« LA RÉSURRECTION DE VERSAILLES », l’exposition qui détrône la Révolution !

Communiqué de presse,  6 février 2020 
COORDINATION DÉFENSE DE VERSAILLES (CDV)

« LA RÉSURRECTION DE VERSAILLES[1] », l’exposition qui détrône la Révolution !

[1] Complaisamment appelée « Exposition Versailles Revival 1867 – 1937 » par le Président Pégard, à l’heure du Brexit. C’est une double trahison : par l’usage de l’anglais et par celui du  faux ami « revival » qui signifie relance, renouveau et non « résurrection » !

Lire ICI le Communiqué CDV du 6 février 2020. La Résurrection de Versailles, l’exposition qui détrône la Révolution ! 

Académie française, élection du 21 juin 2018 : le « J’ACCUSE » d’A.-A. Upinsky !

"J'ACCUSE"  de Haute trahison de la langue française au plus haut niveau de l'Etat !

"J'ACCUSE" le plafond de verre interdisant l'accès de l'Académie française à tout défenseur de la langue française !

"J'APPELLE" les FRANÇAIS – tous les authentiques amoureux de la langue française et de la France – à rompre ce « plafond de verre » d’aveuglement et d’exclusion permettant de poursuivre, en secret et sans relâche, l’œuvre de mise à mort de l’Académie et de la langue française, en interdisant aux Français la juste Reconquête de la langue française qui est la condition sine qua non, de survie, de tout véritable redressement de la Jeunesse, de l’Ecole et de la France !

A titre de dossier d’enquête 

1) Lire le « J’ACCUSE » du Communiqué UNIEF rendant publique sa lettre de candidature du 16 mai 2018, d’Arnaud-Aaron Upinsky à l’élection du 21 juin 2018 

2) Lire la 7 ème lettre de candidature d’AA. Upinsky, du 16 mai 2018, au fauteuil de Michel Déon ( F8)

3) Lire aussi en pièces jointes, les lettres de soutien à sa candidature: 

  1. Mme X: indisponible
  2. Mme C. . Distinguin
  3. M. Claude de Vaugelas
  4. M. Michel Cloutier
  5. M.Y : anonymisé

 

 

 

 

Elections à Académie française. Le défi AA. Upinsky aux candidats de débattre sur le « péril mortel » !

L’UNION NATIONALE DES ÉCRIVAINS de FRANCE

Elections à l’Académie française du 14 décembre 2017: le « Péril de mort » sur la langue française s’invite à l’élection du 14 décembre 2017 ! 

I) Communiqué UNIEF : élections à Académie française. Le défi Arnaud-Aaron Upinsky aux candidats de débattre sur le  »péril mortel »!

II) Lettre de candidature d’AA. Upinsky, du 8 novembre 2017, au fauteuil de René Girard ( F 37)  

 

 

La victoire du meilleur aux Présidentielles 2017 doit tenir à un seul facteur clivant : le choix de la Reconquête de la langue française !

L’UNION NATIONALE DES ÉCRIVAINS DE FRANCE COMMUNIQUE :

L’Académie française vient de déclarer, dans son communiqué du 6 avril 2017, qu’ elle « déplore que la langue soit absente de la campagne pour l’élection présidentielle et s’étonne du silence observé par les différents candidats sur cette question, alors même que l’attachement à la langue est regardée par les Français comme l’expression première du sentiment d’appartenance à la nation. » 

Et pourtant, ce silence persiste depuis l’appel solennel du 5 décembre 2013, de l’Académie française au Président de la République, François Hollande, pour « faire de l’année qui vient l’année de la reconquête de la langue française et d’abord au sein de l’école qui la porte et la transmet.» 

C’est pourquoi, l’Union Nationale des Écrivains de France adresse la présente lettre ouverte aux différents candidats à l’élection présidentielle, pour qu’ils déclarent 2017 an 1 de la Reconquête de la langue française et cause nationale de leur mandat.

Puisqu’à l’évidence, le redressement de la France et le redressement de la langue française sont une seule et même chose, la victoire du meilleur candidat aux Présidentielles 2017 doit tenir à un seul facteur clivant : le choix de la Reconquête de la langue française contre le choix du « tout-Anglais », que le présent gouvernement a osé afficher jusqu’au sommet de la tour Eiffel  sous couvert de JO-Paris 2024 !

Cette victoire du meilleur candidat pour la reconquête de la langue française, et donc pour la France, elle ne tient qu’à son « choix de la langue française », comme le démontre en huit points la lettre ouverte de UNIEF suivante, et alors la France s’éveillera !

La « Reconquête », c’est maintenant ou jamais !  

Arnaud-Aaron Upinsky 18 avril 2017
Président de l’Union nationale des Écrivains de France  

 

1) Lettre ouverte aux candidats aux présidentielles 2017
http://upinsky.work/wp-content/uploads/2017/04/Lettre-ouverte-aux-candidats-des-Pr%C3%A9sidentielles-2017-pour-quils-d%C3%A9clarent-2017-an-1-de-la-Reconqu%C3%AAte-de-la-langue-fran%C3%A7aise.pdf

2) Pétition :
https://www.change.org/p/p%C3%A9tition-contre-le-slogan-en-anglais-aux-jo-paris-2024/u/19718579

3) Blogue
http://upinsky.work/

Lettre ouverte aux candidats aux Présidentielles pour qu’ils déclarent 2017 an 1 de la Reconquête de la langue française

L’UNION NATIONALE DES ÉCRIVAINS DE FRANCE COMMUNIQUE :

  • En réponse à l’appel du 6 avril 2017 de l’Académie française, qui  » déplore que la langue soit absente des débats auxquels donne lieu actuellement la campagne pour l’élection présidentielle et s’étonne du silence observé par les différents candidats sur cette question, alors même que l’attachement à la langue est regardée par les Français comme l’expression première du sentiments d’appartenance à la nation » (cf. communiqué du 6 avril  2017 de l’Académie française);
  • L’UNIEF rend publique la lettre ouverte motivée qu‘elle adresse, ce 16 avril 2017,  aux onze candidats aux Présidentielles, pour qu’ils déclarent 2017 an 1 de la reconquête de la langue française.  

Lettre ouverte aux candidats des Présidentielles 2017, pour qu’ils déclarent 2017 an 1 de la Reconquête de la langue française

Lettre de saisine de l’Académie française sur la mise à mort de la langue française

L’UNION NATIONALE  DES ÉCRIVAINS DE FRANCE

L’UNION NATIONALE DES ÉCRIVAINS DE FRANCE.  En date du 14 janvier 2017, adresse une lettre ouverte, ci-jointe, à Madame Hélène Carrère d’Encausse, Secrétaire perpétuel, de saisine de l’Académie française pour lui demander, en application règlementaire de sa mission statutaire de prendre les décisions qui s’imposent pour : 1) Prendre acte de la situation de guerre déclarée à la langue française ; 2) Forger les « règles certaines » nécessaires pour empêcher la langue française de subir le sort de la « novlangue » d’Orwell ; 3)  « Mettre en demeure » le Président-protecteur de l’Académie et de la langue française de faire procéder au retrait immédiat de toute réforme de la langue française. 

***

Dans la situation actuelle d’effondrement de la langue française, sous l’attaque combinée des trois fléaux – l’Ecole, l’anglicisation et la trahison de la classe dirigeante –, chacun comprendra que seul un rappel à sa mission de  l’Académie française, l’autorité créée pour la défense du français – verbal  ( tel : 01 44 41 43 00), écrit ( contact@academie-francaise.fr), personnel ou médiatique – peut, en premier lieu, à ce stade de blocage institutionnel, forcer le destin et changer le cours de l’histoire de la langue française en péril de mort ! 

Charger le communiqué UNIEF 21 janv. 2017

Charger la lettre ouverte de saisine de l’Académie française, du 14 janvier 2017..

Arnaud-Aaron Upinsky, Président de l’UNIEF 

Contact presse : courrierposte@orange.fr / tel : 06 01 76 20 79

Documents sur Internet : upinsky.works

Saisine de l’Académie française sur la « mise à mort de la langue française » !

L’UNION NATIONALE DES ÉCRIVAINS DE FRANCE

Saisine de l’Académie française sur la « mise à mort de la langue française » !

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Lire ici le communiqué UNIEF d’annonce de la conférence de presse du 17 janvier 2017 à Versailles

TRIBUNE « Mathématiques présidentielles 2017 : François Fillon déjà Président de la République française ? »

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Docteur en philosophie politique[1], le mathématicien Arnaud-Aaron Upinsky s’interroge pour savoir si, là où les sondages ne cessent de « se tromper », les « mathématiques politiques », elles, permettent de prévoir quel sera le grand vainqueur et le vaincu des Présidentielles 2017, déjà « pliées » avant même d’avoir le résultat du 2ème tour des primaires de la droite ?

« Le langage de la politique est écrit en langage mathématique sans l’usage duquel nul ne saurait comprendre un seul mot » ! En dépit de l’avertissement de Condorcet[2] montrant comment l’élection majoritaire à deux tours est le plus sûr moyen de confisquer l’expression de la Volonté générale, les sondages amusent les électeurs ignorant les secrets du grand échiquier des élections. Mais la candidature de François Fillon vient de déjouer les malices du trucage. Décryptage.

1) Le grand échiquier de la fabrique à Président. C’est un jeu de dupes se jouant à quatre avec, d’un côté, le Peuple « souverain » voulant élire le représentant de sa Volonté générale et, en face, le Pouvoir « dominant » cherchant à imposer son propre candidat, par l’entremise de deux outils de conditionnement opérant : la publication (ou non) des sondages ciblés et la mise en musique des médias, pré-formatant les débats sur la base de ces sondages de commande dont Alexandre Adler a tout dit de l’objectivité dans sa fameuse formule : « C’est celui qui paye la musique qui donne le ton ». Par le biais du « Ne discutez pas calculez », l’électeur est sommé de ne pas voter pour l’élu de son cœur mais pour le présumé « gagnable » calculé par les sondeurs. « Petit poisson deviendra grand pourvu que dieu lui prête vie ». Par le deuxième biais du « voter utile », le grand jeu consistera alors à faire passer à la trappe, un par un, sondage après sondage, les « petits » candidats mis en queue du peloton.

2) Acte I : Alain Juppé, le candidat du Pouvoir, placé en tête des sondages. En toute chose il faut considérer la fin. Il faut donc commencer par la publication, le 22 septembre 2016[3], des intentions de vote à 7 mois du scrutin du « Sondage sur la présidentielle 2017 : Le Pen au second tour, Hollande éliminé » par lequel le formatage commence en donnant le ton en ces termes : « Selon un sondage Elabe, peu importe les candidats en face, Marine Le Pen passera le premier tour, mais pas François Hollande ». « Marine  Le Pen se qualifierait pour le second tour de l’élection présidentielle 2017 dans tous les cas de figure ? C’est la conclusion d’un sondage Elabe, pour Les Echos et Radio Classique diffusé ce jeudi qui donne à la candidate frontiste entre 25 et 28 % des voix. Seul Alain Juppé serait capable de le devancer au premier tour. » Nicolas Sarkozy y est évoqué comme grand concurrent potentiel, François Fillon totalement ignoré. La mise sur orbite d’Alain Juppé, candidat d’alternance mis au zénith des primaires de la droite par la rafale des sondages peut dès lors commencer.

3) Acte II : l’arithmétique élémentaire d’Alain Juppé. Le gagnant des sondages n’a pas caché sa stratégie imaginée pour triompher de son rival Sarkozy : se faire élire à droite par les voix de gauche en se présentant comme le « rempart » contre le Front national. Mais c’est une erreur de calcul relevée a posteriori par Le Monde : « Alain Juppé s’est trompé de primaire. Comment espérer gagner celle de la droite avec les voix de gauche. Sans ces dernières – 15 % des électeurs aux premières estimations – il eût été probablement éliminé et l’on aurait eu droit à un second tour baroque entre Nicolas Sarkozy et son ancien premier ministre[4]. » L’erreur fatale d’Alain Juppé aura été d’avoir fait un calcul politicien – arithmétique – et non politique – qualitatif – des voix dynamiques que les instituts de sondages appelleront pudiquement le « vote caché ». Il n’a pas vu que le « paradoxe de Condorcet » faisant gagner l’élu des sondages ne s’appliquerait pas aux primaires dont les trois débats égalitaires privilégient l’accroche des idées « de droite » auprès d’un public structurellement « de droite ». Qualitativement il a donc perdu en cherchant à vendre des idées de gauche à un public de droite extensible et à « géométrie variable » ! Et par-dessus tout il a été aveuglé par son « assurance sondage » le plaçant en tête devant son seul vrai concurrent, Nicolas Sarkozy et négligeant totalement F. Fillon, compté pour arithmétiquement mort, alors que son électorat était géométriquement extensible par l’attractivité dynamique de ses idées « de droite » que la durée des primaires à trois temps devait permettre de capitaliser.

4) Acte III : les mathématiques supérieures de François Fillon. Là où Alain Juppé avait fait d’entrée de jeu un calcul quantitatif ( appel aux voix de gauche contre le noyau dur de Nicolas Sarkozy, François Fillon, étant considéré comme éliminé d’office ), « volens, nolens », François Fillon a choisi la voie de la vérité des primaires de droite : faire une campagne d’idées à droite pour convaincre et « approfondir » un électorat de droite ; faire appel aux ressors dynamiques d’un électorat de droite dont le « cœur de métier » est structurellement catholique ; privilégier ses thèmes : vérité, patrie, famille, travail, question scolaire, anti-pédagogisme, lecture, histoire, danger de l’islamisation, filiation, modèle, Poutine, protection des chrétiens d’Orient, sécurité renforcée, République « française », remise de la France au premier rang en dix ans, etc. A l’image de Donald Trump qui avait mobilisé la « majorité silencieuse » – son « vote caché » -, en menant une campagne à l’inverse de l’arithmétique sociétale que lui conseillaient les Média, François Fillon a mené une campagne de mobilisation sociale en jouant sur la géométrie variable de l’électorat de droite : il a réellement gagné à droite ce qu’Alain Juppé attendait vainement à gauche. En bref, la dynamique politique de François Fillon a gagné géométriquement[5], qualitativement sur les idées et non les chiffres, là où le calcul politicien – contre-nature – d’Alain Juppé a perdu arithmétiquement.

5) Acte IV : Les deux modèles mathématiques anti-Front-national. Aveuglé par le coup de tonnerre du 21 avril 2002, Alain Juppé pensait en reproduire à son profit le modèle mathématique ( ayant fait triompher Chirac « super menteur » à 80 % au deuxième tour), dans un combat frontal de deuxième tour contre Marine Le Pen. Ne voyant pas le modèle mathématique supérieur de son adversaire, il l’accuse de capter les voix du Front national, alors que François Fillon fait mieux : il ne va pas vaincre le Front National, il va le remplacer dans l’espoir le plus légitime de ses électeurs s’identifiant au drapeau tricolore ! Là encore, la mathématique qualitative de François Filon, triomphe de la mécanique dure d’Alain Juppé.

6) Acte V : l’inversion de la mécanique d’aliénation électorale. Par une de ces ruses de la raison, chère à Hegel, sans l’avoir voulu comme M. Jourdain faisant de la prose sans le savoir, en étant simplement fidèle à lui-même et à ses valeurs, François Fillon s’est inscrit dans le grande révolution épistémologique à laquelle nous assistons depuis la chute du mur de Berlin.  Il va dans le sens de l’histoire des « bouleversements en cascade du monde qui l’ont suivi avec : en février 2016, la levée en masse des Français contre la destruction de la langue française ; « en juin 2016, le Brexit du Royaume-Uni retrouvant sa liberté ; en novembre 2016, le séisme des USA redevenant l’ « Amérique », comme l’URSS redevenue la Russie revient aujourd’hui en Europe[6]». Il suit « sur le grand échiquier sémantique, noir et blanc, du nominalisme et du réalisme, la signification historique de ces bouleversements planétaires, vitale pour l’avenir » de la France : «  Le retour du nom à la chose, du global à l’universel, du formel au substantiel, et donc de la suprématie de l’anglais à la Reconquête du français, de ses valeurs de clarté, d’universalité et d’harmonie : en un mot de cette haute intelligence dont le monde, au bord du chaos, n’a jamais eu tant besoin pour pouvoir comprendre et construire l’avenir en cours d’écriture ! » En l’espèce, il est porté par le retour du chiffre au nom : de la construction mathématique d’une Volonté générale fictive, au service du Pouvoir dominant, à la Volonté générale du Peuple, au service des véritables intérêts de la France et des Français !  N’en déplaise à la furie politicienne des « mots tueurs » en isme lancés contre lui ces derniers jours, la vague qui porte François Fillon, celle du « vote caché » par les sondages ( trompeurs et non trompés) est bien celle de la Volonté générale des Français, interdite d’expression par le « paradoxe de Condorcet » depuis des lustres. Avec la percée de François Fillon, nous assistons à l’inversion de la mécanique d’aliénation électorale de la Volonté générale instaurée le 9 juillet 1789.  C’est une révolution !

7) Dernier acte : François Fillon Président, Front national éliminé. Désormais, la marche de François Fillon vers la Présidence de la République française doit s’accomplir dans toutes ses conséquences, comme un théorème, dans son identification à la Volonté générale en éliminant mécaniquement le Front national qui a choisi d’aller à l’inverse du sens de l’histoire.

C’est ainsi qu’en politique, comme la langue d’Esope, les mathématiques peuvent être la meilleure comme la pire des choses, entre les mains d’Alain Juppé ou de François Fillon, déjà thématiquement vainqueur du deuxième tour des primaires de la droite comme du deuxième tour des présidentielles 2017.  Sauf à commettre une faute à la Juppé, le succès de François Fillon, répondant à la Volonté générale « pour tous » et non plus au dictat partisan d’un quarteron de l’électorat, est mathématiquement inscrit dans ces nombre-idées de la véritable mathématique politique qualitative, ennemie des chiffres d’aliénation de la pensée ! Désormais, à l’heure du numérique, avec la campagne victorieuse de François Fillon, ce sont les Mathématiques politiques qualitatives qui sont de retour : ce ne sont plus les chiffres des sondages qui doivent commander les idées politiciennes, mais les idées politiques qui doivent commander les nombres, pour assurer le triomphe du langage sur les chiffres !  Pour restaurer la Volonté générale dans la plénitude de ses droits et avec elle la Liberté, il ne nous reste plus dès lors qu’à inverser l’apostrophe de Leibnitz « Ne discutons plus, calculons ! »  en «  Ne calculons plus discutons ! »  

Arnaud-Aaron Upinsky,  25 novembre 2016

Mathématicien, épistémologue, linguiste

Président de l’Union nationale des Écrivains de France

Blogue « Réarmer l’Intelligence ! »

Charger la Tribune « Mathématiques présidentielles 2017 » en fichier pdf

[1] Thèse de doctorat « Principes Mathématiques de Philosophie Politique »

[2]  Cf. « Essai sur l’application de l’analyse à la probabilité des décisions rendues à la pluralité des voix » ( 1785)

[3] Le Parisien.fr avec AFP, sondage réalisé entre les 20 et 21 septembre sur 1002 personnes, marge d’erreur de 1,4 à 3,1 % (sic).

[4] « Une révolte contre la partitocratie », Jacques Julliard, Le Monde du 23 novembre 2016.

[5]  Comment ne pas évoquer les « transformations » de la géométrie projective de Poncelet, l’homothétie et la similitude, opérant ces captivantes métamorphoses de l’espace logique politique, de sa topologie !

[6] Cf. « An 1 de la reconquête de la langue française », Lettre ouverte du 15 novembre 2016 au secrétaire perpétuel de l’Académie française.

Publication de la lettre de candidature d’A.-A. Upinsky au fauteuil de René Girard (F 37)

COMMUNIQUÉ UNION NATIONALE
DES ÉCRIVAINS DE FRANCE

                                                         ___________________

                                               ACADÉMIE FRANÇAISE                                              

PUBLICATION DE LA LETTRE DE CANDIDATURE D’A.-A. UPINSKY INVITANT LES  CANDIDATS  AU  FAUTEUIL DE RENÉ GIRARD À ADOPTER  CET  USAGE 

Nous sommes au carrefour de toutes les contradictions !

Le 17 novembre prochain, l’Académie va-t-elle voter contre elle-même, comme le 3 mars dernier, ou va-t-elle se conformer au « choix de Richelieu » que lui dictent ses statuts ?

Ce jour là, quel critère d’élection l’Académie va-t-elle prendre pour désigner l’élu au fauteuil de René Girard ? Un critère de mondanité, de situation médiatique acquise, de connivence, voire de haute trahison de la langue française, ou bien le choix de Richelieu d’une candidature vouée « À la  Reconquête de la langue française » et conforme à son appel du 5 décembre 2013 ? Et les médias, quel choix de couverture de l’élection vont-ils faire ? Celui du « débat interdit » sur le « plus grand secret » bien gardé du « Mal du français » en péril de mort, interdit d’antenne aux élections du 3 mars en toute violation de la charte de déontologie de Munich, de 1971 ; ou bien le choix d’un véritable débat de salut public sur la Reconquête de la langue française ? Quant aux candidats, quel choix d’affichage de leurs motivations vont-ils faire ? Celui d’Andreï Makine, ayant  gardé le silence sur la Réforme de l’orthographe et sur la destruction de la langue française jusqu’au jour de son élection pour dire alors, sans rire, qu’ « Il ne faut pas avoir peur d’être traditionnel, d’être classique » ; ou bien celui résolu d’un « Pour la Reconquête de la langue française  » ?

« Aux yeux de Philippe Beaussant [ Président de la Défense de la Langue française], ce coup de théâtre de l’Académie votant contre elle-même, sous le coup d’un dictat et d’un chantage au mot n’existant pas « complotiste », rendait inévitable une contre-attaque générale de grande envergure devant faire de 2016 l’an 1 de la Reconquête ! »  C’est, en effet, ce 3 mars que, pour la première fois, les ennemis de la langue française, effrayés par le soulèvement en masse des Français ( 80 %) et par la révélation du « grand secret » de destruction de la langue française ont franchi la « ligne jaune » et se sont enfin révélés au grand jour « pour inverser le cours d’une élection de l’Académie française »

A l’heure de toutes les contradictions, de toutes les violences, de toutes les incompréhensions, de tous les reniements, de toutes les Institutions fonctionnant exactement à l’inverse de leur mission : Tel est le « Mal français » ! Tous les maux politiques, littéraires et scolaires se ramènent à une seule et même cause, la destruction programmée de la langue française dès l’école, et à une évidence : « l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de la langue française – langue de la transcendance du Verbe, classique par excellence –  sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements »le « Mal français », se réduisant dès lors au seul « Mal du français » auquel il faut porter remède de toute urgence !   

POUR ou CONTRE la Reconquête de la langue française ? Tel est le seul choix désormais possible entre les amoureux de la langue française et ses ennemis, le seul cri de ralliement qui vaille pour désigner les deux camps irréconciliables. Le 3 mars 2016, le « score » de bipolarisation de l’Académie française donnait 12 % en faveur du camp de la Reconquête et 88 % contre ( avec 54 % de non expression !). C’est le point de départ de la Reconquête de 2016. Désormais, d’élection en élection, le « score » des candidats de la Reconquête, véritables volontaires de l’an 1, sera l’instrument de mesure qui permettra de suivre l’avancement de la Renaissance de la langue française ou le progrès de sa haute trahison ! Reconquête de la langue, inséparable de celle de l’Académie française et de la France elle-même puisque, comme le rappelait le 5ecrétaire perpétuel de l’Académie française, dans son appel du 5 décembre 2013 « A la reconquête de la langue française » :  « L’avenir de la France est inséparable de la gloire de notre langue » !

Union Nationale des Écrivains de France, 21 octobre 2016

1. Académie française. Annonce de la publication de la lettre de candidature d’Arnaud-Aaron Upinsky au fauteuil de René Girard 

2. Lettre de candidature s’Arnaud-Aaron Upinsky du 19 octobre 2016

3. Annonce de la publication de la 2ème lettre de candidature à l’élection du 3 mars 2016

Union Nationale des Écrivains de France                                                                          Contact presse : courrierposte@orange.fr  –  Tel : 06 01 76 20 79

 

 

L’EXPOSITION ELIASSON-PEGARD 2016 ? LE GLAS D’UNE VISION FASCISTE DE L’ART NEGATIONNISTE A VERSAILLES !

Communiqué  

Coordination Défense de Versailles

  29 juin 2016

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Versailles, acteur clef de l’Art et de la Politique

L’exposition Eliasson-Pégard 2016 ? Le glas d’une vision fasciste de l’art négationniste à Versailles! 

            «  Je vous le dis, s’ils se taisent, les pierres crieront » (Lc 19, 40)

« Consensuelle » ! Acculée à déclarer « consensuelle », la 9ème exposition d’art new-yorkais à Versailles, du Danois Eliasson, Catherine Pégard vient d’acter sa défaite, libératrice de Versailles, en sonnant le glas de cet art officiel « négationniste »  imposant une « vision fasciste de la culture » à Versailles, selon les propres termes du Ministre de la Culture Fleur Pellerin[1] assimilant « violence » plus « art officiel » au fascisme. Cette  vision « fasciste » d’un art d’Etat, qui est de règle à Versailles depuis J.-J. Aillagon, avait été dénoncée, dès l’origine[2] par le Canard enchaîné, dans son fameux article « Arrête de faire le Koons ! », en ces termes sans appel : « Et ceux qui persistent à se gausser du nouvel art officiel, au goulag ! »  Cette défaite libératrice est la victoire de la Coordination Défense de Versailles. Décryptage.

I) Dans l’exposition Eliasson-Kapoor, il n’y a rien à voir mais tout à comprendre !

EliassonTelle est la grille de lecture permettant de comprendre le stratagème de Catherine Pégard
feignant le « consensus » tout en maintenant le cap génocidaire. D’un côté, les touristes peuvent passer à coté des gadgets d’Eliasson – trois dans les jardins, cinq à l’intérieur du château- sans même les apercevoir, tant ils sont insignifiants. On a même vu une japonaise peindre la sublime perspective royale du Grand canal en ignorant la monstrueuse grue déversoir d’eau, à la verticalité new-yorkaise, barrant sa vue, et mise en eau seulement 5 heures par semaine ! De l’autre, et l’essentiel est là, il faut comprendre, à la lecture des articles et des « images »  inondant les média, que l’exposition Eliasson-Pégard poursuit, point par point, le plan de génocide culturel révélé avec Kapoor par :

1) L’exclusion des artistes français, Eliasson étant le 7ème artiste étranger privilégié sur 9, ostracisme que Rémy Aron, Président de la Maison des Artistes ne cesse de dénoncer avec « le fait que 98 % des artistes qui travaillent sur le territoire français sont totalement exclus du système[3].»

2) L’exclusion de la langue française, les titres étant exclusivement anglais pour souligner la langue du maître colon : « Waterfall« ,« Deep Mirrors », « Solar Compression », »Curious Museum »,

3) L’affirmation de la suprématie new-yorkaise sur le Symbole de Versailles par la « reprise » du viol des Grands appartement royaux « respectés » depuis l’exposition Vasconcelos de 2012 .

4) L’apologie de la stratégie du « chaos » sur l’ harmonie des sphères de Versailles, par les stéréotypes verbaux déjantés de C. Pégard présentant l’exposition  Eliasson comme un « lieu « où « les astres peuvent se rencontrer, l’horizon se dérober, et toutes nos perceptions se brouiller ( sic)»

5) L’ambition d’inverser la vision de Versailles, par une « coproduction » – c’est-à-dire une défiguration-contrefaçon du chef d’œuvre – prétendant à la supériorité du contemporain new-yorkais sur le classicisme français, à travers les stéréotypes éculés d’Eliason se targuant en toute vanité du « défi exaltant »  « d’avoir à travers l’art l’opportunité de coproduire la perception actuelle de Versailles », de « Créer une intervention artistique qui modifie le sentiment des visiteurs et offre un point de vue contemporain sur cet héritage fort».

Voici les preuves démontrant que l’exposition d’Eliasson poursuit le même but génocidaire que Kapoor.

II) Si, contre toute évidence, la très politique Catherine  Pégard, fermée à tout dialogue, en est aujourd’hui réduite à jouer la « fraternisation », c’est qu’elle vit dans la peur de voir éclater la « bombe » à retardement  des conclusions d’enquête criminelle publiées dans la « Lettre ouverte à la reine Elisabeth II » du 18 décembre 2015. Lettre à laquelle la reine Elisabeth II a pleinement répondu, à sa manière, et conclusions auxquelles nul démenti – ni de source policière, ni du Ministère de la culture, ni de la Présidence de la République, ni des  média – n’a pu être apporté. Ceci, alors que la CDV est la source officielle de la Résistance culturelle à Versailles : du Parisien local et des média nationaux, jusqu’à Washington et au Wall Street Journal ! Silence médiatique et « non réponse » du château ayant donc valeur de preuve et d’acquiescement tacite !

III) De quel scandale Catherine Pégard a-elle tant peur dans cette lettre à la reine ? Peur de voir étalée au grand jour la censure quasi-militaire des média sur la vérité de l’exposition Kapoor à Versailles : sur son infâme mise en scène inversée de l’Apocalypse, sur sa haine de la France, sur le piteux abandon de son projet de faire de sa « Gueule de Léviathan » tagué un « Mémorial à la honte de la France », avec la complicité de toute la chaine d’oppression culturelle et politique. Peur de voir tournée en ridicule sa participation au bidonnage d’un prétendu attentat de fantomatiques « royalistes ultra conservateurs » évaporés en 1815. Peur de  se voir demander des comptes sur la porosité de la sécurité à Versailles et sur la recherche des « vrais » coupables des tags. Peur de voir faire son bilan sur l’échec de sa grande ambition, confiée au Monde du 27 janvier 2012  « Versailles est le lieu emblématique du pouvoir » dans lequel elle annonçait : « on me jugera sur ce que j’ai fait » en ponctuant l’avertissement qu’elle avait reçu à son arrivée : «  On vous pardonnera toujours de voir trop grand, on ne vous pardonnera jamais d’avoir vu trop petit ». Après la déroute de Kapoor, que reste-t-il de sa grande ambition sur le Centre de recherche sur le XVII; sur son « idée d’exposition sur la constitution de l’Etat et du pouvoir » et sur « l’approfondissement » ( sic : l’attentat de Kapoor) de la « relation de l’art contemporain avec le patrimoine historique » ; sur son « idée » nauséeuse :  « En 2015 pour les 300 ans de la mort de Louis XIV, on peut imaginer montrer les crânes de Damien Hirst et ses vanités, cela a un sens. » ; et enfin sur son « idée » d’utiliser son « expérience » pour lui « donner  un bon  fil conducteur pour un livre sur les ressorts du pouvoir sous tous les angles » ? Que reste-il de toutes ces ambitions sinon le naufrage chimérique d’une femme froide, sombre et solitaire, dénuée de sensibilité et d’amour pour ce « lieu [4]» d’enchantement, au profil inverse de celui de la charismatique Catharine Hamilton des American friends of Versailles tombée amoureuse de Versailles à 17 ans ! Catherine Pégard se  targue d’établir un dialogue avec cette merveille de Beauté, d’Intelligence et d’Amour, qui en son fort intérieur , comment en douter représente tout ce qu’elle déteste, en fait de Valeurs, contrairement même à J.-J. Aillagon. A l’heure du rejet de la Politique dont elle est une figure emblématique, comment Catherine Pégard, nommée à Versailles par raison d’Etat « négationniste », pourrait-elle comprendre l’essence de Versailles, représentant le modèle d’un Pouvoir légitime se déclinant avec Amour, Intelligence et Beauté, pour rendre visible au monde entier la « République idéale du Roi-Soleil[5] »  ?  Peur surtout de voir révélé le véritable but de guerre – et non d’Art ! de l’attentat terroriste du « chaos » de Sir Kapoor contre le Symbole de Versailles : le plan du génocide culturel planétaire, sans exemple dans l’histoire, visant à établir l’hégémonie absolue du  « softpower » anglo-saxon sur les esprits, en toute filiation historique avec le vandalisme terroriste mis en accusation par Gilbert Romme à la tribune de la Convention, le 26 octobre 1793  :

 « C’est ainsi que les lâches oppresseurs du peuple anglais veulent anéantir les monuments qui attestent la supériorité de nos arts et de nos génies, afin de nous replonger dans la barbarie, dans l’ignorance, et de nous vaincre en nous opprimant plus facilement ! » .

IV ) Le plus grand échec de Catherine Pégard, est, par maladresse, d’avoir rendu visible les « ressors du pouvoir » d’imposture, de tyrannie et d’aveuglement, dévoilés par Gilbert Romme et d’apporter avec l’attentat de Kapoor – dont elle voulait faire la démonstration qu’elle  savait « voir trop grand » – la preuve que le plan de génocide culturel universel, le « mainstream » anglo-saxon, de toutes les Valeurs fondatrices de la Civilisation universelle héritée des Grecs, n’est QUE la poursuite à l’échelle planétaire du Vandalisme de la première république terroriste de l’histoire du monde  dont les principes[6] ont été édictés sans appel dans le décret génocidaire du 14 août 1792, en ces termes :

« considérant que les principes sacrés de la Liberté et de l’Égalité ne permettent point de laisser plus longtemps sous les yeux du peuple français les monuments élevés à l’orgueil, aux préjugés et à la tyrannie ».

Vandalisme d’Etat qui conduisit à la destruction d’un tiers du patrimoine des chefs d’œuvre de la France s’ajoutant au premier tiers des guerres de religion du protestantisme. Sa faute inexpiable c’est, avec le symbole d’inversion du C-Curve de Kapoor[7], d’avoir désocculté la technique d’aveuglement du Regard du métissage colonial new-yorkais et du SID’ART[8], révélant ainsi que : l’« art contemporain » est à la destruction « morale » du patrimoine artistique de l’Humanité, ce que le vandalisme de 1792 était à la destruction « physique et morale » du patrimoine artistique français. Son crime inexpiable, au regard de ses commettants, c’est d’avoir fait exactement l’inverse de ce que lui enjoignait sa mission : au lieu d’inverser le regard sur Versailles, pour le reléguer aux accessoires de l’antiquité au profit du « mainstream » anglo-saxon, c’est Versailles qui a inversé la Vision des peuples sur la tyrannie génocidaire de l’anglo-saxon pour en faire un objet d’abjection et de barbarie, l’art universel de Versailles apparaissant dès lors comme porteur d’un idéal emblématique du futur.  Laurent Fabius n’a-t-il pas dit en 2010, lors de l’exposition Murakami  : « Versailles a survécu à la Révolution, il survivra à [ces expositions dégradantes ] !»

V) « Versailles outragé », c’est « le Mémorial à la honte » de la barbarie de l’  art génocidaire anglo-saxon, soit l’inverse du projet avorté de Kapoor de faire de son « Durty corner » du Léviathan le « Mémorial à la honte de la France » à exhiber dans tous les musées du Monde. En faisant de l’action judiciaire de la Coordination Défense de Versailles, contre les expositions dégradantes dans les Grands appartements royaux, une des 50 dates de Versailles[9], J.-J. Aillagon ne croyait pas si bien dire. Aujourd’hui, Versailles a gagné la guerre que New-York y avait déclarée en 2008, à l’Art, à l’Intelligence et à la Civilisation, sous le nom usurpé d’« art contemporain ». Versailles ayant gagné la guerre de l’Art contre son contraire new-yorkais, c’est une nouveau chapitre de l’histoire de l’art qui s’ouvre. Le « chaos » étant l’inverse de l’« harmonie » comme la « Laideur » l’est de la « Beauté », l’« art du chaos » anglo-saxon ne peut plus ni se réclamer d’une continuité historique avec l’Art européen hérité des Grecs, ni a fortiori  prétendre à sa succession et à une quelconque supériorité dans un art usurpé dont il en la négation. Identifié au pire des vandalismes – le génocide culturel négationniste de toute valeur – , convaincu du crime des crimes, à Versailles,  contre l’Art, l’Intelligence et la Civilisation, l’art anglo-saxon se trouve désormais mis au banc d’infamie de l’Humanité civilisée toute entière !

En conséquence de quoi, la CDV : 

Rappelant que la liberté c’est d’avoir le courage de dire que « deux et deux font quatre » , et d’ « appeler un chat un chat et Rollet un Fripon » et que l’abbé Grégoire, créateur du mot « vandalisme » avait dit « je créai le mot pour tuer la chose » :

  • En appelle tous les vrais amis des Arts, des Lettres et de la Civilisation dont Versailles est la figure emblématique à ne plus utiliser l’art anglo-saxon du « chaos » visant à annihiler toutes les Valeurs fondatrices de la Civilisation et tous les monuments du génie humain QUE sous son nom d’infamie d’art « négationniste »,dicté par une vision fasciste de la culture ;
  • Déclare Versailles humilié « Mémorial de la honte » par l’art officiel « contemporain » à Versailles et par ses complices ;
  • Signale que ce Mémorial d’infamie stigmatise désormais la ligne de « partage des arts » permettant de distinguer la « fracture culturelle » devant désormais être établie entre l’Art créateur et son inverse prédateur, entre l’Art universel hérité des Grecs ( du Beau, du Vrai et des Valeurs créatrices ) et l’art anglo-saxon se disant « contemporain » ( du Laid, du Faux et du génocide culturel), pour marquer la frontière salvatrice entre les deux camps irréductibles de la Civilisation et de la Barbarie, entre l’art des esclaves et l’art des hommes libres, entre les hommes libres et les esclaves, en suivant l’exhortation du rapport de  l’abbé Grégoire du 31 août 1794 :

 « Puisque les tyrans [ de l’art contemporain] craignent les lumières », que « la liberté est fille de la raison cultivée », alors « Inscrivons donc, s’il est possible, sur tous les monuments, et gravons dans tous les cœurs cette sentence : « Les barbares et les esclaves détestent les sciences, et détruisent les monuments des arts ; les hommes libres les aiment et les conservent ». [10]

Enfin délivré de l’art « négationniste » nous pourrons dire : « Versailles ! Versailles outragé ! Versailles brisé ! Versailles martyrisé ! Mais Versailles libéré par lui-même, et par les hommes libres !

Charger le fichier pdf du Communiqué CDV du 29 juin 2016. L’exposition Eliasson-Pégard 2016 , le glas d’une vision fasciste de l’art négationniste à Versailles

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Arnaud-Aaron Upinsky, Président de la UNIEF/Coordination Défense de Versailles

Contact presse : courrierposte@orange.fr et tel : 06 01 76 20 79

Site : coordination-defense-de-versailles.info.

[1] 6 septembre 2015

[2] 24 septembre 2008

[3] Cf. Lettre de Rémy Aron à Arnaud Upinsky du 21 octobre 2010

[4] Il faut l’entendre dire avec une commisération confondante « Ce qui me frappe, c’est la passion des gens pour le lieu ».

[5] CF. Communiqué CDV du 8 janvier 2014

[6] La raison d’Etat politique du vandalisme terroriste de 1792 est claire. Puisque, comme l’atteste l’académicien La Harpe à la chute de Robespierre, les révolutionnaires de la première république terroriste de l’histoire ne comptaient que 300 000 hommes, sur une population de 26 millions d’habitants ; puisque les « valeurs » sur lesquelles ils entendaient fonder leur légitimité étaient rigoureusement inverses des Valeurs des Français, figurées sur tous les monuments hérités de leurs ancêtres fondateurs de la France ; puisque selon leurs propres termes « la République [ terroriste de 1792] est la destruction totale de ce qui lui est opposé » ; pour toutes ces raisons, il est aisé de comprendre que ces monstres ne pouvaient prétendre régner que par les serments de haine et de proscription de ces valeurs, la terreur, la guillotine, la destruction du calendrier,  des noms de lieux et des patois, comme de la mémoire des peuples. Dès leur prise du pouvoir par le viol de la Constitution de 1791, ils devaient aussitôt entreprendre la destruction du patrimoine monumental, artistique et littéraire, par une politique de « vandalisme », selon le mot que lui donnera l’abbé Grégoire, lancée et « justifiée » par le décret du 14 août 1792.

[7] Depuis Jeff Koons (2008), le procédé « mécanique » d’anéantissement de l’Art du Beau consistait à « taguer » les lieux symboliques de Versailles en leur opposant un objet de dérision « niant » le sens des valeurs pour en « inverser » le regard.

[8] Cf. 1) « Manifeste culturel colonial international de Versailles contre l’aliénation mondiale du métissage colonial new-yorkais », du 14 septembre 2010 ; 2) Lettre ouverte à la reine Elizabeth II du 18 décembre 2015.

[9] « Versailles en 50 dates », Ed. Albin Michel, 2012.

[10] L’abbé Grégoire : Rapport sur les destructions opérées par le Vandalisme et les moyens de le réprimer (31 août 1794)