L’accent circonflexe, c’est la couronne du pauvre !

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Arnaud-Aaron Upinsky, linguiste, épistémologiste et mathématicien, mène un ardent combat contre la disparition de tout ce qui fait la grandeur de la France. Il s’est élevé contre la dénaturation de l’art à Versailles, contre la réforme de l’enseignement des mathématiques et plus récemment, contre la réforme de l’orthographe. Il profite de sa candidature à l’Académie Française pour rappeler cette institution aux devoirs que lui avait fixés le cardinal de Richelieu. La défense de la langue française ne passe pas par l’enrichissement du vocabulaire, mais par le respect des règles grammaticales, la promotion de la poétique et son illustration. Si quatre-vingt pour-cent des Français se déclarent opposés à la réforme de l’orthographe, c’est que le français est la richesse des pauvres et des sans-grades.

Source : MPI-TV : http://www.medias-presse.info/laccent-circonflexe-cest-la-couronne-du-pauvre-arnaud-aaron-upinsky/49679

LA GUERRE DE L’ORTHOGRAPHE Najat Vallaud-Belkacem VS l’Académie Française

…pour Le Monde : Mme Vallaud-Belkacem fait part de son « étonnement » à l’Académie Française

lien : © Le Monde.fr

…pour Le Figaro : Najat Vallaud-Belkacem critique l’Académie Française

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Monde-Education

Orthographe : Mme Vallaud-Belkacem fait part de son « étonnement » à l’Académie Française

Le Monde | 16.02.2016 à 05h45 • Mis à jour le 16.02.2016 à 08h13

Le ministre de l'éducation nationale : Najat Vallaud-Belkacem

La ministre de l’éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a adressé une lettre à Hélène Carrère d’Encausse, la secrétaire perpétuelle de l’Académie Française, après que cette dernière a pris ses distances avec une réforme de l’orthographe de 1990 et qui apparaîtra dans des manuels scolaires.

« C’est avec intérêt, mais également avec un certain étonnement que j’ai pris connaissance de votre réaction publique aux nouveaux programmes de la scolarité obligatoire, publiés le 26 novembre 2015 vous critiquez notamment la référence, pourtant identique à celle de 2008, aux rectifications de l’orthographe proposées par le Conseil Supérieur de la langue française », écrit Mme Vallaud-Belkacem dans cette missive, datée du lundi 15 février et rendue publique mardi 16 février.

« Étonnement renforcé par le fait que ces rectifications sont intégrées dans la neuvième édition du dictionnaire de l’Académie Française et que l’Académie, pourtant contactée par le Conseil Supérieur des programmes cet été, n’a pas fait de remarque quant à la présence de cette référence. »

Dans un entretien publié samedi par Le Figaro, Hélène Carrère d’Encausse affirme n’avoir « pas compris les raisons qui expliquent l’exhumation d’une réforme de l’orthographe élaborée il y a un quart de siècle et où l’Académie Française n’a eu aucune part, à l’inverse de ce qu’on l’on a voulu faire croire ».

Lire aussi : L’Académie française contre toute réforme de l’orthographe

« Pas suscité de démenti »

Largement méconnue, la réforme adoptée en 1990 prévoit la simplification de l’orthographe de certains mots et allège l’usage des traits d’union et des accents circonflexes. Sa généralisation prochaine dans les manuels scolaires du primaire suscite une vive polémique.

Lire aussi : Non, l’accent circonflexe ne va pas disparaître

Selon la ministre de l’éducation nationale, le secrétaire perpétuel de l’époque, Maurice Druon, avait affirmé que le rapport du Conseil Supérieur de la langue française sur les rectifications de l’orthographe « avait été approuvé à l’unanimité par l’Académie ».

Et la publication, en 2008, des programmes de l’enseignement de français au collège faisant référence à ces « rectifications de l’orthographe », « approuvées par l’Académie Française », « n’a pas suscité, à ma connaissance, de démenti de la part de l’Académie », insiste la ministre. Et de conclure :

« Eu égard à la mission de défense et d’illustration de la langue française assignée à l’Académie, je vous serais reconnaissante de bien vouloir me faire part de toute évolution de la position de votre institution quant aux rectifications orthographiques, afin que les acteurs concernés puissent en tenir compte à l’avenir. »

Le ministre de l'éducation nationale : Najat Vallaud-Belkacem

Source : © Le Monde.fr


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Un dilemme pour les Immortels : le choix de Mitterrand ( A. Makine ) ou celui de Richelieu ( Un authentique défenseur de la langue française) ?

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TRIBUNE « Un dilemme pour les Immortels : le choix de Mitterrand (A. Makine) ou celui de Richelieu (un authentique défenseur de la langue française) ? »

 

Arnaud-Aaron Upinsky, le 12/02/2016 à 12h41

 

L’écrivain Arnaud-Aaron Upinsky s’inquiète de la tournure des débats en vue de la prochaine élection du 3 mars à l’Académie Française. En pleine réforme de l’orthographe, celle-ci doit fait le choix d’un défenseur de la langue française.

 

« Les académiciens sont inquiets ! » disent-ils tous. Après trois ans de tempête sur la langue française et sur l’Académie, avec le retrait forcé de la candidature de Frédéric Mitterrand, que l’AFP avait jusque-là présenté comme pré-élu, la prochaine élection du 3 mars s’annonce déjà comme le coup de tonnerre d’entrée dans une nouvelle ère pour l’Institution : la fin d’un monde jusque là préservé des outrages et de la violence des temps nouveaux par des rites immuables qui viennent de voler en éclat le 4 février dernier, lors de l’émission BFMTV du soir de Nathalie Levy.

Frédéric Mitterrand retire sa candidature à l'Académie Française

Inconscience, calcul politicien, pure philanthropie, esprit de vengeance ? Que s’est-il passé ce jour-là dans la tête du candidat fétiche – par comble d’ironie disant même : « j’ai agi comme en académicien ! » – pour violer à ce point toutes les règles de la bienséance et tourner en dérision la future élection en lui ôtant toute raison d’être. Pensez-vous ! Après avoir fait l’éloge d’Andreï Makine en déclarant lui céder sa place de bon cœur, l’ancien ministre de la culture a justifié son geste de générosité en disant retirer sa candidature pour ne pas lui nuire. « Il y a un candidat qui s’est présenté pour qui j’ai énormément d’estime. J’apprécie beaucoup son œuvre. Je ne veux pas être un embarras pour son éventuelle élection ». Mais « in cauda venenum » (dans la queue le venin), au lieu de s’en tenir là, notre bon samaritain a hélas ajouté : « Il est plus fragile que moi sur le plan émotionnel, s’il est battu, il ne se représenterait pas. Je peux me représenter plein de fois, ce n’est pas un problème. Mais lui s’il est battu, il ne va pas se représenter. »

« Fragile au plan émotionnel »

Pourtant n’est-ce pas à Nicolaï et aux Immortels d’en décider ? Alors chacun conviendra que ce n’était pas le meilleur service à rendre au futur élu de son cœur que de le stigmatiser aux yeux de tous, lors d’une émission « grand public », comme « fragile au plan émotionnel » ! Formé à l’école de son prestigieux parent, Frédéric Mitterrand n’est-il pas habile à inverser les rôles pour sauver la face en présentant l’échec électoral en succès ? À l’Académie, tout le monde savait que la mise sur orbite de son élection, via l’AFP, n’était pas la bien venue dans le climat électrique créé depuis l’élection d’Alain Finkielkraut.

Et, pour discréditer totalement le rite de l’élection, Frédéric Mitterrand ne s’est pas contenté de vouloir imposer aux Immortels le choix exclusif d’un candidat « fragile au plan émotionnel ». À l’ultime question de Nathalie Levy « Sauf que vous n’êtes pas seul dans la course en face de lui, il y en a d’autres, non ? », il a répondu d’un rire méprisant « Non, pas si importants, je ne veux pas les insulter, ils se présentent depuis dix ans ! » en prétendant que les Immortels n’auraient pas d’autre choix, que « le choix de Mitterrand » était le seul possible du fait de son retrait ! Comment mieux ridiculiser l’Institution ?

Hérésie  ?

Andreï Makine
Andreï Makine

Néanmoins, l’anticipation de l’élection d’Andreï Makine par Frédéric Mitterrand aura eu l’insigne mérite de poser la question du critère devant présider à l’élection de l’Académie : le « choix de Mitterrand » ou « le choix de Richelieu » prévu dans les statuts ? Le Secrétaire perpétuel de l’Académie, Madame Hélène Carrère d’Encausse, a hautement proclamé qu’elle voudrait connaître « les dons et les goûts » des candidats. Et les Français également comme l’ont montré leur passion à s’opposer à la « réforme de l’orthographe » et la terrible philippique de Frank Ferrant (1). À ce sujet, des académiciens s’étonnent de la « faiblesse linguistique » d’Andreï Makine qui prétend qu’il y aurait « autant de langue que de grands écrivain », contre-sens monstrueux pour un candidat confondant la pluralité des styles avec l’unicité de la langue ! « Est-ce prudent d’élire une telle hérésie ? » s’est même exclamé l’un d’entre eux ?

C’est ainsi qu’en prétendant anticiper l’élection politicienne d’Andreï Makine à BFMTV au lieu d’attendre le verdict académique du quai Conti, Frédéric Mitterrand a placé l’Académie devant un dilemme : le « choix de Mitterrand » (d’un candidat « fragile affectivement » préfabriqué par l’AFP et ignorant le b, a, ba de la linguistique) ou le « Choix de Richelieu » que le fondateur de l’Académie voulait basé sur le seul talent du mieux placé pour défendre vraiment la langue française. Serait-ce trop demander à l’Académie de devoir respecter ses statuts le 3 mars prochain pour sauver la langue française en péril de mort ?

 

Arnaud-Aaron Upinsky

 

 

 


[1] Figarovox, 9 février 2015

Source : la-croix.com

Reconquérir les territoires perdus de la langue française

A.A. Upinsky a accordé un entretien à la chaine Yvelines Première dans le cadre de sa candidature à l’Académie Française :

A.A. Upinsky à Yvelines Premiere

« …reconquérir les territoires perdus de la langue française,
pour Réarmer la langue…
pour Réarmer l’intelligence…
pour Réarmer l’Académie… »

Logo Yvelines Première

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Le Journal – Mardi 9 février 2016

Extrait du Journal :

  • Portrait d’un candidat yvelinois à l’Académie Française

Source : Yvelines Première

Académie Française : Andreï Makine candidat, Frédéric Mitterrand se retire

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| MAJ :

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Frédéric Mitterrand n’est plus candidat à l’Académie française. LP/Frédéric DUGIT

Trop fort pour lui ? L’annonce de la candidature du romancier d’origine russe Andreï Makine, prix Goncourt et prix Médicis en 1995, à l’Académie Française,  au fauteuil de la romancière algérienne décédée Assia Djebar, a eu pour conséquence le retrait de la candidature de Frédéric Mitterrand ainsi d’ailleurs que de celle de Jean-Claude Perrier.

Âgé de 68 ans, le neveu de l’ancien président François Mitterrand, auteur d’une quinzaine de romans, a également été producteur-animateur de télévision avant d’être directeur de la Villa Médicis à Rome puis ministre de la Culture de Nicolas Sarkozy de 2009 à 2012. C’était sa première candidature à l’Académie Française.

Andreï Makine, 58 ans, est considéré lui comme l’un des grands écrivains de langue française. Son roman «Le testament français» a réussi l’exploit, en 1995, d’être couronné à la fois par le prix Goncourt, le prix Goncourt des lycéens et le prix Médicis. Auteur de 16 livres sous son nom, il a également écrit quatre romans sous le pseudonyme de Gabriel Osmonde. Grande médaille de la Francophonie en 2000, il a reçu en 2005 le prix de la Fondation Prince Pierre de Monaco pour l’ensemble de son œuvre et, en 2014, le prix Mondial de la Fondation Simone et Cino del Duca-Institut de France. Ces deux dernières récompenses sont souvent considérées comme des sésames pour entrer sous la Coupole.

Outre la candidature d’Andreï Makine, l’Académie Française, dans sa séance du jeudi 4 février 2016, a également enregistré celles de MM. Michel Carassou, Éric Dubois et Eduardo Pisani. Sept autres candidats sont en lice pour l’élection fixée au 3 mars mais leur chance d’être élu est quasi nulle. Plusieurs de ces candidats s’étaient déjà présentés à l’Académie sans jamais recueillir une seule voix.

VIDÉO. Frédéric Mitterrand retire sa candidature pour ne pas nuire à Andreï Makine

Source : leparisien.fr

Le DUEL Mitterrand vs Upinky annoncé par Le Parisien

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Un Versaillais candidat à l’Académie Française

| MAJ :

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Arnaud Aaron-Upinsky a fait acte de candidature pour faire son entrée à l’Institut de France, siège de l’Académie Française. (DR.)

 

Arnaud Aaron-Upinsky a envoyé sa lettre de candidature à l’Académie Française. Ce Versaillais, qui se qualifie tout à la fois de mathématicien, d’épistémologue et de linguiste, est candidat au fauteuil laissé vacant par Assia Djebar (fauteuil n° 5).

Sa candidature a été enregistrée le 21 janvier. Essayiste et auteur de plusieurs livres, il s’est fait notamment connaître en s’opposant avec véhémence à plusieurs expositions d’artistes contemporains au château de Versailles. Animateur du blog Coordination Défense de Versailles (CDV), il est considéré comme proche des milieux catholiques traditionalistes. L’élection à ce fauteuil est fixée au jeudi 3 mars 2016. Frédéric Mitterrand, ancien ministre de la Culture, est également candidat. « Je veux défendre la langue française qui est en danger et réveiller les consciences » insiste Arnaud Aaron-Upinsky.

Source : « Le Parisien » : http://www.leparisien.fr/versailles-78000/un-versaillais-candidat-a-l-academie-francaise-01-02-2016-5504677.php

 

Non à la réforme de l’orthographe

Signez la pétition :

NON À LA RÉFORME DE
L’ORTHOGRAPHE !

Sauvons l’Académie Française !

Sauvons notre langue !

 

NON ! Car cette réforme est « anti-démocratique », puisqu’elle a été refusée « dans les faits » par le peuple français qui ne l’applique pas depuis 26 ans !

NON ! Car elle est « anti-constitutionnelle », puisqu’elle viole l’usage et le génie de la langue française – tout de précision, de clarté et de beauté – qui assure sa supériorité universelle sur l’anglais ( art.2 ) !

NON ! Car elle viole les statuts de l’Académie Française, puisqu’elle introduit l’incertitude, l’insécurité et le « chaos » d’une « double orthographe » en totale contradiction avec sa principale mission : « donner des règles certaines à notre langue et à la rendre pure, éloquente » (art. 24 des statuts) !

NON ! Car elle introduit le symbole d’une division anti-républicaine, puisqu’elle contrevient au sacro-saint principe d’égalité de la langue de la République « Une et indivisible » et plonge les Français dans la « division » au moment où ils ont le plus besoin d’ « Unité » !

 

En vérité, cette réforme procède de la « stratégie du chaos » mise en œuvre par le Ministre de l’Éducation Nationale pour mettre en difficulté l’Académie Française sur son prétendu accord de 1990 (périmé), pour la « punir » de sa déclaration du 11 juin 2015 stigmatisant le nouveau « mauvais coup porté à la langue française » par la réforme du collège dite « Najat Vallaud-Belkacem ».

                  

NON AU SYMBOLE DU CHAOS !

 

Arnaud-Aaron Upinsky,
candidat à l’élection de l’Académie Française du 3 mars 2016

 

 

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Le défi géopolitique « français » de l’après « 11 septembre français »

Le défi géopolitique « français » de l’après « 11 septembre français (1) »

L’appel de F. Hollande à la Révolution de la langue à l’école : pour réarmer l’Intelligence et faire du «français» l’arme anti-terroriste de Reconquête n° 1 ! Mais contre qui ?

Par sa remise à l’honneur du « français », pour faire de sa «  maîtrise » à l’école le fer de lance de sa politique anti-terroriste, c’est à une totale inversion de la politique d’incitation à la haine du français – jusque là l’« ennemi à abattre » ! selon la célèbre formule de l’Académie Française[2] – que le Président de la République vient d’en appeler, à l’ouverture de l’étape 2 de la « refondation de l’école ». L’incroyable Révolution de l’enseignement du français, qu’il a ainsi lancée, le 21 janvier 2015 à la Sorbonne, lors de ses vœux au monde éducatif[3], met la Reconquête des territoires perdus de la langue française au centre de sa politique intérieure mais aussi internationale en raison du « statut » universel du français ! Quelle est la « faisabilité » d’un tel virage à 180 % ?

Quelle est la raison « géopolitique inéluctable » de cette décision de faire de la Reconquête du français la priorité n° 1 de l’école ?

Du décryptage du terrorisme au code de lecture, F. Hollande a remonté maillon après maillon, la chaîne d’évidence qui – pour faire « Face à l’onde de choc qu’ont déclenché les évènement » – l’a acculé à recourir à l’arme primordiale du « français » pour détruire le terrorisme en herbe « à la racine même » dans l’esprit de la jeunesse :

Pour « comprendre ce qui s’est produit, a-t-il dit, – des assassins qui ont perpétré une attaque à l’égard de la France, de ses institutions, de ses valeurs, de la liberté », « Il vous a été demandé une fois encore, vous, personnels de l’éducation, vous, enseignants, d’être en première ligne, pour expliquer (…) et réfléchir au sens des mots : liberté, liberté de conscience, laïcité, blasphème, caricature, racisme, antisémitisme ». « Oui ces mots doivent retrouver leur sens », ce qui est impossible sans maîtrise de la langue. Que peut bien vouloir dire le mot « laïcité » pour les enfants de l’illettrisme et de la non-assimilation ? « C’est le rôle de l’école de les rattraper » grâce à un « plan d’action » qui « vise à renforcer la transmission aux élèves des valeurs républicaines » en prenant la « maîtrise du français » comme « chantier prioritaire ». Il faut que « chaque élève puisse comprendre ce qu’est une information » ou non, « décrypter ce qu’est une source d’information ». « Combien d’élèves encore sont en difficulté et finalement se détournent de la lecture pour se contenter des images, et parfois d’images d’une grande violence ? » « Voilà pourquoi nous devons élever le niveau de formation des élèves, les armer face au monde, renforcer l’acquisition des savoirs fondamentaux » à partir du français. « Car il n’y a pas d’accès possible à la culture, à la raison, à l’argumentation, au jugement, aux idées, au plaisir même de penser par soi-même, d’écrire par soi-même, d’aller vers des textes qui paraissent les plus essentiels si on ne maîtrise pas le Français. » « Voilà ce qu’est l’enjeu de la grande mobilisation de l’école pour les valeurs de la République » par la Reconquête de la « maîtrise du français ».

Telle est la « géopolitique implacable » par laquelle F. Hollande en a été réduit – pour la lisibilité sémantique des valeurs de la République, nécessaire à la reprise en main de la jeunesse – d’en appeler à la Reconquête du « français » à contre-courant de la politique en vigueur.

A l’inverse, pour quelle raison « géopolitique comminatoire » F. Hollande a-t-il dû rejeter l’appel de l’Académie Française, du 5 décembre 2013, à la Reconquête de la langue française pour en finir avec sa destruction ?

Nul ne saurait comprendre l’incroyable défi du 21 janvier, s’il n’est pleinement conscient que c’est en vain que, depuis des décennies, l’Académie Française n’a cessé de dénoncer la politique de destruction systématique et continue de la langue française conduite par les gouvernements successifs de la République jusqu’à celui de F. Hollande :

  • — 6 avril 2000, sur le  « Recul des études littéraires[4] » : « L’Académie Française s’alarme de ce que la politique d’amenuisement des filières littéraires, depuis plus de deux décennies, soit sur le point de parvenir à éliminer presque complètement de notre enseignement la connaissance et le goût de la littérature. » « Aujourd’hui, la langue et la littérature elles-mêmes ainsi que les exercices qui en sont les instruments d’étude semblent être devenus les ennemis à détruire. » « On a d’abord asphyxié les langues anciennes. C’était oublier qu’elles servent à connaître le français. Des bases en latin et en grec sont indispensables aussi à la compréhension du langage scientifique comme des structures politiques et juridiques de notre civilisation. »
  • — 21 mars 2002, sur la « Féminisation des noms de métiers, fonctions, grades et titres[5] »  : « Comme l’Académie Française le soulignait déjà en 1984, l’instauration progressive d’une réelle égalité entre les hommes et les femmes dans la vie politique et économique rend indispensable la préservation de dénominations collectives et neutres, donc le maintien du genre non marqué chaque fois que l’usage le permet. Le choix systématique et irréfléchi de formes féminisées établit au contraire, à l’intérieur même de la langue, une ségrégation qui va à l’encontre du but recherché. » « De ce rapport [de 1984], le gouvernement n’a pas non plus tenu compte, alors qu’aucun texte ne lui donne le pouvoir de modifier de sa seule autorité le vocabulaire et la grammaire du français. »
  • — 23 avril 2013, adoption de la « loi Taubira », dont l’article 1, dénaturant la définition de chose du mot mariage, est une violation flagrante du pouvoir souverain de l’Académie Française excluant tout droit du gouvernement de modifier la langue[6].
  • — Le 5 décembre 2013 « À la reconquête de la langue française [7] ». A la fin de l’année marquée par les plus fortes mobilisations de l’Histoire de France, contre la destruction d’une définition d’un mot « mariage[8] », dans son discours historique, Hélène Carrère d’Encausse dresse un tableau dramatique du recul constant de la langue française : « La langue française est triplement menacée, disent [nos compatriotes], par la langue anglaise qui insidieusement la dévore de l’intérieur ; par nos élites qui en font un usage affligeant, enfin et surtout menacée d’être ignorée par les nouvelles générations à qui l’école n’apporte plus les moyens de l’apprendre. » « Plus inquiétant encore que le spectacle de rues envahies de termes anglais est le domaine de l’enseignement qui, dit la loi, doit être dispensé en français. Le recul de notre langue est ici dramatique (…) .  « Mais plus encore (…) c’est la menace de projets en cours d’élaboration qui affole tous ceux qui ont foi en notre langue. L’idée chemine, dans le plus grand secret, de partager l’enseignement de notre langue en deux parties, l’une, obligatoire, serait consacrée à la langue française, considérée comme langue de communication, et l’autre, couvrant tout l’enseignement littéraire, ne serait que facultative, (…) » Enfin, comme le montre la chute au 25ème rang de la France au classement PISA « La lecture est au cœur de ce naufrage. » c’est la maîtrise et le goût de la langue qui partout reculent. » «  La maîtrise de la langue, dont l’école dotait tout un chacun il y encore un demi-siècle, n’est plus le bien également partagé des nouvelles générations. Le fossé s’élargit entre ceux dont l’environnement familial et social complète les acquis du milieu scolaire, et ceux qui viennent de milieux dits défavorisés. » « C’est la langue française qui a été sacrifiée. » Devant ce fossé qui se creuse sans cesse davantage «  Comment oublier que l’unité française a eu pour outil privilégié la langue du roi, puis celle de l’école. » «  Seule la volonté politique, conclut-elle, peut rendre à notre langue le respect et l’attention qui lui sont dus et du même coup son autorité et son influence ici et dans le monde. » Alors, pour la première fois dans l’histoire de l’Académie, tirant les conséquences ultimes du constat de faillite de la politique de la langue de la République ayant conduit à faire du français et de la littérature « les ennemis à abattre », de la course à l’abîme du français auquel elle assiste depuis son élection de 1990, Hélène Carrère d’Encausse, de faire valoir le droit statutaire de « harangue[9] » de l’Académie l’assimilant « aux cours supérieures, comme instance suprême en matière de langue ». Ce 5 décembre 2013, elle interpelle donc F. Hollande en ces termes : « C’est donc vers le chef de l’État, son protecteur depuis le règne de Louis XIV, que l’Académie se tourne pour lui demander solennellement de faire de l’année qui vient [2014] l’année de la reconquête de la langue française, et d’abord au sein de l’école qui la porte et la transmet. « La maîtrise des mots est le début de la sagesse », disait Antisthène, le disciple de Socrate ; son message venu du fond des âges est aussi une leçon pour notre temps. »

Comment, en flagrante violation de ses devoirs les plus impérieux, F. Hollande – « protecteur de l’Académie » – a-t-il pu ne pas répondre à un tel appel, solennel, à sauver la « maitrise de la langue », la littérature, l’école, en un mot la langue de la République, du naufrage ! Par son silence, il avouera : 1) Qu’il n’est pas en son pouvoir de faire la Révolution de l’enseignement à laquelle il en a appelé le 21 janvier 2005 à la Reconquête du français et pour en finir avec sa politique de destruction ; 2) Qu’il dépend d’un Pouvoir supérieur au sien lui interdisant cette décision de salut public ; 3) Que la destruction du français – qui est l’objectif stratégique prioritaire des Etats-Unis – s’impose à lui, simple exécutant de ses basses œuvres ! En un mot, cet éloquent silence rendra manifeste que la politique « supérieure », d’amoindrissement continu de la langue française et de substitution progressive de l’anglais au français, est « inchangeable » au plus haut niveau de la République ! Telle est la raison « géopolitique comminatoire » – l’inféodation de la République aux Etats-Unis – expliquant le rejet par F. Hollande de l’appel de l’Académie française[10], du 5 décembre 2015, à la Reconquête de la langue française pour en finir avec sa destruction !

Pour quelle raison « géopolitique » de vocation à l’hégémonie culturelle, l’anglais est- il l’ennemi mortel du français ?

En matière criminelle – « Is fecit qui prodest » – l’Académie a parfaitement désigné le commanditaire du crime dans les trois causes de la ruine du français : « la langue anglaise » qui « le dévore de l’intérieur », nos « élites » qui le trahissent au profit de l’anglais et « l’école qui n’apporte plus les moyens de l’apprendre » et pousse à l’anglicisation forcée de l’enseignement. Car ces trois causes se résument en un seul ennemi : l’axe anglo-saxon des Etats-Unis avec la guerre à mort qu’ils font à la France, à sa langue et à ses valeurs (cf. de Gaulle et Mitterrand[11]). Depuis le traité de Versailles de 1919 enclenchant l’élimination du français, toute volonté de Reconquête du français fait l’objet d’un interdit des Etats-Unis. Elle se heurte au terrorisme haineux du « french bashing » anglo-saxon et à la défense des intérêts vitaux des Etats-Unis s’imposant aux Régimes inféodés à l’OTAN. Car qui dit Reconquête du français dit Reconquête en chaîne de ses valeurs, de sa Civilisation universelle, du Prestige de la France et de son Pouvoir d’une alternance, géopolitique et géoculturelle, au modèle « américain » et à sa stratégie hégémonique de « guerre des Civilisations ». Les anglo-saxons veulent régner sans partage par le « softpower » en remplaçant le rayonnement de la France, encore qualifiée de première puissance culturelle par Kennedy en 1962. Telle est la raison « géopolitique » de vocation à l’hégémonie culturelle qui fait de l’anglais l’ennemi sans merci du de la langue française, langue de l’Europe française, de son rayonnement et de toutes ses valeurs de Civilisation induite.

Pour quelle raison de « politique intérieure » l’appel à faire du « français » l’arme anti-terroriste de Reconquête de l’école n° 1, ne peut-il aboutir par F. Hollande ?    

La stratégie de F. Hollande de Reconquête de la jeunesse en faisant du « français » l’arme anti-terroriste de Reconquête n°1 – de décryptage de l’information et de décodage des sources – n’est pas plus crédible que ses mesures anti-chômage !  Est-il sérieux de croire que la nouvelle génération, perfusée en continu de réseaux sociaux, de média, d’Internet, d’émissions de « déshabillage de l’info », etc., l’aurait attendu pour savoir décrypter les malices et autres désinformation de média et des propagandes en tout genre… dont la sienne ? Imaginer que le discernement sémantique serait l’arme idéale de déminage de la propagande « ennemie » (djadiste) est un leurre à haut risque de voir le décryptage des « valeurs de la République » se retourner contre elles-mêmes, en apparaissant à l’analyse comme de pures duplicités … C’est ce qu’a magistralement démontré Aldous Huxley dans son Retour au meilleur des mondes (1958) :

« Nulle part, dit-il, on n’enseigne aux enfants une méthode systématique pour faire le départ entre le vrai et le faux (…) Pourquoi ? Parce que leurs aînés, même dans les pays démocratiques, ne veulent pas qu’ils reçoivent ce genre d’instruction. (…) la brève et triste histoire de l’Institute for Propaganda Analysis est terriblement révélatrice. Il avait été fondé en 1937, alors que la propagande nazie faisait le plus de bruit et de ravages (…) Sous ses auspices, on pratiqua la dissection des méthodes de propagande (…) pour l’instruction des lycéens et des étudiants. Puis vint la guerre, une guerre totale, sur tous les fronts, celui des idées au moins autant que celui des corps. Alors que tous les gouvernements alliés se lançaient dans « la guerre psychologique », cette insistance sur la nécessité de disséquer la propagande sembla quelque peu dépourvue de tact. L’Institut fut fermé en 1941. (…) L’examen trop critique par trop de citoyens des moyens [d’expression des autorités] pourrait s’avérer profondément subversif. (…) [car] l’ordre social dépend, pour continuer d’exister, de l’acceptation, sans trop de questions embarrassantes, de la propagande mise en circulation par les autorités ».

Nul Pouvoir en place n’a intérêt à apprendre l’art de la duperie à ses sujets, sous peine de risquer de perdre le contrôle et de se voir lui-même renversé  ! Telle est la raison de « politique intérieure » interdisant tout aboutissement de faire du « français » l’arme anti-terroriste de Reconquête n°1 de l’école.

Enfin, pour quelle raison, à la fois « géopolitique » et de « politique intérieure », les Français doivent-ils impérativement mettre en œuvre la stratégie du 21 janvier de Hollande : pour faire la Révolution de la langue, demandée par l’Académie Française, et pour faire du « français » l’arme anti-terroriste de Reconquête n° 1 de la République !

En conclusion, il apparaît que ce sont des raisons « géopolitiques » et de « politique intérieure », résultant d’une erreur sur l’ennemi principal, qui frappent d’impuissance la stratégie du 21 janvier. Il faut donc inverser le regard. Il apparaît alors que le plan stratégique de F. Hollande est parfait, à trois erreurs près, mais de taille : il se trompe d’ennemi, il se trompe de guerre, il se trompe de combattants ! L’ennemi ? Comme De Gaulle et F. Mitterrand l’ont révélé ( on ne le répètera jamais assez ! ), nous sommes en guerre à mort avec les Etats-Unis. La propagande de guerre à décrypter ? C’est celle des fausses valeurs se présentant comme celle de la République pour mieux nous aveugler. Les combattants ? Ce n’est pas l’école qui doit mener la guerre de désintoxication qui s’impose, mais les Français eux-mêmes qui n’ont aucun secours à attendre de leur Gouvernement ennemi, cause de tous leurs maux, comme le « pompier-pyromane » est le pire des incendiaires. En voyant la soixantaine de chefs d’Etat « en tête[12] »du Grand rassemblement du 11 janvier 2015, un haut fonctionnaire de la magistrature suprême n’a-t-il pas dit le plus posément du monde et rejoignant en cela le franc-parler de la simple caissière du super marché : « Voilà les commanditaires ( au grand chef près Obama qui aurait été trop voyant ! ) C’est à genoux en demandant pardon qu’ils auraient dû suivre la procession ! » Cheval de Troie de l’ennemi anglo-saxon, le Gouvernement apparaît dès lors comme l’ennemi principal des intérêts vitaux français, qui ne peut se maintenir qu’en désarmant l’intelligence des Français par la destruction de leur langue et par l’anglicisation à marche forcée de ses « élites », de ses média, de son enseignement ! N’est-ce pas ce crime de haute trahison permanente du « français » qui fait dire de désespoir à Hélène Carrère d’Encausse : « Il n’existe pas dans notre pays de véritable police de la langue » Et pour cause… « La contrainte des régimes despotiques réduit l’esprit sans qu’on s’en aperçoive » (Diderot) et ici, c’est au service de l’ennemi.  Alors que faire, quelle est la solution ? pour résister à cette « réduction de l’esprit » résultant de la destruction organisée du français. C’est aux Français d’appliquer eux-mêmes la stratégie du 21 janvier pour faire triompher l’appel de l’Académie Française du 5 décembre 2013. C’est aux Français de mettre en œuvre « Cette véritable police de la langue » à laquelle en appelle le Secrétaire perpétuel de l’Académie pour faire du « français » l’arme anti-terroriste de Reconquête n°1 – d’abord sémantique, puis culturel et enfin politique – qu’exige la situation dramatique de la France ! Le terrorisme qui paralyse les Français, leur coupe la parole et les livre à l’étranger n’est plus ici l’Islamisme mais bien ce  terrorisme d’Etat – d’abord sémantique, médiatique – qui s’oppose au Salut public, à la Liberté d’expression de la Vérité et à la Renaissance de la France qui en dépend. C’est en appliquant à ce « parti de l’étranger [13] » la stratégie de Révolution du langage prônée par F. Hollande lui-même que les Français pourront forger l’arme anti-terroriste n° 1 de leur Libération, déjouer le piège des fausses valeurs qui les oppriment, trouver le courage de se dresser contre la tyrannie des Gouvernements successifs qui les annihile toujours davantage et remettre enfin à leur tête les élites de cette Intelligence qui doit toujours être chez eux au premier rang. C’est par la maîtrise et par la libération de leur langue – et uniquement par elle – que les Français asservis pourront faire en sorte qu’« une fois de plus on ne les prenne plus QUE pour des c… en leur jouant la comédie de la Liberté et des Valeurs pour les empêcher de rompre leurs chaînes ». Qu’ils pourront ainsi retrouver leur dignité perdue, leur modèle politique décapité et leur véritable Liberté, avec cette Intelligence de leur Civilisation qui leur fait actuellement défaut, comme le rappelle à point nommé Fréderic Mistral :

Car même si, face contre terre,
Un peuple tombe en esclavage,
S’il garde sa langue, il garde la clé
Qui de ses chaînes le délivre[14]

« Vaincre ou mourir ! » Tel est le défi « français » de l’après « 11 septembre français » que doivent relever les Français – et vite ! – pour retrouver la Liberté de leur langue, sous peine de voir disparaître la France – avec le français et après le « franc » – prise en tenaille entre les pinces du double terrorisme, extérieur (Islamisme et Etats-Unis) et intérieur (Gouvernement inféodé), actionnées par une même Volonté d’en finir à jamais avec le modèle français, ses valeurs et sa Civilisation européenne, seul modèle d’autorité historique capable de faire pièce à la Barbarie anglo-saxonne qui ravage le Monde et ces Peuples qui n’en peuvent plus de subir sa tyrannie meurtrière. C’est ainsi et seulement ainsi, dans le sillage du grand mouvement de Vérité et de Libération du Peuple qui s’est levé en France en 2013, à partir de 2008, et auquel le Pouvoir a tenté de donner le change le 11 janvier 2015, que les Français doivent répondre à l’appel de F. Hollande et de l’Académie Française, à la Reconquête du français qui s’impose aujourd’hui plus que jamais, comme préalable obligé à toute Renaissance de la France : pour permettre au Français de reprendre en main le contrôle de leur destin, pour faire du « français » l’arme anti-terroriste de Reconquête de la République n°1, pour permettre à la France et à la Francophonie, enfin, de retrouver la place et le rôle qui leur revient comme fer de lance de la Civilisation. Telles sont les raisons à la fois « géopolitiques » et de « politique intérieure »pour lesquelles, sauf à devoir disparaître, les français doivent relever au plus vite le défi géopolitique du « français » en mettant en œuvre la stratégie du 21 janvier inversée.

 

Arnaud-Aaron Upinsky

Président de l’Union Nationale des Ecrivains de France

© AA Upinsky

 


[1] Cf. Au nom du 11 septembre « français », Québec Presse, 10 janvier 2015

[2] Déclaration unanime du 6 avril 2000 sur le Recul des études littéraires

[3] http://www.elysee.fr/declarations/article/v-ux-au-monde-educatif-3/

[4] http://www.academie-francaise.fr/actualites/recul-des-etudes-litteraires

[5] Cf. Saisine de l’Union Nationale des Ecrivains de France et du Sénat : http://www.academie-francaise.fr/actualites/la-feminisation-des-noms-de-metiers-fonctions-grades-ou-titres-mise-au-point-de-lacademie

et http://coordination-defense-de-versailles.info/wp/2013/05/01/saisine-de-lacademie-francaise-par-un-groupe-de-senateurs/

[6] http://coordination-defense-de-versailles.info/html/2013/2013-02-24_CDV_Lettre-Ouverte-a-Helene-Carrere-d-Encausse_Secretaire-perpetuel-de-l-Academie-Francaise.html

[7] http://www.academie-francaise.fr/la-reconquete-de-la-langue-francaise

[9] cf. règlement de 1752 rappelé en 1816 et toujours en vigueur

[10] Concernant l’absence de respect de la langue française par F. Hollande, au delà de son incroyable mépris de l’Académie Française, il faut le souligner à titre symbolique : en introduction de son discours du 21 janvier, n’a-t-il pas dit « Madame « la » maire de Paris », Faute de grammaire rectifiée en « Madame « le » maire de Paris » par la secrétaire…sur l’écrit du site de l’Elysée qui a encore violé la langue en écrivant « français » avec une majuscule.

[11] Cf. Au nom d’un « 11 septembre français » ! Québec Presse 10 janvier 2015

[12] http://reseauinternational.net/arnaque-totale-mise-en-scene-en-marge-de-la-manifestation-je-suis-charlie/

[13] Cf. Appel de Cochin de Jacques Chirac le 6 décembre 1978

[14] Cité dans 2+2=5, De nouvelles mathématiques pour une nouvelle société, Upinsky, GERS, 1977, p. 449