A l‘heure de la déferlante migratoire hétéroculturelle de masse, orchestrée par l’axe anglo-saxon menaçant de déstabiliser l’Europe, de l’invocation de la grande tradition chrétienne du « Droit d’asile » pour tous ( en toute vérité seul droit du protecteur et non du protégé ), détournée par ses pires ennemis et déclarée malicieusement « Enjeu existentiel de l’Europe (1) » ( après l’appel du Pape François du 21 juin 2015 ) : oser démystifier ce « Stratagème de Luna », qui inverse le droit d’asile en piège mortel, s’impose aujourd’hui comme une question de vie ou de mort pour la Chrétienté !
En voici l’histoire de cette mystification criminelle à méditer.
Hastings, le chef Viking, un de ces chefs Normands à l’origine de la conquête de l’Angleterre qui en hérita le « savoir faire », basait sa stratégie de conquête sur l’Information. Il tenait scrupuleusement à jour les dates des fêtes chrétiennes pour attaquer pendant la messe.
En 841, il s’empare de la ville de Nantes, le jour de la Saint Jean en tuant l’évêque de la ville et c’est ainsi qu’à Noël 859, il imagina le stratagème qui devait le rendre célèbre, comme fondateur du principe de base de l’art de la duperie de l’Angleterre, et des Services de Sa majesté britannique, qui lui vaudra le qualificatif de « Perfide Albion » :
« La ruse [ au droit d’asile ] que mit en usage l’habile Hastings désespérant d’emporter de vive force une place considérable et bien fortifiée » (2) !
L’histoire du Stratagème de Luna se décline en sept étapes consistant à :
1) Ruser
Sa flotte ayant abordé sur la côte de Luna, en Étrurie, pour la première fois les Danois ayant subi un échec sanglant, Hastings sent que la force ne pourra rien contre la ville de Luna fortement défendue et bien gardée. Il lui reste la ruse.
Les Scandinaves édifient donc un campement sur le rivage. Ils allument des feux, s’affairent autour des huttes et des tentes. Les voici soudain paisibles, occupés de chasse et de pêche, simples voyageurs errants qui ne feraient pas de mal aux chrétiens ni à une mouche ni à un moine.
» Ces hommes demandent tout d’abord l’autorisation d’hiverner pacifiquement sous les murs de la ville, afin qu’ils puissent se reposer, car ils ont été éprouvés par une longue traversée et des vents contraires alors qu’ils souhaitaient rentrer dans leur pays natal, après en avoir été bannis. Malgré eux, les Lunois qui, rapidement, ont fermé toutes les portes de leur ville acceptent. Mais, bientôt, les Vikings des relations plutôt amicales s’installent entre les deux peuples. Des échanges commerciaux se nouent, mais les portes de la ville sont toujours bien gardées. (3) ».
2) Raconter une belle et touchante histoire ( « Story telling » )
Quelques Vikings en viennent alors alors à se présenter, sans armes, aux portes de Luna. Ils ont une étonnante histoire à raconter :
– Notre chef est malade. Il voudrait se convertir à votre religion. » Fatigué de sa vie d’aventurier, se repentant des souffrances qu’il a causées, il demande aux prêtres de Luna de l’instruire de la foi chrétienne afin d’être baptisé. «
Étrange démarche. Mais les prêtres espèrent tant le repentir de ces terribles mécréants. » Ceux-ci croient voir là un miracle et ils acceptent avec empressement. Au bout de quelques semaines, Hastings, feignant la maladie, reçoit le baptême. »
3) Désarmer l’intelligence en l’aveuglant d’émotion
Hastings envoie alors ses hommes dire au clergé de la ville qu’il est mourant. Quelques tonsurés se rendent au camp pour administrer à Hastings les derniers sacrements dans une cérémonie hâtive. La respiration haletante, tremblant de tous ses membres, les yeux chavirés, le chef danois semble vraiment au plus mal.
Aussi aucun clerc ne s’étonne quand quelques jours plus tard, au matin, des Danois viennent annoncer : » Il est mort. Leur chef a demandé, dans son dernier souffle, à être inhumé en terre consacrée. De plus, il lègue une grande partie de ses richesses à l’église. »
Et ils ajoutent aussitôt : » Comme il est mort dans votre religion du Christ, il faut lui donner une sépulture chrétienne. Et ne pourrait-on pas dire une messe dans votre cathédrale pour le repos de son âme ?
Ayant reçu l’accord des prêtres, éblouis par les trésors promis, et ému par une si tardive mais si touchante conversion, .l’évêque de Luna décide alors aussitôt : » Je célébrerai moi-même l’office. »
4) Cacher ses armes pour masquer son but
Une seule condition est imposée par les Italiens aux Danois : suivre sans armes le cercueil de leur chef. Ses hommes, humblement, viennent trouver le clergé de la ville. la dépouille du chef danois, allongée dans un cercueil ouvert, est portée par ses hommes dans le chœur de la cathédrale de Luna.
Le passage du cortège funèbre soulève un immense curiosité. Tous les habitants de Luna viennent regarder ces terribles Danois aujourd’hui désarmés et dont la dévotion fait plaisir aux ouailles de l’évêque de Luna.
Dans l’odeur de l’encens, l’office funèbre commence, suivie par tous les guerriers vikings massés au fond de l’édifice dont ils ont fermé les portes. Le prélat se tourne à un moment vers la foule des Italiens et des Scandinaves, fraternellement mêlés, et psalmodie, les bras demi-ouverts : » Dominus vobiscum « .
5) Jouer rapidement de l’effet de surprise
Soudain, il voit avec horreur, le cercueil s’ouvrir. Hastings surgit en hurlant, l’épée à la main. Il bondit sur les marches de l’autel, tue l’évêque et les deux autres officiants, tandis que ses Vikings s’emparent des épées dissimulées dans le cercueil.
6) Exploiter à fond la victoire
Le massacre commence. Le clergé et les fidèles sont exterminés, sans qu’ils puissent s’échapper. Luna est prise, pillée, incendiée. Les filles et garçons les plus jeunes et les plus vigoureux sont capturés, comme esclaves.
7) Tirer la morale « Viking » du Stratagème de Luna
Les Danois reprennent rapidement la mer. A bord de toutes les longues barques le souvenir du succès total de cette ruse soulève des rires énormes. Le raid Viking continue à la recherche de nouvelles proies innocentes, victimes naïves de leur sens de l’hospitalité. .
Alors que « Nous sommes en guerre ! » ne cesse de le répéter le gouvernement depuis le 11 janvier 2015; Que l’accueil forcé de « la déferlante migratoire » par un mécanisme de répartition « pipe line » est érigé en dogme de Charité et du « droit d’accueil », déclarés tradition de l’Europe ; Que cette ouverture insensée apparaît comme le signal anglosaxon annonciateur d’une guerre à mort sur l’Europe ; Que les européens se sentent trahis, au bord du gouffre, jetés en pâture dans la fournaise comme en 1914 par leurs gouvernements criminels ; Qui pourrait croire encore que ce qui était vrai, jadis, avec les moyens rudimentaires du « Stratagème de Luna » des Vikings, ne saurait l’être aujourd’hui – pour l’Europe – avec les moyens décuplés de la technique moderne de mystification ? Alors, comment « rendre visible » plus clairement cet art consommé de la duperie héritée des Vikings, porté au paroxysme par les services secrets britanniques lors de l’opération « bodyguard » de la deuxième guerre mondiale et devenu aujourd’hui le subterfuge préféré des » loups déguisés en agneaux » ? Comment faire mieux comprendre cet impitoyable piège – » à la charité » et aux « bons sentiments » qui – comme en 1914 avec le « patriotisme » et pour la deuxième fois – permet d’annihiler la Chrétienté à son insu ? Cette suprême mystification condamne sans coup férir les Chrétiens, désarmés par le « Stratagème de Luna », à collaborer à leur propre leur propre mort ( leur ruine, leur mise en esclavage, leur aliénation ), au nom de cette feinte charité/fraternité, contrefaite des Vikings de Luna, qui les aveugle, aujourd’hui plus que jamais, au profit de leurs impitoyables ennemis ! Pour le salut de l’Europe, comment mieux déjouer le « Stratagème de Luna » qu’en révélant le mécanisme secret de sa » ruse à la charité » pour lui enlever ce caractère de mystère donnant force et pouvoir à sa mystification !
(1) Pierre Moscovici, sur BFMTV, 23 septembre 2015 (2) Biographie universelle ancienne et moderne, 1817, p. 487. (3) Les Vikings à travers le monde, par Jean Mabire p. 43 et 44 1992
Vous avez aussi la Fable de La Fontaine « Le Villageois et le Serpent » (Livre VI, F. n° 13), plus optimiste, dont le texte est reproduit ci-dessous.
Bien cordialement.
HR
Le Villageois et le Serpent
Ésope conte qu’un manant,
Charitable autant que peu sage,
Un jour d’hiver se promenant
À l’entour de son héritage,
Aperçut un Serpent sur la neige étendu,
Transi, gelé, perclus, immobile rendu,
N’ayant pas à vivre un quart d’heure.
Le Villageois le prend, l’emporte en sa demeure,
Et, sans considérer quel sera le loyer
D’une action de ce mérite,
Il l’étend le long du foyer,
Le réchauffe, le ressuscite.
L’animal engourdi sent à peine le chaud,
Que l’âme lui revient avecque la colère.
Il lève un peu la tête, et puis siffle aussitôt ;
Puis fait un long repli, puis tâche à faire un saut
Contre son bienfaiteur, son sauveur et son père.
« Ingrat, dit le Manant, voilà donc mon salaire ?
Tu mourras. » À ces mots, plein d’un juste courroux,
Il vous prend sa cognée, il vous tranche la bête ;
Il fait trois serpents de deux coups,
Un tronçon, la queue, et la tête.
L’insecte, sautillant, cherche à se réunir ;
Mais il ne put y parvenir.
Il est bon d’être charitable :
Mais envers qui ? c’est là le point.
Quant aux ingrats, il n’en est point
Qui ne meure enfin misérable.
Le citoyen Attali veut obliger les européens à accueillir des millions de migrants! Où ira-t-il lorsque l’Europe sera à feu et à sang, comme au proche orient?
Certes il a les moyens de quitter la navire sans avoir à héberger qui que ce soit
Monsieur Attali, vous avez cité Churchill, hier : « Si vous traversez l’enfer, surtout continuez d’avancer »
Nous vous répondons à la Churchill: » Mieux vaut prendre le changement par la main, avant qu’il ne vous prenne par la gorge » !