait exprimé, lors de son débat contre Luc Ferry, dans l’article du Monde du 3 mars 2013, intitulé « L’anglais, chance ou danger pour le français ? » (voir le lien ci-dessous) où il proclame notamment :
– « La France est un pays d’idées. Et les idées ont toujours été explosives. Quant à la langue français, elle est dans une situation effroyable. D’autant plus effroyable que les gouvernants et les Français ne s’en rendent pas compte.
– « (…) l’anglais dégrade le français » (…) La langue française ne sera bientôt plus une langue authentique, mais une sorte de pidgin ».
– « On veut vendre la France par appartements… »
– « On touche ici à l’idée de la France, et c’est ce qui déchaine les passions. La langue française porte quelque chose de plus grand qu’elle-même, quelque chose de généreux que n’a pas l’anglais. L’anglais porte avec lui le commerce. »
Langue française contre le tout-anglais : la bataille de la dernière chance aux JO-Paris 2024 !
Première émission radiophonique consacrée à l’appel de la dernière chance pour triompher de la haute trahison de la langue française, par l’Etat français dans son choix du slogan anglais pour la candidature de Paris aux JO 2024 :
« Si vous n’avez pas compris que c’est le combat principal, la condition sine qua non de VOTRE Combat et de tout combat, le combat de la dernière chance, c’est que c’est déjà trop tard, pour vous ! »
CONFÉRENCE DE PRESSESuivie d'un dîner-débat
mardi 28 février 2017 à 19 h 30
Hélios's, 1 rue des Etars-Généraux
Versailles, 78000
Pour le dîner-débat s'inscrire à :
courrierposte@orange.fr
RMC, 20 février 2017.Made for sharing »… Le slogan des J0 de Paris irrite les puristes. Trois associations de défense de la langue française estiment qu’il enfreint une loi de 1994 relative à l’emploi de la langue française ainsi que la charte olympique. Ce collectif a donc décidé de porter plainte ce jour. – On en parle avec: Pascal Perri, économiste. Marie-Anne Soubré, avocate. Et Joëlle Dago-Serry, chargée de clientèle dans le logement social. – Les Grandes Gueules, du lundi 20 février 2017, présenté par Alain Marschall et Olivier Truchot, sur RMC et en simultané sur Numéro 23.
Youen Tanguy. POLÉMIQUE – Un collectif d’associations de défense de la langue française attaque en justice le slogan en anglais « Made for sharing » choisi pour promouvoir la candidature de Paris aux Jeux Olympiques de 2024. Mais la plainte a-t-elle une chance d’aboutir ? LCI a interrogé Thierry Vallat, avocat au barreau de Paris.
« Made for sharing » (« Venez partager »)… surtout la polémique ! Vendredi, un collectif d’associations de défense de la langue française a annoncé qu’il allait déposer une plainte ce lundi contre le slogan, en anglais, de la candidature de Paris aux Jeux Olympiques 2024 pour « insulte grave à la langue française » et « violation de la constitution ». Elles demandent le retrait et le remplacement en français de ce slogan, mais aussi de la chanson et du compte à rebours (eux-aussi en anglais), diffusés lors de la cérémonie d’ouverture de la campagne internationale.
Contacté par LCI, l’avocat du collectif, Me Emmanuel Ludot, a confirmé qu’un référé en suspension serait déposé ce 20 février au tribunal administratif de Paris. Selon lui, l’utilisation de l’anglais enfreindrait l’article 16 de la loi Toubon de 1994, relative à l’emploi de la langue française, l’article 23 de la charte olympique et l’article 2 de la Constitution. « Nous réclamons que la communication officielle et publique à propos de la candidature de Paris aux JO 2024 soit toujours en français », précise ce dernier. Mais leur demande a-t-elle une chance d’aboutir ?
Le choix du slogan pour soutenir la candidature de Paris aux Jeux Olympiques « Made For Sharing » est loin d’être partagé par tous…
La langue française résiste. Vendredi, un collectif d’associations de défense de la langue française a déclaré par le biais de leur avocat la décision d’attaquer en justice le slogan en anglais choisi pour promouvoir la candidature de Paris aux jeux Olympiques de 2024, rapporte l’AFP.
Le Monde.fr avec AFP | Un collectif d’associations estime que le slogan « Made for sharing » enfreint la loi Toubon relative à l’utilisation de la langue française.