L’UNION NATIONALE DES ÉCRIVAINS de FRANCE
Rend publique la lettre ouverte du 20 novembre 2017 qu’elle adresse au Président de la République, Protecteur de l’Académie française, pour qu’il engage la «Reconnaissance du français comme langue commune de l’Europe ».
« La Renaissance ou la Mort », il n’y a pas de troisième voie. C’est donc au nom de cette adresse de l’Académie française à son Protecteur, valant déclaration d’Etat d’urgence ; au nom de l’espoir que tous les amoureux de la langue française ont placé en vous pour retrouver leur fierté ; au nom même de votre projet d’une Europe « souveraine, unie et démocratique », que nous vous adressons cet appel solennel pour inverser la spirale de mise à mort du français en en faisant la langue commune de l’Europe, comme condition sine qua non de sa réussite !