L’UNION NATIONALE DES ÉCRIVAINS DE FRANCE
CONFÉRENCE DE PRESSE
Suivie d'un dîner-débat
mardi 28 février 2017 à 19 h 30
Hélios's, 1 rue des Etars-Généraux
Versailles, 78000
Pour le dîner-débat s'inscrire à :
courrierposte@orange.fr
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COMMUNIQUÉ UNION NATIONALE
DES ÉCRIVAINS DE FRANCE
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ACADÉMIE FRANÇAISE
PUBLICATION DE LA LETTRE DE CANDIDATURE D’A.-A. UPINSKY INVITANT LES CANDIDATS AU FAUTEUIL DE RENÉ GIRARD À ADOPTER CET USAGE
Nous sommes au carrefour de toutes les contradictions !
Le 17 novembre prochain, l’Académie va-t-elle voter contre elle-même, comme le 3 mars dernier, ou va-t-elle se conformer au « choix de Richelieu » que lui dictent ses statuts ?
Ce jour là, quel critère d’élection l’Académie va-t-elle prendre pour désigner l’élu au fauteuil de René Girard ? Un critère de mondanité, de situation médiatique acquise, de connivence, voire de haute trahison de la langue française, ou bien le choix de Richelieu d’une candidature vouée « À la Reconquête de la langue française » et conforme à son appel du 5 décembre 2013 ? Et les médias, quel choix de couverture de l’élection vont-ils faire ? Celui du « débat interdit » sur le « plus grand secret » bien gardé du « Mal du français » en péril de mort, interdit d’antenne aux élections du 3 mars en toute violation de la charte de déontologie de Munich, de 1971 ; ou bien le choix d’un véritable débat de salut public sur la Reconquête de la langue française ? Quant aux candidats, quel choix d’affichage de leurs motivations vont-ils faire ? Celui d’Andreï Makine, ayant gardé le silence sur la Réforme de l’orthographe et sur la destruction de la langue française jusqu’au jour de son élection pour dire alors, sans rire, qu’ « Il ne faut pas avoir peur d’être traditionnel, d’être classique » ; ou bien celui résolu d’un « Pour la Reconquête de la langue française » ?
« Aux yeux de Philippe Beaussant [ Président de la Défense de la Langue française], ce coup de théâtre de l’Académie votant contre elle-même, sous le coup d’un dictat et d’un chantage au mot n’existant pas « complotiste », rendait inévitable une contre-attaque générale de grande envergure devant faire de 2016 l’an 1 de la Reconquête ! » C’est, en effet, ce 3 mars que, pour la première fois, les ennemis de la langue française, effrayés par le soulèvement en masse des Français ( 80 %) et par la révélation du « grand secret » de destruction de la langue française ont franchi la « ligne jaune » et se sont enfin révélés au grand jour « pour inverser le cours d’une élection de l’Académie française »
A l’heure de toutes les contradictions, de toutes les violences, de toutes les incompréhensions, de tous les reniements, de toutes les Institutions fonctionnant exactement à l’inverse de leur mission : Tel est le « Mal français » ! Tous les maux politiques, littéraires et scolaires se ramènent à une seule et même cause, la destruction programmée de la langue française dès l’école, et à une évidence : « l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de la langue française – langue de la transcendance du Verbe, classique par excellence – sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements », le « Mal français », se réduisant dès lors au seul « Mal du français » auquel il faut porter remède de toute urgence !
POUR ou CONTRE la Reconquête de la langue française ? Tel est le seul choix désormais possible entre les amoureux de la langue française et ses ennemis, le seul cri de ralliement qui vaille pour désigner les deux camps irréconciliables. Le 3 mars 2016, le « score » de bipolarisation de l’Académie française donnait 12 % en faveur du camp de la Reconquête et 88 % contre ( avec 54 % de non expression !). C’est le point de départ de la Reconquête de 2016. Désormais, d’élection en élection, le « score » des candidats de la Reconquête, véritables volontaires de l’an 1, sera l’instrument de mesure qui permettra de suivre l’avancement de la Renaissance de la langue française ou le progrès de sa haute trahison ! Reconquête de la langue, inséparable de celle de l’Académie française et de la France elle-même puisque, comme le rappelait le 5ecrétaire perpétuel de l’Académie française, dans son appel du 5 décembre 2013 « A la reconquête de la langue française » : « L’avenir de la France est inséparable de la gloire de notre langue » !
Union Nationale des Écrivains de France, 21 octobre 2016
2. Lettre de candidature s’Arnaud-Aaron Upinsky du 19 octobre 2016
3. Annonce de la publication de la 2ème lettre de candidature à l’élection du 3 mars 2016
Union Nationale des Écrivains de France Contact presse : courrierposte@orange.fr – Tel : 06 01 76 20 79
COMMUNIQUÉ UNION NATIONALE
DES ÉCRIVAINS DE FRANCE
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ACADÉMIE FRANÇAISE
PUBLICATION DE LA LETTRE DE CANDIDATURE D’A.-A. UPINSKY INVITANT LES CANDIDATS AU FAUTEUIL D’ASSIA DJEBAR À ADOPTER CET USAGE
Depuis que, le 5 décembre 2013, le Secrétaire Perpétuel de l’Académie a demandé « solennellement [ au chef de l’État ] de faire de l’année [2014 ] l’année de la reconquête de la langue française, et d’abord à l’école qui la porte et la transmet », la situation n’a fait qu’empirer avec l’actualité. Il est vrai que, le 21 janvier 2015, le chef de l’État avait bien dû reconnaître la nécessité de reconquérir les territoires perdus de la langue française auprès de la jeunesse « pour détruire le terrorisme en herbe ».
Mais, hélas, cette annonce fut suivie d’un effet inverse : une aggravation par le « mauvais coup porté à la langue » dans la réforme du collège. Et, suprême outrage, le « protecteur de l’Académie » a laissé sans réponse l’appel à la reconquête de l’Académie, du 5 décembre 2013, acte tragique sans exemple dans l’histoire : symbole « total » d’une rupture inouïe entre le Pouvoir et la langue de la République !
Cette course a l’abîme met la langue française en péril de mort, avec toutes les conséquences tragiques mises en lumières par l’actualité. État d’urgence justifiant toutes les audaces d’une mobilisation générale des écrivains qui doivent désormais se fixer pour but explicite la reconquête de la langue française ; reconquête vitale attendue de tous ces Français qui se tournent aujourd’hui vers l’Académie en laquelle ils voient le dernier recours institutionnel pour venir « au secours du français ».
C’est pour répondre à cette nouvelle attente, à ce nouvel intérêt des Français pour l’Académie qu’Arnaud-Aaron Upinsky a décidé de motiver sa lettre de candidature, de la rendre publique ( ce qui est une première ) et d’inviter les autres candidats au fauteuil d’Assia Djebar à adopter cet usage justifié par l’enjeu de survie, comme il le précise dans sa lettre de candidature ci-jointe. À l’heure de tous les périls pour la langue française, les Français ne sauraient se contenter de simples copiés/collés de dépêche AFP ignorant la première mission de l’Académie, le critère de choix de Richelieu et même tout critère de langue.
Ainsi que les Immortels, et selon les propres vœux du Secrétaire Perpétuel de l’Académie Française, les Français ont désormais le droit de savoir, avec leurs propres mots, quelle est la motivation des candidats à cette Institution de salut public dont la première mission est la défense de la langue française : l’Académie Française que Maurice Druon définissait comme « l’expression la plus haute de l’identité de la nation et comme l’incarnation de la France. Cette idée, [qu’]il nous appartient maintenant de faire vivre ».
Comment douter que ce débat au sommet sur la survie de la langue française, sur le pouvoir souverain de l’Académie en matière de langue et sur les caractères d’éligibilité des candidats à la reconquête du français, soit précisément celui qu’attendent, aujourd’hui, tous les Français amoureux de leur langue en laquelle ils voient l’instrument de leur identité, de leur salut, de leur prospérité et de leur dignité retrouvées ?
1. Communiqué Publication de la lettre de candidature
2. Lettre de candidature d’A.-A. Upinsky à l’Académie Française ( pdf)
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