Votre voix est décisive ! Chacun peut et doit impérativement écrire pour présenter son point de vue personnel qui compte, sur le besoin de "Reconquête de la langue française", à Monsieur le Secrétaire perpétuel Amin Maalouf à l'adresse : contact@academie-francaise.fr
ICI : Modèle "Responsable" de soutien de ma candidature !
Académie française, 20 mars 2025 : annonce de la candidature d’A.-A. Upinsky au fauteuil de M. Jean-Denis Bredin (F3)
Lettre de candidature à la succession du fauteuil de M. Jean-Denis Bredin (F 3), en préalable à l’introduction d’une éventuelle « Requête en déchéance ».
Monsieur le Secrétaire perpétuel,
Le choix de « Richelieu ou la Mort ! »
Aujourd’hui, en conclusion du bilan dévastateur de votre précédent Secrétaire perpétuel, ayant abouti au véritable massacre du principe d’excellence pérenne de la langue française, voici venue l’heure de Vérité pour l’Académie française, pour le principe actif de sa raison d’être, de sa légitimité et de son autorité régalienne : en un mot pour sa survie même !
Le processus vital de l’Académie française, le plus glorieux symbole de la langue de l’Intelligence et de l’universel, est engagé ! Le défi est immense, sans précédent dans toute son histoire. Pour le relever, la prochaine élection du 27 mars 2025 sera celle de sa dernière chance de survie. Car, par la présente, je me vois dans l’obligation de vous faire savoir que c’est à vous – et à vous seul – qu’il incombe de signifier aux Immortels qu’ils sont tous convoqués au Tribunal de ses Lettres patentes, ce 27 mars prochain, pour acter d’une manière solennelle et sans appel par leur vote : soit la fidélité retrouvée de l’Académie au « Choix de Richelieu », en élisant un candidat de rupture, voué à la « Reconquête de la langue française » ; soit, à l’inverse, le « Choix de sa déchéance » définitive – pleinement assumée en toute connaissance de cause – en élisant un candidat de compromission et d’asservissement aux ennemis de la langue de Molière, prêt à s’accommoder sans sourcilier de la poursuite de violation suicidaire des statuts, des valeurs pérennes et du principe vital de l’Académie de Richelieu, engagée, pour le moins depuis 2013, par Madame Carrère d’Encausse.
ICI – Réf : Allocution du Président Macron » Stratégie en faveur du français et du plurilinguisme »
1) Saisine de l’Académie française par l’UNIEF, du 24 février 2013
2) La Croix du 22 mars 2013 : « Mariage : le dictionnaire de l’Académie française suivra l’usage » ;
3) « Appel à la Reconquête de la langue française », Hélène Carrère d’Encausse, 5 décembre 2013 ;
4) Saisine de l’Académie française par la Cour de Cassation, 20 avril 2017 ;
4) Saisine de l’Académie française par la Cour de cassation, le 20 avril 2017
7) Première lettre de candidature à l’Académie française du 14 mai 2014
8) Lettre de candidature du 30 mars 2018, au fauteuil de Philippe Beaussant ( F36)
9) Lettre de candidature, du 4 novembre 2019, au fauteuil de Simone Veil ( F13)
Merci Monsieur Upinsky pour votre combat .
Peut être fait il parti de ces combats que l’on doit mener même si l’on peut deviner qu’il est apparemment ingagnable. Je ne sais pas. Je n’ ai pas les moyens de le savoir. Mon français est celui d’une génération qui déjà avait perdue pied à bien des égards sans le savoir dès sa jeunesse. On faisait la guerre à mon pays, à sa langue même et je n’en savais rien. J’essaie d’avancer dans la vie comme un honnête homme et je ne sais pas dans quelle mesure j’y arrive ou non, mais je suis honoré au moins de vous connaître ainsi que votre combat.
Bon vent et bien à vous
Olivier Barbas
De tout cœur en accord de justification pour cette candidature dont le noble impétrant, dans l’espérance et la confiance de son élection, ne pourra que contribuer à hausser le niveau des Immortels dans des sphères de lumière, de sagesse et d’intelligence que le monde con temporain a tellement tendance à saper, hélas.
Excellent ! Parfaitissime ! Pas un mot pas un point pas une virgule un accord … de trop
Ou « l’art de s’exprimer » ! Cet Art que vous maîtrisez à la perfection.
Cher Monsieur,
Je vous remercie de ce contact.
Si vous voulez attaquer l’Académie française pour son inertie à vouloir défendre notre langue, vous pouvez la mettre au pied du mur en lui demandant d’intervenir dans l’affaire que nous venons de perdre en justice et qui nous opposait à la maire de Paris, Anne Hidalgo, contre le fait qu’elle a fait mettre des plaques commémoratives en écriture inclusive dans la mairie.
Je sais que l’Académie française est contre l’écriture inclusive, mais, à part un communiqué, je ne sais pas trop ce qu’elle a fait pour mener ce combat.
Je vous donne en pièce jointe le rendu de jugement de la CAA de Paris, un jugement qui vous permettra de constater que les arguments développés pour nous débouter sont assez bizarres.
– Les juges trouvent qu’un point dans un mot, c’est du français ! Pourtant, en français, le point a toujours terminé une phrase et est suivi d’une majuscule, si le récit continue par une autre phrase.
– Dire que la forme féminine de certains mots fait l’objet de débats d’ordre sociétal et que cela ne saurait suffire à lui conférer le caractère d’une prise de position politique, me semble anachronique, car s’il y a un débat sociétal sur ce sujet et que ce débat n’est toujours pas clos sur une position officielle des autorités, alors prendre position, c’est forcément prendre parti et rompre avec la neutralité qui s’impose pourtant dans la fonction publique.
Nous pensons donc aller au cassation contre la décision de la CAA, car, j’ai l’impression que les juges, toutes des femmes, n’ont pas été très impartiales dans leur jugement. De plus, comme pour nous punir, elles nous condamnent au titre de l’article L761-1 à verser 1500 € à la mairie de Paris.
Merci de votre attention et cordiales salutations.
Régis Ravat,
Président de l’Afrav