L’UNION NATIONALE DES ÉCRIVAINS DE FRANCE
Saisine de l’Académie française sur la « mise à mort de la langue française » !
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Lire ici le communiqué UNIEF d’annonce de la conférence de presse du 17 janvier 2017 à Versailles
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À la reconquête de la langue française !
Vidéo : Conférence de presse du 15 décembre 2016 à Versailles
QUÉBEC-PRESSE — Le mardi 13 décembre 2016 MOSCOU — La Pravda: entrevue télévisée avec Arnaud-Aaron Upinsky. FRANCE: LA LANGUE FRANÇAISE À LA DÉRIVE Culture Spécialiste…
Arnaud-Aaron Upinsky répond pour MPI-TV aux questions de Valérie Bugault. Il nous démontre que la langue est le moyen privilégié de la reprise du pouvoir politique par les élites.
Conférence de Presse suivie d’un dîner-débat , jeudi 15 décembre 2016, à 19 h 30, Hélio’s, 1 rue des Etats-Généraux, Versailles, 78 000
« La parole est l’instrument premier du pouvoir », « la démocratie ne donne pas le pouvoir au peuple, mais à l’éloquence », « la civilisation est d’abord un langage[1] », disait Maurice Druon, secrétaire perpétuel de l’Académie française.
La langue française s’invitant aux présidentielles 2017 ? Faite an 1 de la reconquête de la langue française, par l’Académicien Philippe Beaussant, Président de la Défense de la Langue Française (DLF), l’année 2016 fut riche en imprévus, et 2017 s’annonce décisive à cet égard. Alors que l’école, le langage du savoir et la civilisation, sont la clef de tous les enjeux surplombant les Présidentielles 2017 ( chômage, jeunesse, intégration, reconnaissance des élites, place de la France dans le monde, etc. ), la langue française – qui en est la matrice et qui est menacée de mort par l’anglicisation à marche forcée de la société française – est toujours la grande absente de l’élection présidentielles 2017 en pleine lancée ! « Tout est langage[2] ». A la lumière de ses travaux linguistique et de ses dernières actions de candidature à l’Académie française, Arnaud-Aaron Upinsky, Président de l’Union Nationale des Ecrivains de France (UNIEF), nous livre la grille de lecture de cette clef suprême des Présidentielles 2017.
[1] Cette dernière citation est tirée de son discours de réception à l’Académie française en 1967. Maurice Druon abandonna son poste de Secrétaire perpétuel au profit de Mme Hélène Carrère d’Encausse en octobre 1999 pour écrire son essai « La France aux ordres d’un cadavre »
[2] La Tête coupée ou a Parole coupée, Arnaud-Aaron Upinsky, 1991, Ed. F.-X. de Guibert
Communique-unief-du-10-decembre-2016-elections-2016-2017-a-la-reconquete-de-la-lague-francaise
Spécialiste de la langue française, mathématicien de formation et amateur de l’histoire à ses heures perdues, Arnaud-Aaron Upinsky ferraille pour la sauvegarde du patrimoine linguistique de la France. Il soutient que la primitivisation accélérée de la langue et le désapprentissage de la méthode mathématique peuvent conduire au désastre et à l’anéantissement de la civilisation européenne. Qui plus est, c’est le français auquel le rôle du « latin moderne » est dévolu.
L’élection n’est-elle pas le moment symbolique, révélateur de la vérité politique de l’Institution ? Aussi, le 17 novembre, quel « signal fort » allez-vous adresser à la francophonie pour répondre à la colère des Français, assistant impuissants à la destruction de leur langue ; à la violence de leurs attaques désespérées contre l’Académie française ne répondant pas à leur appel ; à leur levée en masse contre la Réforme de l’orthographe, rentrée en application et dont l’Académie n’a pas exigé le retrait ?
Pouvez-vous rester insensibles à cet appel « Au secours du français (1) » de février 2016, en phase avec les bouleversements en cascade du monde qui l’ont suivi : en juin 2016, le Brexit du Royaume-Uni retrouvant sa liberté ; en novembre 2016, le séisme des USA redevenant l’ « Amérique », comme l’URSS redevenue la Russie revient aujourd’hui en Europe ?
Pouvez-vous ne pas suivre, sur le grand échiquier sémantique, noir et blanc, du nominalisme et du réalisme, la signification historique de ces bouleversements planétaires, vitale pour l’avenir de la langue française et donc pour l’Académie ? Le retour du nom à la chose, du global à l’universel, du formel au substantiel, et donc de la suprématie de l’anglais à la Reconquête du français, de ses valeurs de clarté, d’universalité et d’harmonie : en un mot de cette haute intelligence dont le monde, au bord du chaos, n’a jamais eu tant besoin pour pouvoir comprendre et construire l’avenir en cours d’écriture !
C’est sur l’intuition de l’urgence de ce retour du français, en Europe et dans le monde, que Philippe Beaussant a déclaré « 2016 an 1 de la Reconquête de la langue française », pour répondre enfin à l’appel initialisé par Maurice Schumann, en 1975, et proclamé par vous-mêmes en 2013.
Le 20 octobre, Madame, en lisant ma lettre de candidature, vous avez qualifié de «passionné » mon combat, par antithèse avec la quiétude de l’Académie française, «vieille dame » se devant d’aller d’un train de sénateur. Mais bien au contraire ma démarche est toute de Raison, tirant les conséquences de vos textes, des règles certaines de l’Académie et du devoir de Reconquête que m’a assigné Philippe Beaussant !
Dès lors comment l’élection de l’Académie française du 17 novembre 2016, pourrait-elle ne pas traduire enfin dans son vote ce sens de l’histoire ne faisant que répondre à son appel incessant à la Reconquête de la langue française, depuis 1975.
En vous priant d’agréer l’assurance de ma haute considération, Madame le Secrétaire perpétuel, Mesdames et Messieurs de l’Académie, il ne tient qu’à vous, le 17 novembre, à l’invitation de Philippe Beaussant ayant fait de « 2016 l’an 1 de la Reconquête de la langue française », de changer dès à présent le cours de l’histoire : « Osez la Reconquête ! »
Arnaud-Aaron Upinsky
(1 ) Cf. Séance publique du 5 décembre 2002
Charger la lettre ouverte à l’Académie française sur les élections du 17 novembre 2016
Après la mort de l’académicien Philippe Beaussant, l’écrivain Arnaud-Aaron Upinsky s’interroge sur l’absence de débats pour la prochaine élection du 17 novembre à l’Académie française. En pleine descente aux abîmes du français, celle-ci doit faire le choix d’un défenseur de la langue française.
La langue française « pour tous », tel est notre trésor commun, tel est le symbole incontestable de notre identité ! Le 17 novembre prochain, l’Académie va-t-elle voter contre elle-même, comme le 3 mars dernier, ou va-t-elle se conformer au « choix de Richelieu », que lui dictent ses statuts, pour sauver cette merveille du « savoir vivre et parler ensemble » en péril de mort ?
En déclarant « 2016 an 1 de la Reconquête de la langue française » et en forgeant un plan de bataille pour y parvenir, dans son « testament académique », l’Académicien Philippe Beaussant, Président de Défense de la langue française (DLF), a changé la donne ! Premier académicien à répondre à l’appel solennel à la Reconquête lancé par Hélène Carrère d’Encausse au Président de la République, le 5 décembre 2013, Philippe Beaussant a fait du Quai Conti le fer de lance de la bataille à conduire pour la survie de la langue et de l’Académie française, mettant ainsi « en demeure » les Immortels de l’imiter, en premier lieu en élisant un candidat de combat – et non un « héritier » – aux prochaines élections du 17 novembre
Mais pour que cette élection soit libre et sincère, encore faudrait-il que trois conditions d’application des règles de droit, de débat et d’information, sont remplies : 1) L’Académie doit appliquer ses statuts au service de sa mission de défense de la langue française ; 2) Les candidats doivent publier leur « profession de foi » ; 3) Les médias doivent appliquer la Charte de Munich ( 1971) leur faisant obligation de vérité, « d’impartialité, de pluralisme d’information, dégagée de toute influence et de toute discrimination fondée sur quelque facteur d’opinion que ce soit (1)».
Or à ce jour, et c’est une première dans l’histoire de l’Académie française, depuis le 7 octobre 2016, faisant état des six premières candidatures, aucune couverture médiatique de cet événement décisif pour l’avenir de la langue et de l’Académie française n’a été faite, l’AFP refusant même d’annoncer les quatre dernières incluant l’unique candidature vouée à la Reconquête de la langue française suscitée par Philippe Beaussant. Comment ne pas voir dans ce « silence » le signal fort d’un « débat interdit » ne pouvant profiter qu’à ceux qui aspirent à la mort lente de notre langue ?
Pourquoi un tel « débat interdit » sur l’avenir de la langue française, sinon pour empêcher à tout prix de rendre la vérité visible, sur la politique de destruction de notre langue dénoncée par l’Académie française à l’école ? Sur la politique d’anglicisation à marche forcée ayant substitué au français, langue commune de l’Europe dans les années 50, l’anglais dominant à 80 % aujourd’hui à la Commission européenne, les textes en français étant réduits à 5 %. Sur le projet « secret » révélé par l’Académie française de voir l’enseignement du français divisé en « langue de communication », du cerveau mutilé (2), pour les « inférieurs » et en « langue de l’intelligence littéraire », du cerveau complet, pour les « supérieurs », ces alphas du Meilleur des mondes anticipé par Aldous Huxley !
Pour ou contre la Reconquête de la langue française, pour ou contre le « débat interdit », pour ou contre la liberté de penser ? Tel est le seul choix désormais possible entre les amoureux de la langue française et ses ennemis, le seul cri de ralliement qui vaille pour désigner les deux camps irréconciliables. Le 3 mars 2016, le « score » de bipolarisation de l’Académie française donnait 12 % en faveur du camp de la Reconquête et 88 % contre ( avec 54 % de non expression !). C’est le point de départ de la Reconquête de 2016.
La liberté ou l’esclavage mental, par la destruction sélective de la langue française et par l’anglicisation forcée ? Tel est l’enjeu caché par le « débat interdit » sur l’élection du 17 novembre prochain. En faisant de ma candidature de Reconquête un symbole, Philippe Beaussant nous a légué cet instrument de mesure qui permettra de suivre l’avancement de la Reconquête de la langue française – langue de la Liberté – ou le progrès de sa haute trahison, c’est-à-dire de notre asservissement ! Reconquête de la langue, inséparable de celle de l’Académie française et de la France elle-même puisque, comme le rappelait le Secrétaire perpétuel de l’Académie française, dans son appel du 5 décembre 2013 « A la reconquête de la langue française » : « L’avenir de la France est inséparable de la gloire de notre langue » !
Arnaud-Aaron Upinsky, Versailles, 13 novembre 2016
Président de l’Union Nationale des Ecrivains de France (UNIEF)
Candidat à l’élection de l’Académie française du 17 novembre 2016
Charger la tribune « Académie française : le débat interdit ! » en fichier pdf.
(1) Cf. Règles d’or et Charte AFP.
(2) Cf. La tête coupée ou la parole coupée, A.-A. Upinsky, Ed. F.-X. de Guibert, 1991.
Arnaud-Aaron Upinsky nous parle de sa candidature à l’Académie Française.
Le complotisme d’Etat, voilà l’ennemi !
COMMUNIQUÉ UNION NATIONALE
DES ÉCRIVAINS DE FRANCE
___________________
ACADÉMIE FRANÇAISE
PUBLICATION DE LA LETTRE DE CANDIDATURE D’A.-A. UPINSKY INVITANT LES CANDIDATS AU FAUTEUIL DE RENÉ GIRARD À ADOPTER CET USAGE
Nous sommes au carrefour de toutes les contradictions !
Le 17 novembre prochain, l’Académie va-t-elle voter contre elle-même, comme le 3 mars dernier, ou va-t-elle se conformer au « choix de Richelieu » que lui dictent ses statuts ?
Ce jour là, quel critère d’élection l’Académie va-t-elle prendre pour désigner l’élu au fauteuil de René Girard ? Un critère de mondanité, de situation médiatique acquise, de connivence, voire de haute trahison de la langue française, ou bien le choix de Richelieu d’une candidature vouée « À la Reconquête de la langue française » et conforme à son appel du 5 décembre 2013 ? Et les médias, quel choix de couverture de l’élection vont-ils faire ? Celui du « débat interdit » sur le « plus grand secret » bien gardé du « Mal du français » en péril de mort, interdit d’antenne aux élections du 3 mars en toute violation de la charte de déontologie de Munich, de 1971 ; ou bien le choix d’un véritable débat de salut public sur la Reconquête de la langue française ? Quant aux candidats, quel choix d’affichage de leurs motivations vont-ils faire ? Celui d’Andreï Makine, ayant gardé le silence sur la Réforme de l’orthographe et sur la destruction de la langue française jusqu’au jour de son élection pour dire alors, sans rire, qu’ « Il ne faut pas avoir peur d’être traditionnel, d’être classique » ; ou bien celui résolu d’un « Pour la Reconquête de la langue française » ?
« Aux yeux de Philippe Beaussant [ Président de la Défense de la Langue française], ce coup de théâtre de l’Académie votant contre elle-même, sous le coup d’un dictat et d’un chantage au mot n’existant pas « complotiste », rendait inévitable une contre-attaque générale de grande envergure devant faire de 2016 l’an 1 de la Reconquête ! » C’est, en effet, ce 3 mars que, pour la première fois, les ennemis de la langue française, effrayés par le soulèvement en masse des Français ( 80 %) et par la révélation du « grand secret » de destruction de la langue française ont franchi la « ligne jaune » et se sont enfin révélés au grand jour « pour inverser le cours d’une élection de l’Académie française »
A l’heure de toutes les contradictions, de toutes les violences, de toutes les incompréhensions, de tous les reniements, de toutes les Institutions fonctionnant exactement à l’inverse de leur mission : Tel est le « Mal français » ! Tous les maux politiques, littéraires et scolaires se ramènent à une seule et même cause, la destruction programmée de la langue française dès l’école, et à une évidence : « l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de la langue française – langue de la transcendance du Verbe, classique par excellence – sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements », le « Mal français », se réduisant dès lors au seul « Mal du français » auquel il faut porter remède de toute urgence !
POUR ou CONTRE la Reconquête de la langue française ? Tel est le seul choix désormais possible entre les amoureux de la langue française et ses ennemis, le seul cri de ralliement qui vaille pour désigner les deux camps irréconciliables. Le 3 mars 2016, le « score » de bipolarisation de l’Académie française donnait 12 % en faveur du camp de la Reconquête et 88 % contre ( avec 54 % de non expression !). C’est le point de départ de la Reconquête de 2016. Désormais, d’élection en élection, le « score » des candidats de la Reconquête, véritables volontaires de l’an 1, sera l’instrument de mesure qui permettra de suivre l’avancement de la Renaissance de la langue française ou le progrès de sa haute trahison ! Reconquête de la langue, inséparable de celle de l’Académie française et de la France elle-même puisque, comme le rappelait le 5ecrétaire perpétuel de l’Académie française, dans son appel du 5 décembre 2013 « A la reconquête de la langue française » : « L’avenir de la France est inséparable de la gloire de notre langue » !
Union Nationale des Écrivains de France, 21 octobre 2016
2. Lettre de candidature s’Arnaud-Aaron Upinsky du 19 octobre 2016
3. Annonce de la publication de la 2ème lettre de candidature à l’élection du 3 mars 2016
Union Nationale des Écrivains de France Contact presse : courrierposte@orange.fr – Tel : 06 01 76 20 79